de Ian Manook.
Un roman policier avec des vrais morceaux de Mongolie dedans ne pouvait me laisser indifférent. L’auteur nous indique en préface que c’est son premier essai, moi je dis « transformé ». Certes, certains passages auraient leur place dans un guide touristique, la violence exacerbée aurait pu être édulcorée et le héros torturé parait un poil stéréotypé (quant à la fin, elle passerait pour convenue). Mais on se laisse aller au gré des steppes et des immensités. Et puis ça nous change de Camilla Läckberg et sa Suède profonde !