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Critiques Séries : The Crazy Ones. Saison 1. Episode 9. Sixteen Inch Softball.

Publié le 25 novembre 2013 par Delromainzika @cabreakingnews

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The Crazy Ones // Saison 1. Episode 9. Sixteen Inch Softball.


The Crazy Ones tente de nous raconter comment une agence de communication tente de tourner et comment elle s’amuse afin de trouver de nouvelles idées. Certes, Roberts & Roberts est une agence différente. Notamment car Simon n’est pas quelqu’un de normal et qui a toujours les bonnes idées au bon moment (surtout au dernier moment). Mais je dois avouer que dans tout cela, la série parvient à créer quelque chose d’assez intelligent, notamment en s’amusant avec les personnages. Cet épisode est à mon humble avis l’un des plus réussis de la saison. Ce n’était pas tordant mais c’était tout ce que The Crazy Ones doit être à la fois. C’était amusant, léger, bon enfant et puis je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Et Dieu sait que c’est important quand on regarde une série de ne pas s’ennuyer. Enfin, vous ne pensez pas ? Du coup, dès l’introduction qui était déjà assez drôle, j’ai trouvé l’idée de nous offrir une petite partie de softball entre Creatives et Accounts plutôt bonne. Surtout que même si je n’aime pas le sport, l’idée de forger l’esprit d’équipe autour d’un seul et même but était une brillante idée.
La mise en scène de The Crazy Ones participe elle aussi au côté léger et amusant de cette petite partie de softball, surtout quand Simon (qui avait gagné le jeu il y a dix ans n’a pas remis le couvert depuis) se retrouve face à une sorte d’impossibilité de gagner une nouvelle fois. Mais dans The Crazy Ones il n’y a pas de perdants, que des gagnants. Surtout que l’ensemble fonctionne là aussi sur l’esprit d’équipe avec une petite morale jamais ennuyeuse à la clé. Il y avait de très bonnes répliques (notamment sur le fait que l’agence avait balancé le compte des Pocket Motorcycle pour une histoire de gosses obèses), qui mettent elles-aussi en scène le monde de la communication. Autant dire que c’est pile poil ce que je recherche quand je regarde cette petite série. Dans tout cela, The Crazy Ones se permet également de faire évoluer la relation entre Simon et Gordon. Ce dernier n’est pas forcément le meilleur personnage de la série mais il permet aussi de canaliser légèrement Simon. Robin Williams est quelqu’un d’assez incontrôlable parfois (bien que je le trouve plutôt détendu dans cette série et pas trop hystérique).

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Sydney quant à elle tente de jouer les entremetteuses et de faire en sorte que tout se passe bien. L’idée de jouer en quelque sorte la place d’un employé à une partie de softball n’était pas forcément la meilleure idée d’un point de vue créatif mais une agence de communication comme celle dépeinte de The Crazy Ones peut le faire. Même à la fin de l’épisode avec cette petite course sur des mini motos. C’était là aussi une bonne idée. Finalement, cet épisode associe tout ce qui fait que j’aime cette série. Sans pour autant forcer les traits de la comédie ou encore des relations familiales. Quand The Crazy Ones tire un peu trop sur la corde parfois cela donne des épisodes un peu moins efficaces et moins bons. Là c’est tout le contraire qui se passe et je suis logiquement assez ravi. Je me demande cependant encore si Brad Garrett était la meilleure addition que The Crazy Ones pouvait faire à son casting. Il est indéniable que le personnage apporte quelque chose en plus mais était-ce nécessaire ? Surtout quand à côté la pauvre Lauren reste encore sur la touche.
Note : 7.5/10. En bref, l’un des meilleurs épisodes de The Crazy Ones jusqu’à présent.


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