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Insurgent (Ciné)

Publié le 11 avril 2015 par Bigreblog

Bonjour tout le monde!

Hier, après avoir passé la journée à la plage (en Belgique, dès qu’il y a un rayon de soleil, on se tape 3 heures de train pour aller à la Mer du Nord), mes coupines et moi sommes allées voir Insurgent, aka Divergente 2 pour ce monstrueux doublage français.

On va être très clairs: je suis très TRES mitigée.

Spoilers free! ;)

Ce deuxième opus reprend là où le précédent s’était arrêté: Tris, Four, Caleb, Marcus et Peter sont toujours en cavale, obligés de se réfugier chez les Fraternels pour échapper à la milice corrompue de Jeanine Matthews. Cette même Jeanine retrouve dans les décombres de la maison des Prior une mystérieuse boite qui, elle en est sûre, renferme un message des Pères Fondateurs. Un message qui ferait sans aucun doute des Divergents un groupe à éliminer à tout prix…

J’ai été très divisée devant cet opus. En même temps je comprends que certains côtés du roman pouvaient paraitre trop difficiles à traduire à l’écran, autant la plupart des changements m’ont franchement dérangée. Je n’en dirai pas plus pour ne pas spoiler et parce que ça dépend aussi de la sensibilité de chacun, mais voilà.

Au niveau des personnages, là aussi ça a bloqué. Certains évoluent trop entre les deux opus pour que ça soit crédible. Tris comprise, et ce malgré ce qu’elle a subi dans le premier film.

Elle est devenue trop froide, trop mécanique, pour qu’elle colle parfaitement à la Tris certes troublée mais surtout apathique du livre. A moins que je ne me goure totalement.

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Four n’est pas en reste. Leur relation est beaucoup plus tendue dans le roman, ce qui rend le personnage badass du premier film en petit amoureux transi qui pardonne tout. Nope nope nope.

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En fait, la seule « erreur » de scénario qui m’a plu, c’est celle concernant Peter. Parce que Miles Teller le rend franchement intéressant et que je commence sérieusement à me dire qu’il est Divergent, cet enfant. ;)

(Ouep, j’ai donc fini par l’aimer, ce petit con.)

Playing a dick LIKE A BOSS!

Playing a dick LIKE A BOSS!

Et alors, que dire, mes amis, du fait que Naomi Watts, la sublime, the ethereal Naomi Watts, puisse apparemment paraitre être la mère de Théo James? WHAAAAAT? oÔ

Et que dire dUriah, personnage que j'attendais comme le Graal et qui se paie un traitement de caca?

Et que dire dUriah, personnage que j’attendais comme le Graal et qui se paie un traitement de caca?

Bref bref bref. Bien que ce deuxième opus reste vraiment agréable à regarder comme ça dans l’absolu, j’ai l’impression d’avoir perdu le roman en cours de route et ça me désole. Voilà voilà.

Ce qui n’empêche que certaines des scènes soient parfaites.

Note: 5,5/10 (scénario: 5/10 (comment juger tant de changement?)jeu: 8/10BO: 6/10 (moins belle que le premier film)adaptation: 3/10)

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