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L’Homme bicentenaire, de l’Androïde à l’Homme.

Publié le 26 août 2012 par Victoregloo @PartageEgloo

Que vous soyez amateur de Science-Fiction, chercheur d’erreurs techniques ou tout simplement curieux; j’ai ici pour vous un film qui ne saura que vous ravir (si vous ne l’avez pas déjà vu).

L’Homme bicentenaire, de l’Androïde à l’Homme.

L’Homme bicentenaire est un film de Science-Fiction, sorti en 1999, réalisé par Chris Columbus et avec, entre autre: Robin Williams, Sam Neill, Embeth Davidtz (j’ai balancé des noms au hasard car j’y connais rien au Cinéma en fait) tiré de l’oeuvre éponyme du (très) grand Isaac Asimov.

L’histoire commence dans le futur (de l’époque de la parution de la nouvelle), à savoir 2005.
La famille Martins achète le dernier robot domestique, le NDR-114. Robot conçu pour les tâches ménagères ingrates (et chiantes) qu’on imagine tous, car c’est celles qu’on aime pas faire en général.

Mais petit à petit la nouvelle famille d’Andrew (l’Androïde étant vite baptisé ainsi), lui découvre un certain don artistique. La création de quelconque chose pour laquelle un robot n’a pas été conçu est extraordinaire, son propriétaire décide donc de l’amener devant un représentant de la société qui vent ces robots.
Celui-ci propose en vitesse de remplacer le robot mais Mister Martins refuse et encouragera le robot dans sa fascination de l’inconnu et, par conséquent, sa recherche de connaissances. Andrew, considéré presque comme un humain par sa nouvelle famille vas alors s’épanouir à travers l’art, ses émotions et ses créations. Le tout, en respectant les trois légendaires lois de la robotiques.

Alors, I. Asimov, c’est connu, aime tester sous toutes les formes les trois (en fait y’en a quatre) lois de la robotiques qu’il a créé (I, Robot est un bon exemple, lui aussi).
Ici on a une intelligence artificielle, dite « défectueuse » au point de permettre à un robot d’acquérir une certaine liberté, tout en respectant les trois lois. Il arrivera même à « contourner » les limitations de son code source pour se « plier » à un fonctionnement humain de sa personne (car c’en est une, oui).
Tout cela ne peut que mettre le petit programmeur, nerd, curieux, passionné que je suis en émoi.

Alors, pourquoi ce film est bon (concrètement) ?

  1. Ce film prouve l’über-supériorité du C sur les automates en Java (comment ça c’est pas précisé en quoi il est codé?).
  2. On a un « cast » d’acteurs intéressant et c’est bien joué dans l’ensemble!
  3. Le point de vue sur de l’intelligence artificielle est géniale!
  4. Asimov développe ses robots dans un univers assez « neutre » ils ne sont ni haïs, ni exaltés.
  5. On rit bien à certains moment.
  6. Une certaine ode à l’art et à la création (artistique). Et ce par un algorithme défectueux.
  7. Robin Williams a appelé sa fille Zelda (si, cet argument est valide !).

Et les trucs moins bons ?

  1. Beaucoup d’erreurs sur un plan technique et logique.
  2. Y’a de l’inceste (enfin, tant que ça reste en famille…).
  3. Le film est long, mais tout vas trop vite.
  4. Le coté comédie / comédie-romantique m’as ennuyé…
  5. J’ai essayé d’écrire un article sur ce film (le point le plus mauvais ça).

Donc, que vous n’y connaissez rien ou bien le contraire ce film ravira le grands et les petits (tant qu’ils comprennent pas le côté incestueux de ce film, bien sûr).
Je dois donc dire que ce film m’a touché (si je fais encore une vanne ça passera pas je crois), surtout sur la question de la liberté chez les Hommes, son acquisition, la puissance de création et (surtout) la magnificence et importance de l’Art dans la société.

C’était Flaco pour mon deuxième article (j’avais écris un truc sur les patates aussi).


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