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La course au jouet (Jingle All The Way)

Publié le 22 août 2012 par Cinephileamateur
La course au jouet
De : Brian Levant.
Avec : Arnold Schwarzenegger, Sinbad, Phil Hartman, Rita Wilson, Robert Conrad, Martin Mull, Jake Lloyd, James Belushi, E.J. De La Pena, Laraine Newman...
Genre : Comédie.
Origine : États-Unis.
Durée : 1 heure 30.
Date de sortie : 11 décembre 1996.
Synopsis : Comme tous les enfants américains, et bientôt les autres, Jamie veut un Turbo Man pour Noël. Seulement son papa, homme d'affaires stressé, a oublié sa promesse. Il s'en souvient quelques heures avant la remise fatidique des cadeaux et part à la chasse au Turbo Man, qui n'est plus disponible dans aucun magasin. Une course contre le temps et d'autres acquéreurs du jouet s'engage.
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Après "Arrête ou ma mère va tirer", il y avait un autre film de ma jeunesse que je voulais revoir et qui mettait en scène un gros bras du cinéma d'action dans une simple comédie gentillette, c'est Arnold Schwarzenegger dans "La course au jouet". J'avais aps vu ce long métrage depuis un moment maintenant et c'est là encore avec une certaine nostalgie que je me suis plongé dedans.
Un peu moins fun à mes yeux qu'un "Arrête ou ma mère va tirer", "La course au jouet" fait parti de ses long métrage auquel j'avais le droit à la télévision chaque année à la période de Noël. Je sais pas si c'est la magie du truc ou quoi mais mine de rien, à chaque fois ça m'amusai de voir ce père de famille très maladroit faire tout son possible pour limiter la casse de ses erreurs et ne pas décevoir sa famille. Le scénario écrit par Randy Kornfield est loin d'être exceptionnel, il est même assez vide si on veut être plus précis mais pourtant ça m'amuse de retrouver mon âme de gamin devant ce genre de comédie. Il à même une saveur particulière pour moi à Noël où je peux me détendre sans me prendre la tête et même si dans le genre on à déjà vu mieux, je trouve cette histoire mignonne et assez sympathique.
Devant la caméra, Arnold Schwarzenegger cabotine comme toujours en Howard Langston mais ça marche bien pour ce film. Son jeu colle bien à ce genre de comédie je trouve et c'est même assez amusant de voir comment il rempli l'écran avec sa carrure ce qui est surprenant dans ce genre de production. Sinbad me fait bien marrer aussi dans son rôle de Myron Larabee, le facteur totalement décalé ou encore Robert Conrad en Oficier Hummell. Les apparitions de James Belushi en père Noël véreux, Rita Wilson en Liz Langston ou encore Phil Hartman en Ted pathétique sont plaisant également tandis que ça m'amuse toujours autant de voir le jeune Jake Llyod jouait toujours dans le même registre la gentille petite tête blonde et qui fait donc un bon Jamie Langston.
La mise en scène de Brian Levant à pris quant à elle un certain coup de vieux mais elle me divertit toujours. J'aime bien sa scène d'ouverture qui me fait penser à la parodie de Bioman des Inconnus tandis que durant tout le long métrage on suis ce film sans avoir à utiliser ses neurones. L'esprit de Noël est bien présent, les gags sont prévisibles mais efficace et même si ce n'est pas très objectif de ma part, je n'ai pas honte de dire que j'ai une certaine affection pour ce film.
Pour résumé, "La course au jouet" n'est pas un grand film mais dans mon esprit il à tout pour car il se voit toujours chez moi avec la nostalgie d'une époque où je demandais pas plus à un long métrage que de me divertir et de me faire passer un bon moment. Aujourd'hui encore, même si je reconnais sa faiblesse générale, le long métrage de Brian Levant m'amuse toujours autant et voir Arnold Schwarzenegger dans ce registre me fait marrer. Un film pas indispensable, un film oubliable... sauf peut être pour les plus jeunes ou pour les grands enfants comme moi qui parfois ne demande pas plus que de ce divertir.
Ce que j'ai aimé :
  • Arnold Schwarzenegger qui cabotine comme toujours mais qui colle bien au film
  • Une gentillette histoire de fin d'année
  • Malgré ses maladresses je trouve le rôle du père très touchant
  • Je retrouve mon âme de gosse
  • Des scènes me font encore rire

Ce que j'ai moins aimé :
  • Objectivement, ça reste quand même un film très faible

Jake Llyod et Arnold SchwarzeneggerSinbad et Arnold Schwarzenegger



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