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La drôle de vie de Bibow Bradley, Axl Cendres

Publié le 10 décembre 2012 par Bouquinovore @bouquinovore

La drôle de vie de Bibow Bradley, Axl Cendres
Auteur: Axl Cendres Titre Original: La drôle de vie de Bibow Bradley Date de Parution : 5 Septembre 2012 Éditeur : Exprim’ Nombre de pages : 205 Prix : 15,50€ 14,72€


Quatrième de couverture :CET OUVRAGE A OBTENU LA PÉPITE DU ROMAN ADOLESCENT EUROPÉEN DU SALON DU LIVRE ET DE LA PRESSE DE MONTREUIL
«- Chez les Bradley, on travaille pas avec sa tête ! me disait, l'oeil plein de fierté, mon grand-père Bob le borgne en lorgnant ma dictée toute raturée de rouge. Et quand je leur ai annoncé que je redoublais, ils m'ont offert une bicyclette.»
Juin 1964, USA. Le jeune Bibow Bradley est envoyé au Vietnam où, en toute logique, il devrait perdre un oeil comme papy (en Normandie) ou une jambe comme papa (en Corée).
Sauf que Bibow a un don : il ne connaît pas la peur. Un don très utile aux yeux de la CIA... Le voilà vite embarqué de mission en mission, entre activistes communistes à Moscou et rassemblements hippies à Woodstock !
Juin 1964, USA. Le jeune Bibow Bradley est envoyé au Vietnam où, en toute logique, il devrait perdre un oeil comme papy (en Normandie) ou une jambe comme papa (en Corée). Sauf que Bibow a un don : il ne connaît pas la peur. Un don très utile aux yeux de la CIA... Le voilà vite embarqué de mission en mission, entre activistes communistes à Moscou et rassemblements hippies à Woodstock !
Axl Cendres n'a pas encore trente ans et déjà un talent singulier. Elle a publié trois romans remarqués dans la collection Exprim' : Aimez-moi maintenant, Mes idées folles et Échecs et but. Après le tendre Les maux du coeur, elle propose ici un mini roman aux airs de légende d'outre-tombe.
USA, les 60's. Né dans une petite ville perdue de l'Illinois, le jeune Bibow Bradley est destiné à finir derrière le comptoir du Bradley's and son, le bar à tocards que tient sa famille. Après un détour obligé par la case Guerre -la sienne, ce sera le Vietnam. À18 ans, parachuté dans le combat, il aurait dû perdre un oeil comme papy ou une jambe comme papa, mais la particularité de Bibow, c'est qu'il n'a jamais peur. Les balles sifflent à ses oreilles sans qu'il sursaute. Un don très utile aux yeux de la CIA... Mais de mission en mission, entre activistes communistes à Moscou et rassemblements hippies à Woods-tock, Bibow découvrira une chose qu'on ne lui a jamais enseignée : le facteur humain.


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