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Bijoux, do it yourself Part II

Publié le 22 octobre 2012 par Unionstreet

2012, le bijoux n’est plus réservé à une élite avide de pierreries, nous avons toutes grandi avec des parures de princesse en plastique et même les garçons ont trouvé leur grigri via les gourmettes, le bling-bling et H&m. L’ère du do it yourself nous a donné des ailes et aujourd’hui chacun s’improvise dealer de bijoux, pour le meilleur et pour le pire. Arrêt sur image de ce qu’on a chiné sur la toile. Bienvenue dans la 2e partie.

Bijoux, do it yourself Part II

Graphique quotidien

Origami – Vous vous souvenez de cette fille en L options arts plastiques qui faisaient ses boucles d’oreilles elle-même en origami de grues ? Ce duo Parisien, initié à l’art du pliage par un amii Japonais, a décidé de remplacer la finesse et la fragilité du papier par la pérennité de l’or et de l’argent. Des grigris au design précis déclinés en colliers et boucles d’oreilles. Je l’aimais pas cette fille de L, en plus.

origami jewellery

Thomas V – Simple dans son élégance, mystérieux, un brin mystique. Il apporte une vision neuve à ses objets connus de l’œil, taillés dans le métal ou l’acier chirurgical. Un style épuré, et pourtant tout est dans le détail. Le rosaire est une suite de crânes, la bague tête de mort se pare d’oreilles de Mickey, les bagues pyramidales sont gravés d’inscriptions et d’insectes, les doubles bagues à motif d’ancre marine deviennent un casse tête. Nous ne sommes pas loin de MC Escher.

thomas v

Charlotte Martyr – Des triangles, des masques de lapins, des serpents et des bijoux à l’aura mystique. Un peu magique, un peu étrange, l’univers de Charlotte Martyr est animés de créatures, de légendes dont elle assure elle-même qu’ils apportent énergie et courage…

charlotte martyr

Lucky duct – Rachel, la créatrice, modèle des cœurs, des vélos des ancres ou des appareils photos pour nous les mettre autour des doigts et du cou. Une charmante et inattendue technique en filaire non-lisse à l’aspect bricolé.

Lucky duct

Bijoux, do it yourself Part II

Le faussement kawai

Kiss me zombie – Ce shop est un grenier rempli de trouvailles vintage, de souvenirs rock et de vieilles photos en sépia. Coup de cœur pour le délicieux bracelet « You suck ».

kiss me zombie

The French factory – Au premier abord, il est question de noeuds, de lapins et de macarons. Mais la jeune marque Française, comme son nom l’indique, c’est aussi des messages malicieusement pernicieux planqués dans des jolis médaillons surmontées de fleurs. Ou comment dire Fuck you avec une jolie typo rétro.

the french factory

Bijoux, do it yourself Part II

Géométries souples

Depeapa – Des formes géométriques en céramique, graphiquement couvertes de couleurs naturelles et poétiques, de rayures, et d’imprimé bois, joli comme du design scandinave qui s’accorderait un brian de fantaisie.

Depeapa

Spinthread – Spinthread est mort, vive Spinthread ! Après avoir conquis Etsy avec ces broderies virtuoses, la jeune fille officie désormais sur son propre site et diversifie ces créations.

maranon jewels

I heart Norvegian Wood – Focus sur les colliers à franges, parures légères et fluo, hommages à des tribus lointaines, et parce qu’il est bon de rappeler qu’il n’y a pas que les plumes dans la vie.

I heart Norvegian Wood

Bijoux, do it yourself Part II

Mignoneries du quotidien

Macon et Lesquoy – Les broderies délicates et malicieuses de Macon et Lesquoy, dans leur packaging craquant, sont de véritables petits trésors, de ceux qu’on aime planquer sur le revers d’un col de veste, ou notre cardigan préféré. Les objets, issus du quotidien, sont habilement choisis et on hésite entre la moustache, le croissant, la plume…

macon et lesquoy

Bijoux, do it yourself Part II

Sweeteries

La Raffinerie – Un peu rétro, un peu d’inspiration lointaine et mystérieuse, ce shop Cannadien prouve que l’on peut porter un collier à pierres et pampilles sans effort. On adore la gamme de couleurs choisies associant des tons de fruits rouges gourmands au jade et à des gris sourds.

la raffinerie

The Vamoose – Des pierres brutes, des perles pastels, des ponpons raffinés en soie, portés par un subtil jeu de chaînes en or, a-t-on besoin d’en dire plus ?

the vamoose

Servane Gaxotte – Servane a crée en 2002 son petit double articulé Rose et raconte des histoires chaque saison la parant d’une garde robe séduisante. Schizophrénie poétique ou nostalgie de l’enfance, on fait surtout dans la collection compulsive avec ces adorables sautoirs.

servane gaxotte

A bientôt pour de nouvelles et belles chroniques.

V. Montalbano


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