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Mon année (2014) cinéma

Par Emidreamsup @Emidreamsup

Après une année 2013 moins prolifique que je l’avais imaginé côté cinéma, j’ai décidé d’être moins exigeante en 2014.

Les films de 2014 m’auront encore une fois ébloui, m’auront fait rire, pleurer, m’émouvoir, mais m’auront aussi donner des ailes. Mon amour du cinéma est toujours plus grand. Même si quelques navets ou expériences malencontreuses auront aussi rythmé cette année, écumer les salles obscures restent une expérience dont je ne peux me passer…

Voici donc tout ce qui m’a fait aimer le cinéma cette année :

Pour le « Yeah ! Why ?  » de Olaf et la double personnalité de Kristoff dans Frozen qui m’ont fait mourir de rire.

Pour l’overdose d’images porno dans Don Jon qui est heureusement tellement plus que ça…

Pour les larmes et les rires que Philomena m’a provoqué sans difficulté.

Pour la prestation à couper le souffle de Robert Redford dans All is Lost.

Pour mes retrouvailles avec mon marshmallow préféré aka Veronica Mars #TeamLoganForever !

Passer la séance de Rio 2 à empêcher les enfants dont on s’occupe de se lever pour danser, de crier lors du match de foot ou encore à faire des aller-retours au WC… #vismaviedanimatrice

Pour l’intensité du jeu de Mathieu Amalric dans La Chambre Bleue.

Parce que Marion Cotillard est si fragile et si brave dans Deux jours, une nuit.

Parce qu’avec The Rover et Maps to the Stars, Robert Pattinson prouve qu’il a un putain de potentiel et que Twilight était une « erreur » de parcours.

Parce qu’il n’y a que Ken Loach pour dissimuler un remake de Footloose avec une chronique socio-politique irlandaise.

Parce qu’avec Sils Maria, Olivier Assayas nous offre un trio d’actrices au poil.

Parce que l’Australie recèle bien des joyaux et David Gulpilil est l’un d’entre eux.

Parce que Xavier Dolan et son Mommy « just litteraly blow my fucking mind » !

Pour les fous rires que les sketchs de Relatos Salvajes ont provoqués.

Pour les prestations bluffantes de Channing Tatum, Mark Ruffalo et Steve Carell dans Foxcatcher.

Parce que Tommy Lee Jones rend parfaitement hommage aux femmes dans son The Homesman.

Parce qu’avec son Disappearance of Eleanor Rigby, Ned Benson m’a fait passer par toutes les émotions possibles en moins de 2h.

Parce que Timothy Spall en ours mal léché est parfait dans Mr Turner.

Pour la vie et l’espoir qui émane de Timbuktu.

Pour les images hypnotiques et envoûtantes de Lost River.

Parce que dans Légendes Vivantes, Steve Carell se rendant hommage à son propre enterrement m’a fait pleurer de rire et que la bataille de journalistes à Central Park est épique.

Parce que Maleficent a réussi à me faire craquer pour un homme-corbeau.

Pour la surprise captivante qu’a été The Truth about Emanuel.

Pour la belle leçon de cinéma de Side by Side.

Parce que la combinaison Radcliffe (Ginsberg) / DeHaan (Carr) dans Kill Your Darlings est parfaite.

Parce que voir Jersey Boys avec ma Zazou et ses lunettes de soleil, ça n’a pas de prix.

Pour les 1h45 de « What the Fuck » d’Under the Skin.

Parce que Begin Again m’a donné la sensation d’être sur un mélodieux nuage et que John Carney est parfait pour parler des sentiments en mêlant musique et image.

Pour le côté acteur caméléon de Christian Bale qui ne cessera de m’étonner.

Parce que même en esclavagiste, Benedict Cumberbatch me fait fondre.

Parce que j’ai un petit côté (en dehors du « je suis amoureuse de mon demi-frère ») Julianne Nicholson dans August : Osage County.

Parce qu’une année cinéma sans râler sur Luc Besson, c’est pas vraiment une bonne année

;-)

Pour avoir pleuré comme une madeleine avec The Fault in our Stars.

Parce que aller au cinéma avec un groupe d’enfants est parfois une grosse erreur quand on doit faire 15 allers-retours aux toilettes pendant La Légende de Manolo ou quand on doit se taper en VF Les Pingouins de Madagascar. #vismaviedanimatrice

Parce que Jake Gyllenhaal arrive à être incroyablement flippant et sexy dans Night Call.


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