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Essai Balise more

Publié le 09 avril 2013 par Filasuivre

« Si le kayak des Esquimaux polaires est sans style, c’est que les Esquimaux de Thulé ne se sont pas efforcés, comme les Groenlandais de la côte Sud-Ouest, de perfectionner les formes des embarcations. L’utilité du kayak y est réduite du fait de la brièveté de la saison de la débâcle — trois mois à peine — et aussi du danger de naviguer dans des eaux parsemées de glaçons aux arêtes coupantes. » — Jean Malaurie, 19584.

Selon les époques, les régions et les usages, les embarcations évoluaient. Les kayaks traditionnels peuvent par exemple être distingués en trois types :

le baidarka de la mer de l’Alaska et des Aléoutiennes, d’architecture la plus ancienne, avec une forme arrondies et de nombreux bouchains. Avec un cockpit double ou triple, il était destiné à la chasse et au transport de passagers ou de marchandises.
le qajaq du Groenland Ouest, avec une forme plus angulaire et moins de bouchains, ayant des plats-bords débutant à la proue et la poupe
le qajaq du Groenland Est, qui ressemble au Groenland Ouest, mais s’intégre souvent plus étroitement avec le pagayeur et possèdent un angle plus raide entre le plat-bord et la tige, ce qui confère une meilleure maniabilité.

Les autochtones de l’arctique utilisaient également l‘umiak, un grand canot en bois (ou os de baleine) et peau de phoque, destiné au transport de marchandise, au voyage des femmes et enfants, et à la chasse à la baleine. Il était à l’origine propulsé avec des pagaies simples, généralement par plusieurs pagayeurs.
(Source Wikipedia) pour essai.


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