Magazine Humeur

On parle de grandes grandes manœuvres pour composer le nouveau gouvernement autour de Manuel Valls...

Publié le 02 avril 2014 par Raymond_matabosch

On parle de grandes grandes manœuvres pour composer...

le nouveau gouvernement autour de celui dont les médias chantent les louanges en le qualifiant, d'une amitié ironique car nombre d'entre eux se sont retrouvés sous les écoutes de la Place Beauvau, pour certains, de Vallskozy, « une continuité frappante ayant en commun les mêmes priorités policières, le même discours, les mêmes équipes car les personnes qui s'occupaient des étrangers, de la police dans les quartiers, sont des gens qui ont été installés par Sarkozy et que Valls a maintenus, tandis que ce dernier ne remet pas en cause, à titre de Ministre de l'Intérieur, la politique du chiffre », et, pour les autres, de Sarkozy de Gauche, « le plus à droite des socialistes et le ministre le plus populaire du gouvernement Ayrault en s’affichant, sans complexe, comme le premier flic de France parce qu'il est un adepte de la fermeté et qu'il a joint le geste à la parole en orchestrant une politique de démantèlement des campements Roms illégaux, de chasse aux sorcières en s'acharnant sur Dieudonné... et ses dérapages mémorables comme celui dont il s'est commis lors de sa venue dans la ville d’Evry…en réclamant... ''la ville sera belle si tu me mets quelques blancs, quelques whites, quelques blancos…'', se mettant, ainsi, à dos une bonne partie de la gauche. Et si son bilan est plus que mitigé contre la délinquance, tous les chiffres, malgré ses gesticulations, étant en constante hausse, ce sont surtout ses prises de position affirmées qui ont marqué les esprits. Quand ses multiples détracteurs, au sein du Parti Socialiste, dénoncent un arriviste dont les choix servent son ambition ultime, l'Élysée, ses 6 % de sympathisants insistent sur le multiculturalisme de ce Catalan de 51 ans, naturalisé Français à l‘âge de 19 ans. »,


alors que pour Edwy Plenel, président et fondateur du journal en ligne Mediapart, « Le danger, ce n’est pas Madame Le Pen » mais « Manuel Valls », que pour QuartierLibre, un média des quartiers populaires, défavorisés et laissés pour compte, « Valls, quand il était Ministre de l’Intérieur tirait volontairement trop court avec l'intention  de faire rentrer dans le rang ou de criminaliser celles et ceux qui se battent au quotidien Et les tirs d’artillerie trop courts tombent toujours sur la première ligne. Qui compose la première ligne dans un climat social tendu ? Les quartiers et les classes populaires... », que pour « Oumma », un média de la communauté musulmane francophone, « Manuel Valls se rêvait un grand destin et pas seulement le matin en se rasant, et il est certainement le seul socialiste à avoir une raison de se réjouir de la débâcle de la gauche aux municipales, puisqu’elle aura été son marchepied vers le sommet de l'État, le premier flic de France ayant troqué son costume martial de ministre de l’Intérieur pour l’habit de lumière de Premier Ministre. Il faut dire que le Sarkozy de gauche, immigré espagnol qu’il est, plus royaliste que le roi, qui aspire à être calife à la place du calife, divise plus qu’il ne rassemble au sein de son propre camp, quand il n’affole pas ceux dont le cœur palpite vraiment à gauche et tous les Français de toutes sensibilités qui sont encore attachés aux valeurs humanistes du pays des droits de l’Homme, par sa stigmatisation décomplexée des Roms et des femmes voilées, entre autres, pratiquant la chasse aux sorcières sans état d’âme, au risque de ternir durablement le blason de son pays d’adoption... », et pour le média des quartiers défavorisés, « Faute de changement, on assiste à une réussite du clonage, Nicolas Sarkozy reprenant vie au Ministère de l’Intérieur sous les traits de Manuel Valls. Avec Manuel Valls, les ritournelles et les cibles des forces répressives de l'État restent les mêmes, les opérations de communication demeurent une constante car il n’a pas de solution à apporter aux problèmes sociaux et n’a pas vocation à le faire. Son boulot, c’est de faire rentrer les gens dans le rang ou de les mettre au ban de la société. Garde barrière agressif d’une république dont les contours sont flous et la définition abstraite, il gère le territoire et les populations. Il ne règle pas les problèmes, il soumet et sanctionne. Il dessine lui-même les frontières de ce qui est convenable ou non, légitime ou pas. A défaut de combattre les injustices, il désigne les ennemis qu’il prétend combattre au nom des valeurs républicaines... Et, étant un homme dangereux pour les cités, il a été catapulté Premier Ministre », et on parle de grandes grandes manœuvres, autour de Manuel Valls, pour composer une équipe resserrée d'une quinzaine de ministres placés aux postes-clés, majoritairement des proches du président et aléatoirement du nouveau Premier Ministre, mais entourés d'une foultitude de Secrétaires d'État nommés à l'envie, sur plusieurs cessions aux fins d'enfumage « pour que ce ne soit pas trop indigeste... », petite indiscrétion de l'un du clan des corréziens sévissant à l'Élysée, « ...aux contribuables », qui multiplieront, d'autant, les dépenses publiques.

Et soyons Foll, si je mens, une seconde indiscrétion ayant fuité des limbes « de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire », « les petits cahiers d'écolier de l'élève Guéant » sont sortis d'un chapeau, ce 1 Avril 2014, pour mieux enfumer, focaliser les esprits simples ou malsains vers une droite trop menaçante et, laissant le temps au temps de mettre au secret des « affaires gênantes » qui pourrait sortir et éclabousser la normalité hollandisto-socialisto-démocrate, ainsi « détourner... », par un appel à la vindicte populaire, « ...l'attention des français vers d'autres horizons » C'est dans ce contexte que se déroulent les grandes grandes manœuvres pour composer le nouveau gouvernement qui officiera sous les directives « autoritaristes » de Manuel Valls...

Quant aux fédérations départementales, bon nombre d'encartés et de sympathisants, les murs pouvant avoir des oreilles, ont pris, pour habitude, de se réunir, en petits comités, hors de leurs locaux...


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