Plus facile à dire qu’à faire lorsque le CICR travaille dans 35 situations de conflits armés, à la nature et aux conséquences humanitaires singulières. Certes le CICR dispose d’un mandat unique, assure le rôle de “gardien” du Droit international humanitaire mais doit aussi s’adapter par tous moyens aux contextes dans lesquels il travaille ; une orthodoxie à géométrie variable qui ne saurait néanmoins s’écarter de la finalité de l’action : la protection et l’assistance des victimes.
En écho à l’interview d’Yves Daccord , patron de la communication, le regard de Balthazar Staehelin, directeur-adjoint des opérations pour les affaires globales du CICR : itw-balthazar-staehlin-icrc-global-reach.1209541334.mp3
PS : Beaucoup d’appels pour me demander si il n’y aurait pas par hasard au CICR des délégués prénommés Melchior et Gaspard. La réponse est non.
Jeu de briques
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Pacman
Bubble