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Jupiter Ascending (Ciné)

Publié le 08 février 2015 par Bigreblog

« Woohoo! Elle est enfin sortie de son trou! » doivent se dire les gens dans la salle. Oui, en effet, mes Bigronautes chéris, j’ai trouvé le temps de sortir de mon trou et d’aller au cinéma.

Et pour cette première sortie ciné de l’année, j’ai choisi ni plus ni moins que le dernier-né des Wachowski. Pour vous dire comment la science-fiction, ça me botte. ;)

Alors, si vous voulez savoir ce que ça vaut, cliquez donc! C’est garanti sans spoilers!

Jupiter Jones est née sur les eaux internationale, sans nation, d’une mère immigrée russe et d’un père anglais assassiné avant sa naissance. Un beau jour, elle découvre que sa vision du monde est sérieusement limitée, et qu’au-delà des frontières de la Terre se trouve un Univers fascinant et dangereux…

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On a annoncé Jupiter Ascending comme étant THE film de SF de l’année, même au-dessus du prochain Star Wars à naitre. Et si je ne suis pas forcément d’accord sur le second point, je suis plutôt d’accord sur le premier. C’est un total must-see. Bon, surtout pour ceux et celles qui aiment la SF, c’est certain, mais il n’empêche.

Lana et Andy Wachowski sont des filous. Après nous avoir pondu Matrix et Cloud Atlas de leur petite cervelle, les voilà qui reprennent les canons de la SF des années 80 et les chamboulent pour donner un film qui, visuellement parlant, est à couper le souffle. Quelle bande de…ouais…filous, quoi. Il faudrait d’ailleurs qu’il me donnent la marque de ce qu’ils sniffent, parce que ça doit être de la bonne.

Les références indéniables du film sont, bien entendu, les Star Wars eux-mêmes, de par certains graphismes mais aussi par le look des planètes, dont une Horus (sans rien spoiler) qui ressemble sérieusement à Coruscant. Sans parler des gadgets qui feraient fureur si quelqu’un venaient à les inventer.

Mais bon, voilà, Jupiter Ascending repose aussi sur un casting qui, sans casser trois pattes à un canard, fait son boulot comme il se doit.

Jupiter est donc incarnée par la nouvelle chouchoute de Hollywood, la très canon Mila Kunis. Et si son personnage n’est pas vraiment ce qu’on peut appeler une badass, elle est quand même loin d’être nunuche, et a même certains des dialogues les plus poilants du film.

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Son garde du corps, Caine, est interprété par la valeur sûre Channing Tatum, et ses muscles qu’il ne manque pas d’exiber à tout va. Lui aussi est franchement intéressant, et se tape quand même le luxe d’apparaitre premier au générique. Rien que ça.

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Le grand méchant, Balem Abraxas, est quant à lui incarné par Eddie Redmayne, mon chouchou d’amour de Pillars of the Earth ou encore de Les Misérables, qui a donc jonglé entre gros con au doublage sérieusement affreux et Stephen Hawking. Je crie à l’Oscar, mais pas pour le premier. ;)

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Et le troisième personnage principal, Stinger, hybride humain-abeille (how classe), est donc incarné par Sean Bean, qu’on ne présente plus. Boromir, outre nous taper de sa classe internationale quand il faut jouer de la baston, est donc l’un des personnages les plus captivants notamment parce que les Wachowski jouent sur son statut de mortel. Dont une private joke juste succulente. Et parce que je suis vache, vous ne saurez pas s’il survit ou non. :P

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Parmi les autres rôles, on peut apercevoir James d’Arcy (que j’aime d’amour) et Bae Doona, tous deux issus de Cloud Atlas; Maria Doyle-Kennedy; Douglas Booth; Tim Pigott-Smith; ou encore Christina Cole.

Donc, pour résumer: des références dans les films de SF classiques; du visuel juste superbe; et un scénario pas trop compliqué ni trop simpliste. C’est donc un must-see. Filez.

Note: 8,25/10 (scénario: 8/10 (oui, bon, l’histoire d’amour, elle est naze)jeu: 9/10 (du lourd, que du lourd)BO: 8/10SF: 8/10)

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