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Le Gardasil, le vaccin « miracle »

Publié le 17 mars 2016 par Philippejandrok

Le Gardasil, le vaccin « miracle »

J’espère que l’on me pardonnera ce mot d’esprit d’un très mauvais gout pour les victimes et leurs parents, mais à la lecture de cet article pour lequel j’ai pris une journée pour faire une traduction et une version, la moins approximative et la plus proche du texte original, chacun pourra comprendre que le miracle des autorités sanitaires, complices du laboratoire Merck, n’est peut-être pas qu’une simple illusion.

En effet, le lecteur découvrira avec stupeur, comme je l’ai découvert moi-même, que le Gardasil, ce fameux vaccin vendu comme « miracle de l’obstétrique », est un vaccin infecté sciemment par l’ADN du virus HPV modifié, donc, par un virus synthétique génétiquement modifié OGM. Or, nous savons que la molécule synthétique injectée dans le corps et renforcée par l’adjuvant du vaccin, soit, de l’aluminium - on se demande pourquoi il est utilisé, puisqu’il est considéré comme toxique – l’aluminium provoque des lésions dans les cellules saines, qui permettent à la souche de HPV modifié (OGM) de se frayer un chemin et de mener son œuvre de destruction au cœur même du système immunitaire.

Ni le Food&Drugs Administration ni le laboratoire Merck n’ont révélé cette information au public, au contraire, il semble que celle-ci ait été sciemment dissimulée à ce même public.

Mais pourquoi dissimuler une telle information ? Qu’est-ce que cela cache-t-il, qui plus est, dans un pays où on a de moins en moins le droit de s’opposer à la vaccination, sans prendre le risque d’aller au tribunal ?

Pourquoi le lobby pharmaceutique possède-t-il un tel pouvoir sur la justice et sur les citoyens du monde, et pourquoi forcer la prise de vaccins s’ils sont inoffensifs, s’ils garantissent des résultats probants en toute circonstance ?

Nous n’avons aujourd’hui, plus le droit de donner notre avis, pas plus que celui de nous opposer à la vaccination, une véritable dictature d’un lobby commercial est désormais instaurée dans les pays industrialisés, quelle victoire contre la santé des citoyens.

Or, si justement nous devions être circonstanciés, on ne vaccinerait peut-être pas, ou plus du tout.

Plus j’enquête sur le Gardasil, plus je tombe sur des études que je publierais dans la Seconde Édition de Pandora dans quelques semaines en version papier cette fois-ci, plus je découvre des monstruosités sur ce vaccin et avec ce dernier article, la révélation surprenante, le Gardasil contient un virus OGM dont on ignore les exacts effets secondaires, effets dissimulés par le fabricant Merck et par le FDA qui a autorisé ce vaccin 15 mois seulement après ses premiers essais qui ont été interrompus par Merck, sous prétexte que le vaccin était désormais validé.

Première question, pourquoi valider un vaccin à 15 mois d’essais et non pas à 4 ans d’études, comme tous les autres ?

Pourquoi affirmer une efficacité du produit, alors que toutes les études indépendantes prouvent le contraire ?

Pourquoi les médecins et même des professeurs en médecine en France, continuent-ils à prétendre que le Gardasil est une révolution et qu’il est inoffensif ?

Pourquoi refuse-t-on de prendre en considération les victimes qui sont méprisées, traitées de folles, d’hystériques et d’ignorantes ?

Pourquoi, une fois atteintes, ces victimes se trouvent face à des médecins et à la Sécurité sociale qui font tout pour les dissuader de croire qu’il existe un lien entre leur pathologie invalidante et le Gardasil ?

Pourquoi des médecins et chercheurs indépendants, son eux, certains du contraire, et font un lien direct entre le vaccin Gardasil et les pathologies invalidantes, et maladie auto-immune des patientes.

« Le Japon a décidé de ne plus recommander ce vaccin en 2013.

- En Autriche, suite au décès d’une jeune femme vaccinée au Gardasil ; un rapport a été publié démontrant que l’efficacité à long terme d’une telle vaccination serait « tout à fait négligeable ». Le Docteur Andrea Kdoslky, ministre la santé, a décidé de retirer les vaccins anti-HPV du programme officiel, de ne plus les rembourser et de mettre plutôt l’accent sur le dépistage : le frottis.

Il est donc inconcevable de vouloir vacciner des enfants, et malgré les mises en garde, « c’est irresponsable » déclare le Professeur Joyeux[1]. »

Et enfin, en fin d’article, on s’étonnera du fait que le Gardasil ait sciemment été infecté par un virus mutant et que les autorités et le laboratoire Merck étaient parfaitement informés de ce fait. Il serait étonnant que Merck soit ignorant du fait que cet ADN viral du HPV ne le fut pas puisqu’il a été retrouvé dans 13 lots et dans différents pays.

À cela, se pose une question, le laboratoire et les autorités sont-ils responsables de négligence ou de crime contre l’humanité ?

Et après avoir eu connaissance de cette information, comment des médecins et professeurs en médecine peuvent-ils après avoir fait le serment d’Hippocrate, affirmer que ce vaccin est parfaitement inoffensif pou les patientes ?

Et enfin, pourquoi le Ministère de la Santé souhaite-t-il vacciner les enfants à partir de 12 ans, garçons et filles ?

En quoi les garçons seraient-ils menacés du cancer du col de l’utérus, et du papillomavirus, a-t-on calculé la probabilité de cette atteinte en cas de non-vaccination ? Cette probabilité est infime.

« Au sujet du Gardasil, le Docteur Jean-Paul Hamon, président de l’Association des médecins de France déclarait sur TF1 :

- « On ne connaît pas son efficacité, on ne connaît pas sa dangerosité ». Si vous, ou votre enfant craignez d’être infectés par le papillomavirus (HPV) vous devez faire un frottis et si des lésions précancéreuses sont trouvées, elles pourront être soignées. Mais surtout pas de vaccin, cela pourrait augmenter votre risque de cancer… Il est donc totalement prématuré et potentiellement dangereux d’imposer une campagne de vaccination généralisée dans les écoles, surtout auprès d’enfants jeunes et très vulnérables. »

« Abby Lippman, épidémiologiste de l’université McGill au Canada et spécialiste de la santé des femmes ajoute :

  • « Ni le vaccin Gardasil ni son concurrent le Cervarix, n’ont encore démontré leur efficacité pour prévenir le cancer du col de l’utérus. On ne sait pas encore si le vaccin permettra de réduire le nombre de cas de cancer. »

 

D’après Lucija Tomljenovic, chercheuse à l’Université de Colombie Britanique, et qui travaille sur les effets neurotoxiques des adjuvants vaccinaux :

  • « Le vaccin n’est pas plus efficace que les autres méthodes de prévention et de plus, il est porteur de risques… Et si certaines femmes croient et se disent : « Je suis vaccinée, je suis protégée, c’est scientifiquement faux. »[2]

Source de l’article traduit suivant :

http://us2.campaign-archive2.com/?u=b62698a50aececa2aded9f56b&id=5a494bb655&eo=f19e67d489

On a découvert que le Gardasil est contaminé…

La version précédente de cet avis a déclaré que Merck avait revendiqué qu’aucun ADN viral ne se trouvait dans le vaccin Gardasil pour "l'année dernière." Il a ensuite corrigé, le tir et nous pouvons lire, depuis "les cinq dernières années.")

Chers membres du Parti Canaris,

Je vous prie de bien vouloir prendre un moment pour lire ce communiqué de presse de nos amis de  S.A.N.E. Vax. Inc. Ils ont testé 13 fioles du vaccin Gardasil, dans six pays différents et ont constaté que tous ont été contaminés avec un ADN HPV génétiquement modifié. Merck, concepteur et fabricant du vaccin, a prétendu pendant les cinq dernières années sur l'encart de paquet que le vaccin ne contenait AUCUN ADN viral.

Cette déclaration a tranquillement disparu de la notice cet avril passé, sans la moindre explication, avertissant ou mettant en garde le public.

C’est une information suffisamment importante pour informer le public, comme de noter que l’État de Californie vient de passer une loi permettant de vacciner des enfants 12 ans sans accord parental, sans même que les parents le sachent.

Ainsi, gardez à l'esprit que les Instituts nationaux de Santé possèdent un brevet sur la technologie du vaccin HPV, et profite financièrement de chaque vaccin HPV vendu sur le marché. Cela sous-entend également, avec tout le respect accordé au Ministère de la Santé et des Services à la Personne, que celui-ci doit prendre en charge toute apparition de problèmes évidents liés à ces vaccins.


Il a été trouvé dans le sang d’une victime du Gardasil de l'ADN HPV, 2 ans après sa vaccination. Cet ADN HPV modifié a été trouvé dans 13 ampoules de vaccin différentes et dans 13 différents lots de Gardasil testés dans le monde entier.

- 100 % des fioles des 13 différents lots de Gardasil sont contaminées avec l'ADN recombiné du HPV.

L’association de défense des victimes de la vaccination, S.A.N.E. Vax. Inc. [3] a signé un contrat avec un laboratoire indépendant pour tester l’éventuelle contamination du vaccin Gardasil. Ledit laboratoire mandaté a découvert de l'ADN recombiné de l’HPV (rDNA) dans 13 fioles de vaccins. Les fioles de Gardasil issues de lots aux numéros différents provenaient de Nouvelle-Zélande, d'Australie, d'Espagne, de Pologne, de France et de trois états aux États-Unis. 100 % des échantillons testés, sont revenus positifs et indiquent la présence de l'ADN HPV génétiquement modifié, contrairement à ce qu’annonçait le laboratoire Merck.

Le Docteur Sin Hang Lee, un pathologiste du laboratoire de pathologie Hospitalier de Milford, célèbre pour utiliser le séquencement ADN d'avant-garde pour des diagnostics moléculaires, a été initialement contacté pour examiner un échantillon simple de Gardasil pour une contamination éventuelle. Cet échantillon a été testé positif pour le HPV-11 recombinant des résidus HPV-18, lesquels ont été fermement attachés à un adjuvant : l'aluminium.

Dans une lettre certifiée expédiée le 29 août 2011 au Commissaire du FDA (Food and Drug Administration), la Docteure Margaret Hambourg, de S.A.N.E. Vax. Inc., a demandé que le FDA examine la mesure de la contamination de l'ADN HPV dans le Gardasil, soit le vaccin HPV4 actuellement sur le marché, afin qu’il prenne des mesures appropriées pour assurer la sécurité publique quant aux expéditions futures de lot de Gardasil destiné à la vaccination.

Pourquoi S.A.N.E. Vax. Inc. examine une possible Contamination du Gardasil ? 

La mère d'une adolescente qui a développé une Polyarthrite chronique juvénile aiguë et évolutive dans les 24 heures suivant sa dernière injection de Gardasil de la série analysée par S.A.N.E. Vax. Inc. a demandé à l’association de faire des recherches approfondies.

Dans un effort d'aider sa fille désormais très malade, la mère est allée voir une médecin naturopathe qui a conduit un test de toxicité et qui a finalement trouvé l'ADN HPV modifié, dans le sang de la jeune fille. L’évidence de cette découverte est qu'il est fortement inhabituel de trouver l'ADN HPV dans le sang. Si le HPV est présent dans le l'organisme, dans les membranes de l'épithélial (la peau et la muqueuse), le HPV ou son ADN, ne survivent pas isolément d’eux-mêmes très longtemps dans le système sanguin. Dans ce cas, comment l'ADN HPV était encore dans son système sanguin, deux ans après vaccination ?

La Nature contre l’ADN recombiné

D’après le docteur Lee :

«  l'ADN HPV naturel ne reste pas longtemps dans le système sanguin. Cependant, l'ADN HPV contenu dans le vaccin Gardasil « n'est pas un ADN naturel ». C'est un ADN HPV recombiné artificiellement (rDNA), soit, un ADN OGM - génétiquement réalisé - pour être inséré dans des cultures de levure de cellules pour la production de la protéine VLP "particule de virus «  rDNA » est reconnu pour se comporter différemment de l'ADN naturel. Il peut entrer dans une cellule humaine, particulièrement dans une lésion inflammatoire causée par les effets de l’adjuvant aluminium, via des mécanismes encore mal compris. »

Qu’est-ce qu’un Virus ADN recombiné ?

« Une fois qu'un segment d'ADN recombiné est inséré dans une cellule humaine, les conséquences sont difficiles à prévoir. L’ADN OGM peut résider dans la cellule temporairement ou s’y installer pour toujours, pouvant ou pas, causer une mutation. Maintenant la cellule hôte contient l'ADN humain aussi bien que l'ADN viral OGM. »

L'ADN recombiné ou rDNA, fait référence aux nouvelles molécules d'ADN OGM en joignant des segments d'ADN naturels ou synthétiques, à d'autres molécules d'ADN pour qu'ils puissent se reproduire en une cellule vivante. 

La possibilité pour ces formes reproductibles d'ADN comme substance toxique incertaine, ou comme un danger éventuel, est une préoccupation depuis que la technologie rDNA a été inventée en 1973. Ainsi, on considère le rDNA comme un potentiel danger biologique et le NIH (National Instutes Of Health) a donné comme mandat aux institutions de recherches de contrôler et de réguler son utilisation[4].

Tous les ADN recombinés ou génétiquement modifiés sont considérés comme des dangers biologiques potentiels, si injectés par voie intramusculaire dans l'organisme.

Le Gardasil de Merck, soit le vaccin HPV4, est administré par voie intramusculaire - comme le sont nombre de vaccins. Cependant, le Gardasil est le premier vaccin qui se trouve être contaminé par un ADN de virus génétiquement modifié (OGM) et qui a pour particularité de fabriquer des particules de protéines de virus pour son vaccin.


S.A.N.E. Vax. Inc reste persuadé que le FDA aurait dû exiger de Merck qu’il teste, évalue et quantifie les risques de l'ADN HPV recombiné se trouvant dans le Gardasil, avant l'octroi de l'approbation pour commercialiser le vaccin.

S.A.N.E. Vax. Inc croit que le FDA devrait exiger que chaque lot de Gardasil soit testé pour le résidu ADN HPV avant son expédition et sa commercialisation, mais pourquoi nous étonner, puisque même la vitamine B12 commercialisée contient des OGM non spécifiés au public ?

Dans la notice du Gardasil, il n’est n’indiqué aucune présence d’un ADN viral dans le Vaccin.

En fait, dans les notices du vaccin Gardasil de Merck, il est clairement indiqué qu'il n'y a aucun ADN viral, et cela jusqu'en avril 2011 – dès lors, cette notification se trouve évidemment absente de la notice des vaccins américains[5].

L'Agence européenne des médicaments sur ce détail indique toujours :

- Le Gardasil est un vaccin quadrivalent recombiné et non contagieux préparé avec des particules semblables au virus hautement purifié (le VLP'S) issues de la protéine HPV capsid L1 de type 6, 11, 16 et 18. Le VLP'S ne contient aucun ADN viral ; ces virus modifiés ne peuvent pas infecter des cellules, se reproduire ou causer une maladie[6].  

La recherche menée par S.A.N.E. Vax. Inc. a constaté que 100 % des 13 échantillons testés ont été contaminés par le résidu du virus ADN HPV, impliquant une construction synthétique pour le gène capsid, protéine majeure du HPV11 L1, donc, un ADN recombiné génétiquement et spécifiquement réalisé pour formule du vaccin Gardasil. Tout résidu d'ADN découvert a été fermement attaché à l’adjuvant, de l'aluminium insoluble dans le vaccin, exigeant un protocole spécifique pour la détection[7].

Le Docteur Lee a fermement déclaré :

« Basé sur la littérature médicale et un peu sur les propres déclarations des consorts FDA/MERCK'S, (provenant d'une source extérieure) l'ADN dans un vaccin à base de protéine injectable, peut augmenter le risque de troubles et de maladies auto-immunes et une mutation génétique qui pourrait mener à des tumeurs malignes. »

  


Merck, le FDA, le CDC et le NCI doivent des réponses aux Consommateurs

S.A.N.E. Vax. Inc. veut connaître le nombre d'adolescents qui ont éprouvé de sévères réactions à la suite de la vaccination du Gardasil, et chez lesquels on a trouvé de l'ADN HPV dans le sang.

À quels effets toxiques doit-on s’attendre si l'ADN HPV s’installe dans le système sanguin pendant une période prolongée ?

L’adjuvant aluminium contenu dans le Gardasil est devenu le moyen de transfert ou le transporteur de l'ADN HPV forçant cet ADN synthétique à rester dans le sang et/ou dans les organes pendant une durée étendue.

Puisque l'ADN viral ne peut se reproduire isolément (il a besoin d'une cellule hôte) que se produit-il si l'ADN viral génétiquement modifié entre dans une cellule hôte humaine ?


Comment les cellules génétiquement modifiées (OGM) affecteront la santé et son entretien, des générations futures ?


Comment le système immunitaire réagit-il à la détection d'une combinaison d'ADN viral OGM et d'ADN humain dans ce qui était jadis une cellule dite « normale » ? Le système immunitaire se battra-t-il désormais contre la nouvelle cellule humaine et génétiquement modifiée ?

Des consommateurs médicaux doivent obtenir les réponses à ces questions par Merck, le FDA, le CDC et le NCI
, ainsi, est la position de S.A.N.E. Vax. Inc.

Les taux élevés de troubles et de maladies auto-immunes, dont 380 rapports du Pap tests (partie basse de l’utérus) anormaux, 137 rapports de dysplasie cervicale et 41 rapports de cancer du col de l'utérus incluant, un Carcinome in situ ou carcinome du Col de l'utérus ou étape de carcinome du Col de l'utérus 0, ou étape de carcinome de Col de l'utérus I ou étape de carcinome de Col de l'utérus III[8] . Cela nécessiterait une enquête immédiate sur la sécurité concernant le Gardasil, et son efficacité.


S.A.N.E. Vax. Inc. croit que le FDA et Merck devraient avoir testé, évalué et quantifié les risques de l'ADN HPV recombiné résiduel contenu dans le Gardasil, avant l'approbation sur le marché de ce vaccin.

S.A.N.E. Vax. Inc. est persuadé que le FDA et Merck, ont été négligents dans cette affaire et peut-être coupables en affirmant il n'y avait « aucun ADN (viral) HPV » dans le vaccin Gardasil.

 Sources :


The direct link to SANE Vax's press release is here :

http://sanevax.org/sane-vax-inc-discovers-potential-bio-hazard-contaminant-in-merck%E2%80%99s-gardasil%E2%84%A2-hpv-4-vaccine/ 

Please spread the word to your contacts and local media outlets.
 

Ginger Taylor, M.S.
Executive Director

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[1] Pandora, enquête sur la réalité médicale, Amazon, à paraître courant 2016

[2] Pandora, enquête sur la réalité médicale, Amazon, à paraître courant 2016

[3] S.A.N.E Vax Inc : Safe. Affordable. Necessary. Effective, est une association qui promeut la sécurité des vaccins, accessibles, nécessaires et efficaces, et l’information sur la vaccination à travers l’éducation et l’information.

[4] Policy on the use of Bio-hazardous Agents and Recombinant DNA in Research and Teaching Laboratories at the University of North Carolina at Greensboro

[5] Gardasil™ Patient Product Insert 

[6] EMEA Scientific Discussion on Gardasil

[7] Gardasil Contaminants by Country

[8] VAERS Data


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