Magazine Cinéma

Ninja Killer

Publié le 14 juin 2012 par Olivier Walmacq

ninjakiller

genre: action, arts martiaux
Année: 1974
durée: 1h35

l'histoire: Liu Kun, un contrebandier de Hong Kong, est un homme activement recherché par la police locale. Il s'expatrie alors en Turquie pour pouvoir continuer son trafic de porcelaine. Pendant ce temps, Charles, un flic de la police turque, mène l'enquête et s'infiltre parmi les trafiquants.

la critique d'Alice In Oliver:

Suite du cycle consacré au cinéma turc avec Ninja Killer, réalisé par Lawrence Chan en 1974. Tout du moins, ce film d'arts martiaux a également été tourné à Hong Kong et mélange donc acteurs turcs et asiatiques.
On ne sera donc pas surpris de retrouver quelques visages connus du genre, notamment Cüneyt Arkin et Bolo Yeung.

Le scénario est totalement incompréhensible. Mais je vais essayer de vous résumer l'histoire le plus clairement possible.
Donc, attention, suivez bien les explications qui suivent ! Liu Kun, un trafiquant de porcelaine (tout du moins, je pense qu'il s'agit d'un trafic de porcelaine, le film n'étant pas très clair à ce sujet) est obligé de s'expatrier en Turquie pour poursuivre ses activités illicites.

ninja-killer-ninjas

Parallèlement, le bras droit de Loukoume... Pardon... de Liu Kun, un certain Yang (Bolo Yeung), gère les affaires de son patron à Hong Kong mais est menacé par des ninjas se cachant derrière des cagoules ridicules (je renvoie à la photo ci-dessus).
Certes, Lun Kun a pris la fuite en Turquie mais ses ennemis le poursuivent encore et toujours. Ce dernier doit donc affronter tout un gang de ninjas boîteux.
Tout du moins, ces derniers ne maîtrisent pas très bien les arts martiaux.

De son côté, Charles (Cüneyt Arkin), un flic de la police turque, mène l'enquête et s'infiltre dans le gang de Liu Kun.
Voilà pour les hostilités de ce scénario labyrinthique, qui n'est juste qu'un prétexte à toute une série de bastons foireuses.
Cüneyt Arkin assure la plupart des combats. Dans cet exercice, l'acteur est en forme et effectue des sauts périlleux de plusieurs mètres dont il a le secret, le trampoline étant évidemment au rendez-vous de ce nanar dans les règles.

ninja-killer-vacances-boxe

Pourtant, le film est très répétitif et n'est pas à la hauteur des bouseries habituelles de l'acteur. Par exemple, inutile de comparer Ninja Killer à Death Warrior même s'il est question aussi de ninjas.
Pour le reste, pas grand chose à retenir si ce n'est la prestation du même Cüneyt Arkin, très en forme pour l'occasion, et qui multiplie les grimaces les plus insensées. Mais en dehors de quelques séquences amusantes, Ninja Killer est plutôt ennuyeux dans l'ensemble.

Note: 0/20
Note nanardeuse: 12.5/20


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Olivier Walmacq 11545 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossiers Paperblog

Magazines