Magazine Culture

Vernon Subutex, Virginie Despentes

Publié le 05 décembre 2014 par Bouquinovore @bouquinovore

Vernon Subutex, Virginie Despentes Auteur:Virginie Despentes Titre Original: Vernon Subutex, 1 Date de Parution : 7 janvier 2015 Éditeur :Grasset ISBN: 978-2246713517 Nombre de pages : 400 Prix : 19,90 €
Commandez: Vernon Subutex, 1: roman
Quatrième de couverture : Vernon Subutex est un ancien disquaire, rescapé d’un monde en voie de disparition. Beaucoup de ses amis proches sont morts, ou ont quitté Paris. Reste Alex Bleach, chanteur populaire, qui est la dernière personne de son entourage à pouvoir l’aider à payer ses factures. Un soir, Alex Bleach se filme, dans l’appartement de Vernon, sous coke. Quelques semaines plus tard, il décède d’une overdose. Vernon est expulsé de l’appartement qu’il occupait depuis dix ans. Il ne lui reste qu’à se faire héberger chez les uns, chez les autres, mais les connaissances qui lui restent ne sont pas toujours en mesure de lui apporter de l’aide. Chasse au trésor : tout le monde (un producteur, un réalisateur, une biographe, une « privée », une star du X, une jeune fille voilée) cherche ce paumé de Vernon pour mettre la main sur les rushs exclusifs du testament halluciné de Bleach. Chasse à l’homme : Vernon ignore qu’il est l’objet d’une traque, puisque, fauché, il squatte successivement d’appartements en appartements. Autant de portes ouvertes sur ce que le temps a fait de ces anciens adeptes de la culture rock, aux destinées plus ou moins heureuses. Chaque station de croix de ce Christ déjanté présente de nouveaux personnages, convoque un thème, traverse un milieu : Xavier, ou la dérive de l’extrême gauche à l’extrême droite raciste ; Laurent, ou les milieux du cinéma ; la Hyène, ou l’art du lynchage cybernétique ; Sylvie, ou la vengeance de la femme mûre humiliée ; Lydia, ou la nullité des demi-sels de l’édition ; Pamela Kant et Vodka Satana, ou grandeur et décadence des ex-stars du porno ; Daniel, transexuel bien dans sa peau ; la vénéneuse Marcia ; Kiko, ou l’obscénité cynique et folle des traders sous coke ; Patrice, ou l’homme qui ne peut s’empêcher de rouer de coups celle qu’il aime ; Selim, ou l’amertume de la classe moyenne de gauche ; Aïcha, ou la tentation religieuse... Chaque appartement ouvre une vie, chaque destin emporte le lecteur dans un univers différent… jusqu’à ce que les fils se tissent, se croisent, pour former les motifs d’une immense tapisserie qui fait passer le lecteur, haletant, de l’autre côté du miroir. Virginie Despentes invente ici le roman picaresque post-moderne. A suivre...

Retour à La Une de Logo Paperblog

LES COMMENTAIRES (1)

Par lerouge
posté le 05 janvier à 14:29
Signaler un abus

virginie despentes,pour tous les amateurs de très mauvaise littérature.Mais, peut-on appeler l'écriture de despentes de la littérature? Ce serait plutôt un mélange de Lévy,Guy des Cars et François Stodaf.Bref,un infâme brouet.

A propos de l’auteur


Bouquinovore 20707 partages Voir son blog

Magazines