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Ah ! Les boulangeries locale...

Par Unevillemaville2
Bernay et une jolie petite ville de province de 11 000 habitants.
Mais comme toute ville de ce gabarit, elle à des manques flagrants.
Outre le souci des pharmacies de garde qui ressemble à un dessert, il est d’autres services à la population, si je puis dire, qui souffre de ce format de ville là.
Car, en effet, Bernay souffre, du dimanche 14H00 au mardi 8H00 du matin cruellement de commerce de première nécessité ouverte.
Pourtant, avouons que ce n’est pas fautes à certains commerçants d’ouvrir le lundi et le dimanche, mais hélas, en ce qui concerne les denrées alimentaires ce n’est pas, la, la panacée.
Peu ou prou d’épiceries ouvertes (outre celles des quartiers Bernayens) ouvertes de 8H00 à 21h00 avec coupure entre 12H et 14H30.
En effet, comptabilisons le nombre de boulangeries à Bernay.
En effet, notre ville compte pas moins de 8 boulangeries-pâtisseries (dont une route de Beaumont qui n’est pas répertoriée sur ma carte) rien que pour le centre-ville.
Les dépôts de pains, eux, sont aux nombres de 4 :
1 En centre-ville.
2 Quartier du stade.
1 Quartier du Bourg le Compte.
Je compte aussi les moyennes et grandes surfaces qui sont aux nombres de 5 :
2 Menneval.
1 Place Lobrot
1 Rue Thiers
1 Rue Bernard Gombert
Et ainsi, malgré, nous les voyons, près de 15 endroits ou acheter son pain et ces gâteaux parfois, je dis bien parfois, c’est la croix et la bannière pour en trouver une d’ouverte le dimanche et/ou lundi (rire).
Je sais que le débat reste ouvert, car le droit civique leur octroie de fermer tels ou tels jours, de prendre des vacances, etc.
Chose sur lequel je ne reviens pas évidemment, mais qui, parfois malgré les concertations proposer par le représentent de la confrérie des boulangers Bernayen (oui, notre conseillé municipal marcheur bien connu) et bien, parfois ceux-là ne doivent s’en doute pas trouver de terrain d’entente, car un lundi récent tous étaient fermés.
Soit pour cause de jours de repos, soit pour cause de vacances.
Et si nous n’avons pas de véhicule et bien nous mangeons des biscottes si nous avons pensé à en acheter quelques jours avant (rire).
Cela, je trouve rouvre le débat des commerces ouvert les jours fériés et/ou dits de repos.
Car là c’est un besoin vital tout de même comme pour les pharmacies, etc.
Après je ne parle pas des pains frais vendus ces jours-là ou des pains congelés que l’on nous fait croire frais.
Frais à demi pourrais-je dire, car cette attitude alors ne fait pas, pour ma part, une bonne publicité à ceux et celles qui pratique, pour des raisons d’avance dans le travail justement ce genre de ventes de pain là.
Un site spécialisé à même demander à ses membres ce qu’il penser des boulangeries ouvertes 7 jours sur 7 et la, réponse ne se fait pas attendre :
87 % sont contre l’ouverture quand les 20 % restant sont pour.
Évidement la, encore, le débat et-il à faire ?
Je pense qu’une rotation d’ouverture des uns des autres devrais être quelque par obligatoire, comme d’un service minimum.
En France dit-on, on manque de boulangers.
Pour preuve, la boulangerie qui avait pignon sur rue place des Anciens Combattants sur le quartier du stade (ou son passé de multiple propriétaire) et toujours, depuis près d’un an toujours en vente.
Alors là aussi on incrimine les grandes surfaces qui ont, elles, les moyens tant de personnelles que financiers d’ouvrir 7 jours sur 7 qui, nous, explique-t-on :
"Ne serait-il pas eux les coupables de la disparition des petits artisans travaillant seul ? Ne serait-ce pas pour cela que les boulangeries avec du personnel veulent faire du 7/7 pour contrer ce phénomène ?"
La personne qui donne là son point de vue continue ainsi :
"La solution que je pourrais proposer est de faire une grande marche arrière, c’est-à-dire que le prix de la baguette est géré par la préfecture ainsi que le prix du quintal de farine selon le type. Certes, la GMS licenciera, mais l’artisanat les embauchera. Et les qualités du pain en ressortiront gagnantes".
Solution viable ou pas ?
Alors, à l’heure où l’on crie haro sur le baudet, que le monde de la boulangerie se perd, pourquoi ne pas aider les couples qui voudraient reprendre en main des lieux comme celui du stade qui est fermé ?
Bien sûr, après, il faut que ceux-là réalisent un gros investissement de départ avec un laboratoire aux normes, etc., etc.
Mais, ah, ah, ah, découlerais alors de son ouverture, la fin annoncée des services que lesdites épiceries de proximités on ouvert je parle de "La vente du pain".
Donc, ceux-là revendiqueraient un manque à gagner de cause à effet et évidemment légitime.
Alors, que faire ?
Car notre souci premier, rappelons-nous (pour cet article, rire) est de pouvoir trouver du vraie bon pain vendu dans une boulangerie ouverte les dimanches - lundi et jours fériés ?
Alors, en conclusion de cet article, je pourrais dires que les débats sont toujours ouverts et/ou chacun campent sur ses positions.
C’est-à-dire :
1 - Les conflits artisans - grandes surfaces.
Qui sont toujours là bien présents, mais qui hélas ne résout en rien nos besoins pains et pâtisseries quotidiennes.
Photographies : "Boulangerie - métier du pain" par le citadin année 2011 / 2013©1®- "Rayon pain d’une grande surface" trouver sur "Google' notre ami 2013.
Aucun lien internet pour cet article.

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