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Ce gouvernement serait-il les prémices de l'Apocalypse ?

Publié le 17 décembre 2015 par Philippejandrok

« Et il sortit un autre cheval, roux. Celui qui le montait reçut le pouvoir d’enlever la paix de la terre, afin que les hommes s’égorgent les uns les autres ; et une grande épée lui fut donnée. »

Apocalypse 6 : 4

Je ne cache pas mon inquiétude, le gouvernement socialiste de François Hollande et de C. M. Valls trahit tous les idéaux de notre pays et de notre démocratie, en violant la République par des actions iniques et intolérables.

Depuis les attentats de Paris, on ne compte plus les infractions démocratiques, hier encore, M. Valls réveillait ses camarades députés à une heure du matin pour les faire voter contre un projet de loi visant à lutter contre la fraude fiscale des grandes entreprises, opération réussie, bravo au grand démocrate qu’est le premier des ministres qui défend d’abord les intérêts des fraudeurs fiscaux, au détriment de ceux du peuple français.

Il est nécessaire d'expliquer le déroulement, les députés proposent une loi, un amendement, les sénateurs valident ou pas la loi ou l’amendement en question, puis, la loi ou l’amendement, est proposée au vote auprès des députés pour validation. M. Vals ne voulant pas valider cette loi, a demandé une suspension de séance, pour réveiller tous les députés PS qui dormaient encore et les faire voter contre cette loi, qui visait à contrôler la fraude fiscale des entreprises françaises.

Mais M. Valls travaille pour qui au juste, ceux qui le payent avec leurs impôts, ou ceux qu’il défend ?

Qui aurait pu imaginer que le pays de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen soit ainsi bafoué à tous les niveaux ?

Nous qui sommes de simples citoyens, deviendrons-nous demain les martyrs d’un système néo-fasciste qui appelle à voter contre le FN tout en se comportant de la même façon envers tous les citoyens de ce pays ?

On se croirait en pleine terreur révolutionnaire, entre la royauté en perdition qui utiliserait aujourd’hui les registres des citoyens révolutionnaires, en condamnant sans jugement, ou dans un simulacre de justice, en mettant en garde à vue, en détruisant les biens et les réputations d’hommes simples ou d’avocats qui se révoltent contre le fascisme du PS qui bafouent les lois Européennes, et qui veut encore nous faire croire que sa terreur policière se justifie par le « terrorisme » ?

Je crains que nous, qui ne pensons pas comme il faut, car nous mettons en doute la parole de nos dirigeants et pour cause, d’un côté, ils nous parlent de droit, de l’autre, ils le ridiculisent sans le moindre complexe, je crains que nous ne devenions les victimes d’un traquenard antidémocratique mis en place par des élites corrompues, bien sûr, ce n’est ici qu’une hypothèse, mais celle-ci s’est déjà vérifiée au début de la seconde guerre mondiale envers tous ceux qui avaient une opinion divergente de celle de l’état collaborationniste.

Combien de temps vont-ils nous laisser libres de nous exprimer à ce rythme ?
Hier, nous avions le droit de manifester notre opinion dans la rue, une presse acceptable ironisait encore sur les politiques, aujourd’hui, nous avons une presse soumise à laquelle on a fait la leçon. « Charlie » a payé son insolence par le sang. Le prétexte religieux a bien rempli son œuvre satanique, celle de désigner un coupable, alors que l’autre, le vrai, sort par la petite porte.

Mais le pire, c’est le citoyen, celui qui ne veut pas voir, celui qui détourne le regard et celui qui sait et qui garde le silence, en laissant les autres, comme nous, prendre les coups à sa place.

Pourtant, nous sommes 99%, et ceux qui nous condamnent ne sont que 1%, et nous les laissons nous opprimer, nous juger et nous condamner en utilisant le registre de la loi tournée non pas dans le sens de la vérité, mais dans celui du mensonge ? Ils sont un petit groupe à l’Elysée, et nous sommes la France entière, quand le réaliserons-nous ?

Qui a raison, qui est dans son droit, le peuple, ou celui qui l’opprime ?
La majorité, ou la minorité qui accepte son rôle d’esclave face à des sous-diplômés haineux, hystériques et nostalgiques d’une France de la collaboration ?

La France, c’est la Révolution de 1789, l’abolition des privilèges, l’égalité des citoyens, c’est cette France-là que j’aime et que je défends, et que peut-être vous aimez comme moi, mais ce n’est pas celle du gouvernement et de nos dirigeants qui souhaitent établir un contrôle total des citoyens de ce pays.

Le Sénateur UMP de l’Isère Bernard Saugey, premier questeur du Sénat, déclarait il y a dix mois face à la caméra de France 3, « je suis content » que les chiffres des dépenses du Sénat ne soient pas publics, ça vaut la peine, il ne faudrait pas passer à côté d’une telle déclaration :

- « J’estime que c’est pas la peine que des gens regardent des choses qu’ils vont être incapables de commenter, ils auront certainement des réflexions idiotes… je pense que tous les gens ne sont pas capables de comprendre… »

Merci Monsieur le Sénateur UMP de bien vouloir veiller sur ceux « qui ne sont pas capables de comprendre », mais s’ils ne comprennent rien, ils sont tout de même bons pour élire les politiques de ce pays, mais pas pour comprendre le rôle des dépenses du Sénat ?

Ne serait-ce pas insulter l’intelligence des citoyens français ?

Ensuite, Le Sénateur Bernard Saugey sans la moindre indécence, nous récite avec gourmandise le menu du restaurant du Sénat, alors que les Français qui ne peuvent pas comprendre, sont pris la main dans le sac, et condamnés par la justice, pour avoir cherché, comme un mineur de fond dans sa mine, dans les poubelles des supermarchés les excédents alimentaires périmés pour se nourrir.

Cette magnifique déclaration sincère du Questeur du Sénat, chacun peut la visionner dans le document « Pièce à conviction » diffusé sur France 3 en 2015.

D’un côté, le plaisir de profiter des bienfaits de la démocratie pour des élus qui n’ont pas vraiment l’air de défende les intérêts du peuple, en s’isolant de ceux qui ne peuvent pas comprendre, de l’autre, nos opinions sont censurées dans la presse par des Trolls, la brigade de répression de la liberté d’expression de M. Valls sur Médiapart par exemple, qui censure des articles révélateurs, qui émettent des hypothèses gênantes ou qui font des révélations que les journalistes ne font plus, car ils ne font pas leur travail, ils vivent dans la peur, avec lâcheté et sans courage, il donne le « La » de la conduite à avoir.

Et bien, nous devons prendre notre destin en main et cesser de faire confiance à une presse qui n’est plus une presse, mais un organe d’état.
Médiapart avant les attentats de Paris, était fiscalement imposé d’une dette de 4 millions d’euros à payer, les attentats se produisent, Médiapart fait un travail purement informatif, sans saveur, relayant l’information sans l’analyser avec acuité comme le journal le fait d’habitude, pourquoi cette soudaine faiblesse, sans doute consécutive à la grippe intellectuelle; une information somme toute banale, banalisée et puis, plus tard, la récompense, l’os pour Médor, la dette est annulée par les députés aux ordres des partis, miracle ou coïncidence ou simple incidence gouvernementale ?

Depuis, nous avons un gentil Médiapart, lisse et sans saveur, insipide et faussement défenseur des droits fondamentaux des citoyens, ce n’est ici, qu’une opinion personnelle, mais chacun se fera la sienne.

Devrais-je en appeler à Dieu ou à Satan, mais brisez la chaine qui vous lie à l’information, cesser de regarder la TV, d’écouter la radio, de lire cette presse aux ordres, apprenez à reprendre contact avec votre conscience et ne vous laissez plus entrainer par cette farce que les médias nous jouent en permanence, soyez libres, soyez Français !

Nous vivons une époque formidiable…


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