Après avoir été super déçue (et le mot est faible) par le dernier Anna Gavalda et son affreuse couverture, je me suis lancée dans un genre totalement différent : le roman graphique. Le Journal de Frankie Pratt de Caroline Preston n’est donc pas tout à fait un livre comme les autres, même si au final il nous raconte bien une histoire !
L’histoire de ce roman est celle de Frankie Pratt que l’on suit au fil des années, depuis le lycée jusqu’à la vie d’adulte. Travail, amours, famille et amitié sont au rendez-vous de verre jolie histoire illustrée comme un scrapbook avec des photos, cartes postales et autres documents. Une autre façon de lire et de se plonger dans une histoire, une expérience particulièrement chouette, alors que je ne suis pas particulièrement accro aux BD par exemple.
1920 : Frankie Pratt a 18 ans lorsqu’elle commence à écrire son Journal. Elève prometteuse. lectrice avertie, la jeune fille rêve de devenir écrivain. Avec une machine à écrire Corona et une fantaisie d’archiviste, elle se lance dans le récit de ses aventures sous forme de scrapbook. Tour à tour étudiante boursière au Vassar College, danseuse de charleston amateur à Greenwich Village, rédactrice de potins à grand tirage, secrétaire d’édition auprès de James Joyce, amoureuse éperdue de mauvais garçons, elle nous entraîne clans un périple qui la conduira du New York de la Prohibition au Paris des Années folles. Cartes postales, articles et dessins de presse, gravures de mode. tickets de train ou de paquebot, échantillons de tissus… Six cents pièces d’époque, glanées chez les antiquaires ou sur Internet, ont été nécessaires pour composer ce livre.
Une très chouette idée de cadeau de Noël pour les amoureux des beaux livres, de cette époque ou tout simplement les curieux !
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble