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Laurence anyways

Par Marymalo

Laurence anywaysLaurence anywaysC'est l'interprétation magistrale qui donne à ce film de Xavier Dolan (réalisateur québécois de 23 ans dont je n'avais pas vu les deux précédents films dont j'ai tué ma mère apprécié par la critique) sa dimension exceptionnelle  .Eh oui malgré le dialecte québécois et l'apparence pour le moins excentrique de Suzanne Clément, la narration en flash-back de la transformation de Laurence homme marié en Laurence femme écrivaine solitaire a des accents poétiques et émouvants.
Melvil Poupaud retrouve ici un rôle a sa mesure tel que celui qui m'avait bouleversé dans le Temps qui reste de François Ozon. Quant à Nathalie Baye les scènes où elle intervient en tant que mère de Laurence sont d'une précision, d'une âpreté et d'une justesse inouïes.  

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