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Et dire que chez nous c'est la météo qui nous chagrine....

Publié le 18 juillet 2012 par Marigotine

 


Les "lames" et le sang.
À couteaux tirés. Poignard en main, ces manifestants yéménites proches de la rébellion chiite, dansent en marge d'un rassemblement dans la province de Saada pour dénoncer la présence américaine dans le pays. Par ailleurs, huit jeunes Yéménites ont été tués et vingt autres blessés dans un attentat suicide, mercredi, à la sortie de l'académie de police à Sanaa, a annoncé la Haute commission de sécurité, qui a accusé al-Qaida. Les autorités pourchassent sans relâche les insurgés de l'organisation terroriste, qui ont été chassés à la mi-juin de leurs principaux bastions dans la province d'Abyane (sud) au terme d'une offensive menée pendant un mois par l'armée. Al-Qaida avait notamment profité de l'affaiblissement du pouvoir central à la faveur de l'insurrection populaire contre l'ancien président Ali Abdallah Saleh en 2011 pour renforcer son emprise dans l'est et le sud du Yémen.À couteaux tirés. Poignard en main, ces manifestants yéménites proches de la rébellion chiite, dansent en marge d'un rassemblement dans la province de Saada pour dénoncer la présence américaine dans le pays. Par ailleurs, huit jeunes Yéménites ont été tués et vingt autres blessés dans un attentat suicide, mercredi, à la sortie de l'académie de police à Sanaa, a annoncé la Haute commission de sécurité, qui a accusé al-Qaida. Les autorités pourchassent sans relâche les insurgés de l'organisation terroriste, qui ont été chassés à la mi-juin de leurs principaux bastions dans la province d'Abyane (sud) au terme d'une offensive menée pendant un mois par l'armée. Al-Qaida avait notamment profité de l'affaiblissement du pouvoir central à la faveur de l'insurrection populaire contre l'ancien président Ali Abdallah Saleh en 2011 pour renforcer son emprise dans l'est et le sud du Yémen." title="Et dire que chez nous c'est la météo qui nous chagrine...." />À couteaux tirés. Poignard en main, ces manifestants yéménites proches de la rébellion chiite, dansent en marge d'un rassemblement dans la province de Saada pour dénoncer la présence américaine dans le pays. Par ailleurs, huit jeunes Yéménites ont été tués et vingt autres blessés dans un attentat suicide, mercredi, à la sortie de l'académie de police à Sanaa, a annoncé la Haute commission de sécurité, qui a accusé al-Qaida. Les autorités pourchassent sans relâche les insurgés de l'organisation terroriste, qui ont été chassés à la mi-juin de leurs principaux bastions dans la province d'Abyane (sud) au terme d'une offensive menée pendant un mois par l'armée. Al-Qaida avait notamment profité de l'affaiblissement du pouvoir central à la faveur de l'insurrection populaire contre l'ancien président Ali Abdallah Saleh en 2011 pour renforcer son emprise dans l'est et le sud du Yémen." border="0" />  Poignard en main, ces manifestants yéménites proches de la rébellion chiite, dansent en marge d'un rassemblement dans la province de Saada pour dénoncer la présence américaine dans le pays. Par ailleurs, huit jeunes Yéménites ont été tués et vingt autres blessés dans un attentat suicide, mercredi, à la sortie de l'académie de police à Sanaa, a annoncé la Haute commission de sécurité, qui a accusé al-Qaida. Les autorités pourchassent sans relâche les insurgés de l'organisation terroriste, qui ont été chassés à la mi-juin de leurs principaux bastions dans la province d'Abyane (sud) au terme d'une offensive menée pendant un mois par l'armée. Al-Qaida avait notamment profité de l'affaiblissement du pouvoir central à la faveur de l'insurrection populaire contre l'ancien président Ali Abdallah Saleh en 2011 pour renforcer son emprise dans l'est et le sud du Yémen.  Crédits photo : Khaled Abdullah/REUTERS Fenêtre de tir. Et oui par le passé ça se passait déja dans les chateaux forts    et ça s'appelait des meurtrières....
Fenêtre de tir. À Homs (notre photo), les combats entre insurgés et forces du régime syrien ont une nouvelle fois ensanglanté les rues. Dans le même temps Damas, la capitale syrienne, était lundi le théâtre de combats d'une rare violence pour la seconde journée consécutive. Les troupes du régime ont lancé une offensive sans précédent pour tenter de reprendre le contrôle de quartiers périphériques de la capitale favorables aux opposants. Selon des militants, toutes les routes reliant Damas à sa province ont été coupées. «Ce sont les premiers combats de ce genre dans la capitale. C'est un tournant dans la révolution syrienne», a affirmé lundi un militant de Damas. Fenêtre de tir. À Homs (notre photo), les combats entre insurgés et forces du régime syrien ont une nouvelle fois ensanglanté les rues. Dans le même temps Damas, la capitale syrienne, était lundi le théâtre de combats d'une rare violence pour la seconde journée consécutive. Les troupes du régime ont lancé une offensive sans précédent pour tenter de reprendre le contrôle de quartiers périphériques de la capitale favorables aux opposants. Selon des militants, toutes les routes reliant Damas à sa province ont été coupées. «Ce sont les premiers combats de ce genre dans la capitale. C'est un tournant dans la révolution syrienne», a affirmé lundi un militant de Damas. " title="Et dire que chez nous c'est la météo qui nous chagrine...." />Fenêtre de tir. À Homs (notre photo), les combats entre insurgés et forces du régime syrien ont une nouvelle fois ensanglanté les rues. Dans le même temps Damas, la capitale syrienne, était lundi le théâtre de combats d'une rare violence pour la seconde journée consécutive. Les troupes du régime ont lancé une offensive sans précédent pour tenter de reprendre le contrôle de quartiers périphériques de la capitale favorables aux opposants. Selon des militants, toutes les routes reliant Damas à sa province ont été coupées. «Ce sont les premiers combats de ce genre dans la capitale. C'est un tournant dans la révolution syrienne», a affirmé lundi un militant de Damas. " border="0" />   À Homs (notre photo), les combats entre insurgés et forces du régime syrien ont une nouvelle fois ensanglanté les rues. Dans le même temps Damas, la capitale syrienne, était lundi le théâtre de combats d'une rare violence pour la seconde journée consécutive. Les troupes du régime ont lancé une offensive sans précédent pour tenter de reprendre le contrôle de quartiers périphériques de la capitale favorables aux opposants. Selon des militants, toutes les routes reliant Damas à sa province ont été coupées. «Ce sont les premiers combats de ce genre dans la capitale. C'est un tournant dans la révolution syrienne», a affirmé lundi un militant de Damas.   Crédits photo : © Stringer . / Reuters/Reuters Insoutenable spectacle que celui de cet homme désespéré. Torche humaine. Un manifestant, Moshe Silman, a tenté samedi soir de s'immoler par le feu, au cours d'une marche de protestation sociale à Tel-Aviv. Il a été hospitalisé pour des brûlures profondes et se trouvait encore dimanche dans un état critique. «Il a laissé dans la rue des photocopies d'une lettre qu'il a lue avant de s'immoler. Pour nous c'est une tentative de suicide» a déclaré la porte-parole de la police. «L'État d'Israël m'a volé et m'a laissé sans rien», peut-on lire dans la lettre. «J'accuse Israël, (le premier ministre) Benjamin Netanyahu et (le ministre des Finances) Youval Steinitz pour l'humiliation constante que les citoyens d'Israël doivent endurer quotidiennement. Ils prennent aux pauvres pour donner aux riches», poursuit le texte. Torche humaine. Un manifestant, Moshe Silman, a tenté samedi soir de s'immoler par le feu, au cours d'une marche de protestation sociale à Tel-Aviv. Il a été hospitalisé pour des brûlures profondes et se trouvait encore dimanche dans un état critique. «Il a laissé dans la rue des photocopies d'une lettre qu'il a lue avant de s'immoler. Pour nous c'est une tentative de suicide» a déclaré la porte-parole de la police. «L'État d'Israël m'a volé et m'a laissé sans rien», peut-on lire dans la lettre. «J'accuse Israël, (le premier ministre) Benjamin Netanyahu et (le ministre des Finances) Youval Steinitz pour l'humiliation constante que les citoyens d'Israël doivent endurer quotidiennement. Ils prennent aux pauvres pour donner aux riches», poursuit le texte. " title="Et dire que chez nous c'est la météo qui nous chagrine...." />Torche humaine. Un manifestant, Moshe Silman, a tenté samedi soir de s'immoler par le feu, au cours d'une marche de protestation sociale à Tel-Aviv. Il a été hospitalisé pour des brûlures profondes et se trouvait encore dimanche dans un état critique. «Il a laissé dans la rue des photocopies d'une lettre qu'il a lue avant de s'immoler. Pour nous c'est une tentative de suicide» a déclaré la porte-parole de la police. «L'État d'Israël m'a volé et m'a laissé sans rien», peut-on lire dans la lettre. «J'accuse Israël, (le premier ministre) Benjamin Netanyahu et (le ministre des Finances) Youval Steinitz pour l'humiliation constante que les citoyens d'Israël doivent endurer quotidiennement. Ils prennent aux pauvres pour donner aux riches», poursuit le texte. " border="0" />   Un manifestant, Moshe Silman, a tenté samedi soir de s'immoler par le feu, au cours d'une marche de protestation sociale à Tel-Aviv. Il a été hospitalisé pour des brûlures profondes et se trouvait encore dimanche dans un état critique. «Il a laissé dans la rue des photocopies d'une lettre qu'il a lue avant de s'immoler. Pour nous c'est une tentative de suicide» a déclaré la porte-parole de la police. «L'État d'Israël m'a volé et m'a laissé sans rien», peut-on lire dans la lettre. «J'accuse Israël, (le premier ministre) Benjamin Netanyahu et (le ministre des Finances) Youval Steinitz pour l'humiliation constante que les citoyens d'Israël doivent endurer quotidiennement. Ils prennent aux pauvres pour donner aux riches», poursuit le texte.   Crédits photo : BEN KELMER/SIPA/SIPA La haine, la violence tellement présentes dans notre pauvre monde. Rien de finira donc jamais!
Mort en direct. Une vidéo montrant l'exécution par balles, par les talibans, d'une femme soupçonnée d'adultère dans un village, à une centaine de kilomètres de Kaboul, relance la polémique sur les avancées de la condition féminine en Afghanistan. Les images, diffusées sur internet, sont évidemment horribles: dans un petit village de la province de Parwan, plusieurs dizaines d'hommes, assis par terre ou regroupés sur des toits de maisons à flanc de montagne, fixent la silhouette d'une femme recouverte d'un voile grisâtre, qui leur tourne le dos. L'accusée, assise sur ses talons, écoute la sentence, ou plutôt son arrêt de mort, sans bouger ni chercher à s'enfuir. Tout juste se permet-elle de tourner fugitivement la tête en début de séquence. Les autorités afghanes ont lancé une chasse à l'homme pour retrouver les coupables de cette exécution sommaire.Mort en direct. Une vidéo montrant l'exécution par balles, par les talibans, d'une femme soupçonnée d'adultère dans un village, à une centaine de kilomètres de Kaboul, relance la polémique sur les avancées de la condition féminine en Afghanistan. Les images, diffusées sur internet, sont évidemment horribles: dans un petit village de la province de Parwan, plusieurs dizaines d'hommes, assis par terre ou regroupés sur des toits de maisons à flanc de montagne, fixent la silhouette d'une femme recouverte d'un voile grisâtre, qui leur tourne le dos. L'accusée, assise sur ses talons, écoute la sentence, ou plutôt son arrêt de mort, sans bouger ni chercher à s'enfuir. Tout juste se permet-elle de tourner fugitivement la tête en début de séquence. Les autorités afghanes ont lancé une chasse à l'homme pour retrouver les coupables de cette exécution sommaire." title="Et dire que chez nous c'est la météo qui nous chagrine...." />Mort en direct. Une vidéo montrant l'exécution par balles, par les talibans, d'une femme soupçonnée d'adultère dans un village, à une centaine de kilomètres de Kaboul, relance la polémique sur les avancées de la condition féminine en Afghanistan. Les images, diffusées sur internet, sont évidemment horribles: dans un petit village de la province de Parwan, plusieurs dizaines d'hommes, assis par terre ou regroupés sur des toits de maisons à flanc de montagne, fixent la silhouette d'une femme recouverte d'un voile grisâtre, qui leur tourne le dos. L'accusée, assise sur ses talons, écoute la sentence, ou plutôt son arrêt de mort, sans bouger ni chercher à s'enfuir. Tout juste se permet-elle de tourner fugitivement la tête en début de séquence. Les autorités afghanes ont lancé une chasse à l'homme pour retrouver les coupables de cette exécution sommaire." border="0" />   Une vidéo montrant l'exécution par balles, par les talibans, d'une femme soupçonnée d'adultère dans un village, à une centaine de kilomètres de Kaboul, relance la polémique sur les avancées de la condition féminine en Afghanistan. Les images, diffusées sur internet, sont évidemment horribles: dans un petit village de la province de Parwan, plusieurs dizaines d'hommes, assis par terre ou regroupés sur des toits de maisons à flanc de montagne, fixent la silhouette d'une femme recouverte d'un voile grisâtre, qui leur tourne le dos. L'accusée, assise sur ses talons, écoute la sentence, ou plutôt son arrêt de mort, sans bouger ni chercher à s'enfuir. Tout juste se permet-elle de tourner fugitivement la tête en début de séquence. Les autorités afghanes ont lancé une chasse à l'homme pour retrouver les coupables de cette exécution sommaire. Crédits photo : STR/AFP

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