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Une belle fin, en avant-première au festival Ciné O’Clock

Publié le 30 janvier 2015 par Journal Cinéphile Lyonnais @journalcinephil

Ciné O'clock

Une belle fin, le très sensible film d’Uberto Pasolini (producteur de Full Monty) sera  présenté en avant-première, au festival Ciné O’Clock  qui se tient au cinéma Le Zola (Villeurbanne)  du 31 au 8 février.  N’hésitez pas à venir découvrir ce film qui nous a enchanté au festival de Dinard.

Les séances : Dimanche 1er : 18h45 / Mercredi 04 : 18h45 / Jeudi 05 : 16h15 / Vendredi 06 : 19h

Toutes les informations sur www.cineoclock.com

une-belle-fin-affiche

Une belle fin (Still Life)
Réalisation : Uberto Pasolini

Avec :  Eddie Marsan, Joanne Froggatt, Karen Drury 
G-B – Italie / 2015 / 1h27 / VOSTF

SYNOPSIS

Modeste fonctionnaire dans une banlieue de Londres, John May se passionne pour son travail. Quand une personne décède sans famille connue, c’est à lui de retrouver des proches. Malgré sa bonne volonté, il est toujours seul aux funérailles, à rédiger méticuleusement les éloges des disparus… Jusqu’au jour où atterrit sur son bureau un dossier qui va bouleverser sa vie : celui de Billy Stoke, son propre voisin.

« Pour son deuxième film en tant que réalisateur, le producteur de Full Monty livre un film intense sur la solitude et le sentiment d’appartenance. » Cineuropa.com

 

une belle fin

A PROPOS DU FILM

L’idée d’Une belle fin est partie d’une interview qu’Uberto Pasolini a lue dans un journal de Londres, sur un employé des pompes funèbres. Intéressé par le sujet, le réalisateur a alors rencontré de nombreux salariés dans cette branche et assisté à plusieurs enterrements pour apporter de la crédibilité à son film.

La vie de John May, personnage principal étant « plate » et « immobile », le réalisateur a choisi de filmer Une belle fin à travers une caméra fixe, représentant ainsi le point de vue de John May, qui se croit limité.

Pour évoquer le changement intérieur qui s’opère chez John, Uberto Pasolini a décidé d’intégrer de la couleur au fur et à mesure du film. Ainsi, seul au début d’Une belle fin, John est entouré par un monde gris/bleu. Plus l’intrigue avance, plus il rencontre des gens et des couleurs, plus vives, qui s’installent sur l’image.

UN TITRE A DOUBLE SENS

Le titre original d’Une belle fin, Still Life, peut être interprété de deux manières. Il peut signifier « vie immobile », comme celle du héros, pour qui rien n’évolue. Mais il peut également vouloir dire « encore la vie », titre qui serait ainsi le reflet du sujet profond du long métrage.

FESTIVALS

Prix Orizzonti du Meilleur Réalisateur au Festival de Venise 2014.

UBERTO PASOLINI

Réalisateur et producteur italien, il est le neveu de Luchino Visconti. Il commence sa carrière en tant que banquier d’investissement. Il débute au cinéma comme stagiaire sur La Déchirure de Roland Joffé (1983). En 1994, il fonde la société de production Redwave Films. Son premier succès en tant que producteur est The Full Monty (1997). Dix ans plus tard, il réalise son premier long métrage Sri Lanka National Handball. Il a récemment produit le film Bel-Ami d’après Maupassant avec Robert Pattinson dans le rôle principal.

Le réalisateur vit en Angleterre, pays où il a réalisé Une belle fin.

Filmographie sélective

  • 2013 Une belle fin
  • 2008 Sri Lanka National Handball Team

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