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Coup de coeur et de gueule vendredesque (20-2012)

Publié le 18 mai 2012 par Ceciledequoide9
Coup de coeur et de gueule vendredesque (20-2012) Bonjour à celles et ceux qui aiment en savoir le moins possible sur les films qu'elles/ils voient et les livres qu'elles/ils lisent
Bonjour aux zotres
Vous allez commencer à entrevoir pourquoi je vous ai soudain parlé de deux vers d'un poème d'Appolinaire cette semaine...
Coup de coeur et de gueule vendredesque (20-2012) Coup de coeur
Et mon mal est délicieux de Michel Quint
Il m'est arrivé 3 fois de pleurer en avion et, promiscuité et stress des passager(e)s obligent, ce n'est pas l'endroit idéal pour mouiller du kleenex mais bon, c'est comme ça hein... La première fois c'était en rédigeant une lettre après mon premier séjour à Casablanca (parce que j'écrivais des choses belles et vachement tristes), la deuxième fois c'était à la fin du visionnage de The Duchess (parce que c'est un film beau et vachement triste), la 3e fois, c'était le 7 mai dernier lors de mon retour de Santorin pendant lequel j'ai dévoré le très court (et si beau et triste) Et mon mal est délicieux. N'étant pas du tout masochiste, on ne me fera jamais dire qu'un mal est délicieux (c'est là où je voulais en venir quand je disais qu'Appolinaire avait tout faux) mais le titre prend tout son sens au fil des pages d'une sensibilité et d'une beauté incroyables. On a frôlé l'inondation lacrimale au rang 11 !
Coup de coeur et de gueule vendredesque (20-2012) Coup de gueule
Les spoilers
Je ne suis pas inscrite sur une liste de discussion littéraire et je ne lis pas des blogs pour qu'on me gâche une partie de mon plaisir de lectrice mais pour qu'on aiguise ma curiosité et qu'on m'aide à déterminer mes choix. Une chose est sûre, mon envie de lire le Journal d'un corps de Pennac s'est éteint cette semaine car quelqu'un(e) a jugé intelligent de répondre à une question stupide à savoir "mais du corps de qui s'agit-il ?".
C'est quand même TRES énervant (initialement j'avais écrit "dégueulasse") de balancer un nom sans prévenir du spoiler qu'on est en train de faire !
Même les chroniqueurs de "Ca balance à Paris" (qui n'est pourtant pas avare de spoiler d'habitude) avait réussi à tenir leur langue sur ce sujet en soulignant que ça faisait partie intégrante du livre que de découvrir peu à peu à qui était ce corps !
Aurait-on l'idée de raconter la fin du film 6e sens ou Usual suspect ? Alors pourquoi se permet-on dans les critiques de livres d'en révéler des parties substantielles ?

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