Frange or not frange ?

Depuis quelque temps déjà, je me pose la question de la frange… pour moi, je veux dire. Il faut dire que capillairement parlant, je suis assez frileuse. Au niveau vestimentaire, j’ose tout mais quand il s’agit de toucher à mes cheveux, attention! Pour vous dresser le tableau, à l’âge de 8 ans environ, ma grand-mère a « osé » (bon, OK, c’est moi qui lui avais demandé…) me couper les cheveux au niveau des épaules. Résultat? J’ai pleuré pendant deux jours…

Alors, autant vous dire qu’en ce qui concerne la frange, ce n’est pas encore gagné… J’en meurs d’envie pourtant mais bon… En même temps, je me dis que je risque peut-être de m’en lasser rapidement et puis, une fois qu’elle va avoir repoussé, qu’est-ce que je vais en faire? Et surtout, surtout, je ne vais plus pouvoir me faire de buns (et ça, c’est le drame car c’est MA coiffure du moment!).

Quand j’ai vu Michelle à l’investiture de son mari… Paf! L’idée de la frange est revenue… Moi aussi, je veux ressembler à la First lady! Michelle, je la trouvais encore plus belle que d’habitude et puis, re-paf, la semaine dernière, le grand Karl a déclaré la trouver immonde ainsi coiffée… Re-re-paf, toutes mes certitudes ont volé en éclats.

Inutile de vous dire que ce n’est pas la peine de compter sur l’Homme barbu en pareil cas. Lorsque je lui demande son avis, il me répond qu’il ne s’agit que d’une lubie, « une de plus« , s’empresse-t-il de préciser… Pff!