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Festival de Deauville : films en compétition

Publié le 30 août 2015 par Didier Vincent

Première partie

Programme

Festival de Deauville : films en compétition

Green Room

Réalisateur : Jérémy Saulnier (Blue Ruin)

Film d'épouvante interdit aux moins de 16 ans.

Critique - gratifiante - de Télérama

"Jeremy Saulnier parvient à faire cohabiter la crudité du film d'horreur et la délicatesse du teen movie, notamment grâce à une belle utilisation du ralenti et du son désynchronisé. Au fur et à mesure que les punks se font massacrer (à la machette, au fusil de chasse, au chien d'attaque) ceux qui ne perdent pas la vie perdent leur innocence et se transforment à leur tour en guerrier, seule façon de résister à l'assaut de leur agresseurs, numériquement et cruellement supérieurs. Avec Green Room, Jeremy Saulnier (et les sélectionneurs de la Quinzaine) confirme que le film de genre, même le plus gore qui soit, ne fait plus tache dans les grands festivals."

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Festival de Deauville : films en compétition

I smile back

Réalisateur : Adam Salky - Twitter

Fiche Wikipedia

Critique - mitigée - de Variety

"A gutsy performance by Sarah Silverman — annihilating almost every trace of her comedy persona as her character spirals through one punishing bout of depression, addiction and self-sabotage after another, multiple times redefining rock-bottom — is the chief distinction of Adam Salky's I Smile Back. Despite a number of trenchant scenes and some startling depictions of sexual degradation, the film has little that's particularly original or enlightening to say about living with a chemical, genetic or emotional imbalance, making its primary function as a showcase for the lead actress to stretch her range."

Hollywood Reporter

Festival de Deauville : films en compétition

James White

Réalisateur : Josh Mond

Critique - intimiste - de Variety

There's economy and a lovely simplicity in the way Mond sketches relationships through casual glimpses, which extends also to the details we receive about Gail's illness. Thoughtful use of music, from electronica to Billie Holiday, and the controlled agitation of cinematographer Matyas Erdely's handheld camera — often in ultra-tight closeup — give this acutely observed film a look and feel that perfectly mirror the protagonist's state of mind.

Hollyywood Reporter

Festival de Deauville : films en compétition

Krisha

Réalisareur : Trey Edward Shults

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Pour son tout premier film, le réalisateur américain Trey Edward Shults a une ambition curieuse et funambule : celle de marier le stress du film de terreur et l’émotion du drame à portait de femme. Mais en changeant progressivement de registre, le film a du mal à garder un équilibre parfait.

Film de Culte

Festival de Deauville : films en compétition

Les chansons que mes frères m'ont apprises

Songs my brothers taught to me

Réalisatrice : Chloé Zhao

Elle a choisi de filmer les gens de Pine Ridge au terme de quatre ans d’immersion dans la réserve, sous le régime d’un scénario à peine esquissé et d’une quasi-improvisation.

[...]

ce caractère aventureux participe au charme d’un film par ailleurs très attachant par le détachement ouaté avec lequel il louvoie entre les immuables codes de la fiction d’initiation américaine.

Libé Next

Festival de Deauville : films en compétition

Madame Bovary

Réalisatrice : Sophie Barthes

Fiche Wikipedia

Les puristes se réjouiront sans doute de voir transposé à l'écran ce chef-d'oeuvre de la littérature française - bien que certaines scènes aient été coupées, comme la naissance de la fille d'Emma, dont il n'est nullement mention -, mais d'autres se demanderont à juste titre: pourquoi? Et pourquoi ne pas lire le roman à la place?

Pour le reste, le spectateur se nourrira du même ennui qu'Emma en battant des paupières et en tapant du pied.

La Presse Ca

Festival de Deauville : films en compétition

Tangerine

Réalisateur : Sean Baker

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Fiche Wikipedia

"Like a shot of vitamin C or a streak of a SoCal sunset, “Tangerine" is a stream of pure energy. Fresh, funny, original, and energetic, director Sean Baker's film captures the seedy, gritty streets of Hollywood"

Indiwire

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