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La vérité sur la mort de Kennedy

Publié le 30 novembre 2013 par Lonewolf

Tremblements

La découverte récente sous forme de testament des confessions de Marcus Blomsfield apporte une toute autre lumière aux événements survenus le Vendredi 22 Novembre 1963. Afin de ne pas dénaturer ce récit, nous avons décidés de vous en offrir des extraits exclusifs. La suite à paraitre dans un livre événement qui racontera en détails tous les tenants et aboutissants d’une affaire qui aurait pu rester mystérieuse encore longtemps.

Extrait de l’introduction:

« Moi Marcus Blomsfield je jure sur ce que j’ai de plus précieux que les événements relatés dans ce testament sont parfaitement réels. J’ai longtemps travaillé pour le gouvernement des Etats Unis d’Amérique. Et lors des événements de 1963 je travaillais dans un service secret dont seul le président des Etats Unis avait connaissance. Nous étions sous son contrôle et à son service exclusif. »

Une enquête minutieuse nous a permis de confirmer que Marcus Blomsfield était affecté à un service rapproché du président Kennedy jusqu’aux événements. Il a ensuite été réaffecté aux services secrets après les résultats de la commission d’enquête Warren.

L’ordre de mission:

« Lorsque j’ai été convoqué par le président dans son bureau je ne m’attendais pas à son annonce. Une enquête interne avait mis au jour que la femme du président entretenait une liaison amoureuse au sein même du personnel de la maison blanche. Le président souhaitait que nous organisions un attentat raté sur sa personne. Il fallait que durant l’opération, un accident tragique touche la première dame. Face à l’opinion publique d’une Amérique très puritaine, il ne voulait pas qu’une affaire de mœurs vienne entacher sa présidence. Un divorce aurait été du plus mauvais effet. »

Les documents en notre possession confirment que le président avait été prévenu de cette affaire sans en avoir les détails. Il n’a jamais su quel membre de son personnel était impliqué malgré ses efforts.

La mise en place:

« Nous avions embauché par des moyens détournés un individu mentalement dérangé du nom de Lee Harvey Oswald. Nous lui avions fourni les détails du trajet ainsi qu’une arme. Elle ne comportait aucune munition létale et ne devait servir qu’à couvrir le tir mortel qui devait toucher la première dame. Pour cet individu, la cible était le président des Etats Unis. Ce qui devait nous permettre d’utiliser l’incident pour maquiller le meurtre en accident.

Marcus Blomsfield faisait partie des enquêteurs qui ont rendus le rapport à la commission Warren. Son nom apparait sur divers documents relatifs à l’arrestation du tueur présumé du président Kennedy. Dans son testament on apprend entre autre que Lee Harvey Oswald n’avait aucune chance de s’échapper. Sa mission était de l’ordre de la mission suicide. D’ailleurs il aurait dû être abattu pendant son arrestation pour ne laisser aucun témoin gênant. Mais au vu des événements il a été décidé de le garder en vie pour confirmer la véracité des conclusions de l’enquête.

La préparation:

« Lorsque j’ai reçu mon affectation sur cette mission j’ai failli faire un malaise. On m’avait confié le rôle du second tireur. Je devais donc viser la première dame et l’assassiner. Moralement je ne devais pas me poser de questions, ma mission était prioritaire sur mes états d’âme. Pourtant au vu des circonstances j’avais du mal à assumer. Malgré tout, en bon soldat je me préparais et prenais place à quelques fenêtres de Lee Harvey Oswald pour attendre le passage du convoi. »

Cette partie du testament reste étrangement incompréhensible en première approche. En effet cet homme était habitué aux missions difficiles et même s’il n’avait probablement aucune raison de retirer la vie à cette femme il était du genre à mener sa mission à bien. Nous avons pu obtenir ses états de service et Mr Blomsfield avait plus de récompenses que n’importe quel autre membre de l’équipe appartenant au service privé du Président.

Avant de vous faire lire l’extrait relatif au jour du Vendredi 22 Novembre 1963 il nous parait important de vous faire lire quelques lignes des derniers feuillets de son testament. Même si ils vous sembleront cryptiques, ils vous permettront de vous faire une idée de la personnalité de Mr Blomsfield. Ces informations nous paraissent essentielles pour comprendre le déroulé des faits.

Regrets éternels:

« Longtemps je me suis demandé pourquoi? Pourquoi moi? Pourquoi cette exécution? Le monde dans ces années-là était terriblement instable. Le Président Kennedy n’avait probablement pas pris cette décision de gaieté de cœur. Pourtant il aurait pu surement étouffer l’affaire sans que personne n’en sache rien. Je crois que ce qui lui a manqué pour le faire était le nom de celui avec qui Jacqueline entretenait une liaison. J’aurais préféré qu’il l’apprenne, quitte à ce qu’il se venge sur lui et le fasse disparaitre. Nous n’aurions pas perdu un homme d’une grande valeur qui avait pour notre pays une vision et beaucoup de volonté. »

Lors de notre enquête nous avons pu mettre la main sur une partie de la correspondance entretenue entre Jacqueline et son amant. Ces informations ne sont pas dans le testament de Mr Blomsfield mais elles apportent des éléments importants pour comprendre pourquoi le Président Kennedy avait souhaité faire disparaitre son épouse. Nous vous fournissons ces informations même si elles sont difficilement vérifiables. En effet les sources ne sont pas connues. Malgré le fait que  de nouveaux éléments que nous vous ferons découvrir plus tard permettent de les replacer dans le contexte nous vous invitons à prendre ces informations comme des « on-dit » et non comme des preuves concernant une autre affaire d’état bien connue.

« Ma chère Jacqueline,
tu as parfaitement raison. J’ai été impliqué dans l’affaire Norma Jeane Mortenson. Elle devenait incontrôlable. Son goût pour la drogue et la boisson risquait de mettre en danger ton époux. Nous avons tenté d’éviter d’en arriver là mais malheureusement… Tu connais la fin de l’histoire. Je serais encore absent pendant quelques semaines. Il faut nettoyer toutes les traces. Nous ne pouvons laisser le moindre témoin même le plus insignifiant. Je n’apprécie pas ce genre de mission mais je sais que je le fais pour le bien du Pays.
Tu me manques. Tes baisers, ta peau douce. Peut-être pourrais-tu suggérer à John un petit voyage à Los Angeles. Il y a certains proches qu’il pourra convaincre plus facilement de se taire que nous. Et comme ça nous pourrions peut être nous voir quelques heures quand il sera occupé.

Je sais à quel point tu peux te montrer persuasive. Ne me réponds pas tant que je suis là. Nos courriers sont probablement fouillés comme souvent en opération. Je saurais bien assez tôt si John décide de venir et si tu seras avec lui ou pas.
Je t’embrasse Jacky et j’espère te revoir vite.
 »

Nous avons fait appel à des experts en graphologie, mais il semble que l’homme qui a écrit ces lignes savait camoufler sa manière d’écrire pour ne pas être identifié. Malgré le recoupement avec de nombreux courriers que nous avons pu nous procurer au journal, l’auteur reste inconnu. La seule certitude est qu’il faisait partie du groupe de Marcus Blomsfield.

Le testament apporte pourtant une réponse à toutes ces questions. Comme nous vous l’indiquions plus tôt, les feuillets relatifs au Vendredi 22 Novembre 1963 jettent une lumière étonnante sur toute l’affaire. Nous avons effectués quelques coupes afin de rendre la lecture la plus pertinente possible. Vous pourrez lire l’intégralité de ce document dans le livre à venir ainsi que des documents exceptionnels que nous avons compilés en annexe. Dont certains des courriers.

Le jour J:

« Je venais de prendre position. Toute communication étant interdite nous avions mis au point un signal afin que je sache quand appuyer sur la détente. J’avais préparé mon fusil avec soin. Je n’aurais pas dû mais j’avais emmené un flasque avec moi. Ma main tremblait lorsque je portais le goulot à mes lèvres. L’attente est ce qu’il y a de plus terrible dans ce genre d’affaires. La foule était bruyante, mais je n’arrivais pas à me mettre dans l’ambiance. Regardant ma montre je portais la lunette à mon œil. Les drapeaux s’agitaient, la foule bruissait, le convoi devait être en vue.

Pour celui qui n’a jamais tenu une vie entre ses mains, il est difficile d’imaginer ce qu’on peut ressentir. C’est un sentiment mêlé de pouvoir et de peur. Ce jour-là se mêlait aussi l’amour et la conscience professionnelle. La voiture arriva au bout de la place. Je visais Jacky. Elle était radieuse dans sa tenue rose. Elle souriait au public totalement inconsciente de ce qui se passait autour d’elle. Je la tenais dans le viseur, mais chaque fois que je voyais son sourire, ses lèvres, je repensais à ses baisers, à nos moments partagés. Ma main tremblait tellement que je perdais parfois la ligne de mire. Quand j’aperçu le signal, ma respiration se fit incontrôlable, j’haletais. Pourtant j’appuyais sur la détente. Je me rendis compte que la balle effleura le président et vint percuter le gouverneur assis devant lui en plein dans le dos. Tremblant comme une feuille je visais à nouveau ma douce Jacky. La foule était en émoi, les services secrets cherchaient à comprendre ce qui venait de se passer. Juste avant de tirer je fermais les yeux ne pouvant retirer la vie à Jacky de sang-froid. La balle vint percuter le président en pleine tête, le tuant sur le coup.

Laissant le fusil glisser de mes doigts je me rendis compte que j’avais tué le président des Etats Unis d’Amérique… Ma mission était de simuler un attentat et de tuer sa femme et j’avais tellement bien simulé qu’il était mort. Je savais à cet instant que personne ne le saurait. Nous étions peu nombreux à connaitre le plan. Il suffisait de mettre sur le dos de Lee Harvey Oswald le meurtre. Personne ne saurait jamais qu’il s’agissait d’un tragique accident. Et que ce jour-là il n’aurait jamais dû mourir mais devenir veuf.

Que Dieu me pardonne. »

Notre travail de journaliste nous oblige à garder une certaine distance avec ce testament. Il s’avère que nous avons confirmé et vérifié un certain nombre de faits dont Marcus Blomsfield fait état. Nous vous invitons à vous procurer le livre dès sa sortie pour vous faire un avis personnel.


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