Magazine Cinéma

L’ABCdaire de deux nanas fondues de Cavalier

Par Anneju71 @LesMotordus

12914850_455481307973753_1221684442_o

Hello hello,

Nous sommes de retour !! Hey oui, Geneviève de Collectif Polar et moi-même, nous vous avons préparé une LC apocalyptique.

Oui nous n’avons pas peur ! Nous avons mis nos cerveaux en « mode Armagedon ». Bon j’arrête de vous faire flipper et voilà le livre que nous avons passé au crible :

Hobboes de Philippe Cavalier

IMG_1241 (1)

Mais dites moi, vous vous souvenez du principe de notre ABCdaire (pour info, on sait que le mot n’existe pas avec cet orthographe, mais on est des Tordues et on invente des mots ;-)) ?

Allez un petit rappel :

26 lettres : ok jusque là vous suivez

26 mots : là vous suivez toujours !

Chacune a choisi 13 mots et les publie. Mais, attention, c’est là que vous risquez de décrocher , Collectif Polar et moi-même définissons les 26 mots ! On vous dit tout ce que l’on pense de ce roman !

Mais c’est pas fini;-) Voici le lien pour aller voir les 13 mots de Collectif Polar en cliquant…içi.

Prêts ? Allez c’est parti pour des lettres …sans les chiffres (je sais elle était facile aussi celle-là, mais que voulez-vous on ne me refait pas

😉
.

B comme  Banes Raphaël :

AJ : J’avais envie de vous parler de ce personnage qui est le fil rouge de ce livre. Imaginez un prof, célibataire car il n’a pas su garder la femme qu’il aime, aimant son petit confort et très cartésien, se retrouve avec sa valise Samsonite à parcourir les Rocheuses vers un idéal. J’aurai pu me prendre d’affection pour lui mais non, il est fade !!! Et j’avais surtout envie de lui mettre un bon coup de pied aux fesses. Il représente à fond le capitalisme avec tous ces signes extérieurs de richesses mais aussi son comportement. On ne pouvait pas mieux choisir ! S’il a été choisi, ce n’est pas pour rien. Mais chut, je ne vous en dis pas plus.

GVL : Oui, si Banes est un des personnages centraux de ce livre, c’est sans doute pas le plus sympathique. Il est pleutre, même si par moment on sent qu’il aimerait être exemplaire. Mais sa veulerie reprend le dessus.

Mais Banes n’est qu’un des multiples personnages que l’on va rencontrer dans ce récit. Et des personnages, il y en a pléthore. Tous ont quelque chose de singulier, tous portent une partie de notre humanité. 

D comme Dystopique :

AJ : Comment je sors ma science !!! Je suis sûre que vous savez ce que ça veut dire mais au cas où je vous redonne la définition ! Je sais, je sais, je suis sympa ;-).

Une dystopie, également appelée contre-utopie, est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur. Une dystopie peut également être considérée comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie. L’auteur entend ainsi mettre en garde le lecteur en montrant les conséquences néfastes d’une idéologie (ou d’une pratique) présente à notre époque

On est bien avancé maintenant ;-). Mais il fallait le dire car c’est important pour comprendre le livre car tout est vraiment basé sur ce genre.

GVL : Tu as raison, Anne Ju de sortir ta science, car avec Hobboes, Philippe Cavalier nous propose un conte dystopique. Une contre-Utopie qui sonne le glas de notre civilisation où règnent l’ultralibéralisme et son idéologie.

AJ : J’adore quand tu complètes ma science ;-).

F comme Fureur : 

AJ : Ce qui m’a frappé dans ce roman, c’est la fureur qui habite les protagonistes de ce roman. Ces Hobboes destinés  à apporter leurs pierres à l’édifice, ont une fureur de vivre destructive. Une telle rage les habite et aussi grâce à cela qui sont tellement manipulables. En tout cas, cette vision de fureur m’a un peu dérangé un moment donné car j’ai plus une fureur de vivre positive et passionnée que d’anéantir tout sur mon passage.

GVL : Joli mot petit Padawan, bien trouvé. Je ne sais même pas si j’y aurai pensé. Et là je te rejoins. La fureur est bel et bien une constante de ce roman. Une fureur destructrice certes, mais pas seulement. Il y a aussi une fureur de certain de préserver l’essentiel, des brides de civilisation, des textes fondateurs, des livres comme garant de la culture au-delà de l’oralité qui pourrait advenir si le chaos s’installe. Le livre comme lueur d’espoir. De là à dire que ce roman est furieux, je n’en suis pas loin car je l’ai furieusement aimé.

AJ : Je vois bien que ce roman t’inspire ;-).

H comme Hobboes :

AJ : Alors là c’était facile de trouver pour la lettre H ! Je sais je ne me foule pas mais c’est quand même essentiel de connaître ce mot. Je vous rassure, je ne vais rien spoiler car dès les premières pages, on nous donne sa définition. L’hobo est un vagabond mais là l’auteur la joue original et l’écrit avec deux B. C’est son droit d’auteur après tout. Mais…Pourquoi cette fantaisie ? Envie de renforcer l’idée de vagabond ou faire apparaître une autre sorte de SDF ? Même chez les SDF, il y a des castes, comme deux mondes qui s’opposent. Et qui s’affrontent pour survivre, pour être les meilleurs ou les pires ! Après, vous pouvez aussi vous taper la chanson de Charlie Winston « Like a hobo ». Moi, je ne la supporte plus cette chanson tellement on l’a entendu ! D’ailleurs, je change de station !

GVL : Il est joli garçon ce Charlie Winston ! « Oh ! Tel un vagabond arrivant d’un fossé brisé …Rien ne pourra m’arrêter ! »

Dis Juju c’est quoi un fossé brisé ? Ou alors c’est ma traduction qui est merdique.

Oui moi aussi, je me suis demandée pourquoi Philippe Cavalier avait écrit son titre avec deux B.

Si un jour je le rencontre, il faudra que je le lui demande. Tiens d’ailleurs je vais lui poser de ce pas. Et je reviens vers vous.

AJ : Non sérieux ??? Tu assures trop ! C’est mon Maître Jedi !! Compris !!

GVL : Voilà j’ai mon explication ! Vous voulez sans doute que je vous la donne ?

Et bien c’est bien ça, mon petit Padawan a raison sur une des raisons.

Je vous donne les explications de l’auteur :

PC : « La première est que le terme, s’il est génériquement orthographié avec un seul B il est vrai, demeure un mot sans étymologie certaine… Les dictionnaires anglais ne s’accordent pas sur la provenance du terme. L’orthographe peut en conséquence être soumis à variations et j’ai rencontré la version « deux B » dans un recueil étymologique des années 70… C’est donc un choix personnel que j’ai fait et que j’assume. En outre (et c’est la seconde raison), les deux B renvoient métaphoriquement aux deux grandes compagnies de vagabonds qui s’affrontent dans le livre : Sheltas et Fomoroï.

Par ailleurs j’ai un très grand respect pour la langue anglaise que j’apprécie beaucoup et que je me serais pas senti autorisé à malmener de la sorte si ce terme n’avait pas appartenu à ses marges.

Je viens de retrouver la référence : Brewer’s dictionary of phrase and fable, édition 1974 où Hobbo est bien référencé avec deux B. Et pour répondre à votre question…Oui, les deux B sont l’expression de la dualité, c’est tout à fait ce que j’avais à l’esprit ! »

GVL : Là je dis la classe, c’est Philippe Cavalier lui-même qui participe à notre Abécédaire ma Juju. Trop de la balle !!!

AJ : Ah bah là, respect je m’incline ! Tu crois que l’on peut se la péter un peu ? Hein ? Allez juste un peu !

En tout cas, si je le croise un jour, Philippe Cavalier, je ne manquerai pas de lui faire la bise ;-).

Tu as trop assurée Geneviève !

J comme Jeu de piste :

AJ : Je peux vous dire que c’est un sacré jeu de piste à suivre ! Faut pas louper une étape car sinon vous avez tout loupé ! Philippe Cavalier nous prend pour des petits poucets. Le trajet que fait Barnes, on le fait aussi. On subit les épreuves aussi. Mais j’ai ressenti des longueurs. Je n’avais jamais lu cet auteur qui semble être habitué à faire des sagas. Je rassure Geneviève, j’ai aimé le découvrir. Mais si je peux vous donner un conseil, ce livre demande une concentration extrême !

GVL : Je constate Anne-Ju que ton périple n’a pas été de tout repos. J’avance dans ton abécédaire et je vois bien que tu essaies de me dire quelque chose.

C’est vrai que ce livre est complexe dans sa construction. Un chapitre sur deux , on retrouve la trame de l’histoire principale, un peu comme un fil conducteur. On va suivre Barnes sur les traces de son ancien étudiant. Une histoire en continu. En revanche dans les chapitres intercalés, on part à la rencontre d’autres protagonistes de cette histoire et là je comprends que tu es pu te perdre tellement il y a une kyrielle de personnages annexes. Oui ce livre est foisonnant. Il faut dire que Philippe Cavalier met en place un univers bien à lui  dont il est le seul à totalement maîtriser les codes.

AJ : Je sais que tu as bien compris mon message ;-). Ce livre va vous pousser à vous poser des questions auxquelles vous avez déjà réfléchi mais en disant que c’est pas près d’arriver ! Et si c’était plus proche que vous ne le pensiez ?

L comme Légende :

AJ : Ce livre est construit sur des légendes et c’est ce qui fait avancer la lectrice. Même si mon esprit cartésien a eu du mal à tout capter. J’avoue que j’ai dû relire les pages et prendre des notes car moi pas tout comprendre ! Un livre écrit par le Scribe que les vagabonds se transmettent. Bon jusque-là  je suis, car je m’accroche. Pourtant, j’aime les légendes, Arthur et ses potes, mais j’ai eu du mal. Mais j’ai aimé relever le défi. « Je suis une légende » je sais facile aussi ;-).

GVL : Oui, l’auteur est un spécialiste des croyances et des religions. Alors forcément ses livres sont tous fondés sur une ou plusieurs légendes.

Mais dis-moi, les légendes ne regorgent-telles pas un fond de vérité ? Ne sont-elles pas fondées elles aussi sur du réel ?

La légende n’est peut-être que l’histoire écrite que façon lyrique, poétique voire épique, non ?

AJ : Je pense que les légendes naissent de faits réels et qu’elles évoluent avec le temps.

N comme No Limit :

AJ : J’ai trouvé qu’il n’y avait aucune limite dans ce livre. Bon, il faut dire que dès que l’on commence à parler d’Apocalypse, fin du monde et croyance, les limites n’existent plus. Ce livre est un road trip dont la violence est recommandée pour survivre. Une violence excessive sans aucune limite.

Le pouvoir de persuasion est aussi impressionnant ! Aucune limite aussi pour faire passer les messages : des suicides collectifs, des destructions de villes… Bref ils sont prêts à tout et ils le prouvent !

GVL : Malheureusement chère Anne-Ju, je pense un peu comme l’auteur. Si la fin du monde est proche, une grande partie de la population sera prête à tout pour survivre. C’est dans nos gènes que veux-tu ? Inscrit en nous. L’humanité qui est la nôtre risque de voler en éclat. Alors oui, les pires catastrophes peuvent arriver des hommes eux même. Surtout si certain se voient dotés de nouveau pouvoir no limit.

AJ : Mais je suis d’accord aussi. Je ferai pareil je pense si ma survie en dépendait. C’est une de nos forces quand on voit les exploits que certains peuples, hommes et  femmes ont accomplis. Si tu n’as pas cette notion de survie, tu es rejeté. Et si tu l’as trop aussi…Que c’est compliqué tout cela ;-).

P comme Persuasion :

AJ : Je suis toujours sur les fesses quand je vois le pouvoir que les gens puissent avoir sur d’autres. Surtout dans les scènes dantesques que nous avons dans le livre…suicide collectif en un claquement de doigts ! C’est flippant de se dire qu’un seul homme se fait le porte-parole de maître de l’univers ! Et surtout tout le monde le suit. Et pas dans la gentillesse car dans ce cas, on autorise, les tortures, les anéantissements des villes, le droit de tuer. C’est affolant mais on n’a pas loin de la réalité. Si Philippe Cavalier a écrit ce roman, c’est avant tout en regardant notre monde.  Comme quoi la fiction pourrait rejoindre la réalité. Si ça arrive, on est mal !!! Croyez-moi !!!

GVL : Oui, comme toi, les gourous m’intriguent. Je n’arrive pas à comprendre comment par leurs seules paroles, ils arrivent à embobiner les foules. Alors oui, certains font des miracles et forcément ils fascinent.

Oui ici nous n’avons pas à faire à Jésus et ses saints mais aux 4 cavaliers de l’Apocalypse. Et ces 4 là rien ne les arrête pour semer le chaos.

R comme Road Trip :

AJ : Comme vous l’avez compris tout se passe en Amérique. Le périple qu’entreprend Barnes est d’aller porter des textes dans le cœur des Rocheuses. On se transforme un peu en routard nous aussi. J’avoue que j’en ai eu mal aux pieds pour eux car ils en mangent des kilomètres. Je ne suis jamais allée aux USA. Certains coins me tentent comme La Louisiane. Et toi Geneviève tu y es déjà allée ?

GVL : Et oui dans ce livre nous allons traverser les Etats-Unis de part en part. D’Est en Ouest, du Nord au Sud ou plutôt l’inverse. De la cote Est aux Rocheuses en passant par les grands lacs. De Los Angeles au Texas pour enfin remonter le Mississippi. Il faut dire que pour ce genre d’épopée, l’immense territoire que sont les USA s’y prête bien. Ça n’aurait pas la même envergure si cela se passait en France ou en Belgique. Et puis l’Amérique est le fer de lance du capitalisme ultralibérale, c’est aussi le symbole de la puissance occidentale. Ce vaste pays va nous en faire voir de toutes les couleurs.

T comme Témoin :

AJ : Philippe Cavalier fait de nous des témoins. Il nous offre une vision futuriste d’un monde apocalyptique ! Ah nous de ne pas faire en sorte que cela se produise !! Il n’est pas le premier à nous prévenir. Depuis la nuit des temps, on nous prévient d’un Armageddon avec les cavaliers de l’apocalypse ! J’espère que Bruce Willis n’aura pas pris sa retraite quand ça arrivera !!!

GVL : Oui Philippe Cavalier fait de nous des témoins, mais c’est lui avant tout le témoin. Témoins de son temps qu’il scrute avec attention pour nous en présenter une synthèse poussait dans ses retranchements et ses extrémités. Il nous en montre ces failles, ses défauts. Derrière cette magnifique fiction il y a quelque chose qui pourrait ressembler à un essai sociologique comme une critique acerbe des manquements de notre civilisation occidentale.

V comme Voyage :

AJ : Comme je l’ai déjà expliqué avec la lettre R, ce livre est à voyage à travers l’Amérique ! Un voyage qui a plusieurs définitions.

Tout d’abord, on a l’aspect des paysages. On visite en même temps que les protagonistes. Attention, ce n’est pas les paysages classiques avec un guide ! Oh que non ! Içi, il s’agit des bas-fonds, des coins perdus où personne n’ose s’aventurer et aussi des paysages arides et tranchants à perte de vue.

C’est aussi un voyage social. On passe du SDF aux grands magnats du capitalisme ! On passe d’un extrême à l’autre sans juste milieu. C’est assez perturbant par moment. Des clichés un peu gros pour moi. Mais plus j’y réfléchis et plus je me dis que l’on revient à la nuit des temps avec ces classes, pauvres riches, qui au final n’ont jamais disparu. On leur a donné de nouveaux noms mais la définition est la même. Comme vous l’avez compris c’est aussi un voyage dans le temps : passé, présent et avenir ! Que nous réserve l’avenir ? Celui de Philippe Cavalier ? Flippant non ?

GVL : Ben oui, là tu as tout dit.

A nouveau je sens bien que cette lecture t’a troublé, que tu as vécu des sentiments contraires voire contradictoires. Que certains de tes sentiments t’ont empêché de profiter pleinement de ce formidable roman.

Il a réveillé en toi des craintes, des peurs enfouies ou peut-être sous-jacentes mais qu’on ne veut pas voir.

Oui petit Padawan, c’est un sacré voyage que nous offre là l’auteur. Un voyage inattendu au cœur de nos propres convictions. Un voyage intérieur en somme !

AJ : Je rebondis sur ce que tu as écrit. Je n’ai pas ressenti de peur ou de craintes enfouies. Pas du tout. J’ai juste fait un constat. Je n’ai pas peur du tout. Je ne vis pas dans le monde des bisounours. Je sais très bien ce dont la nature humaine est capable ainsi que les Hommes qui dirigent notre monde, notre société. Je n’ai pas d’œillères comme certains. Mais au final, je pense que je m’attendais à être plus surprise par ce roman. Le monde apocalyptique qu’il décrit, il n’est pas le 1er. Certes, il l’aborde d’une manière différente mais pas de nouveauté pour moi. Je vais pouvoir dormir avec la lumière éteinte car même pas peur ;-). Te voilà rassurée Maître Jedi ;-).

GVL : Tu sais petit Padawan, la peur dans je te parlais, c’est surtout la crainte de l’avenir. Je ne suis point ton psy, tes peurs enfantines et autres n’entrent pas en compte là-dedans. Non c’est plus notre représentation future de notre société qui pose questions, et c’est de ce futur que l’on peut avoir peur. Perso, je n’ai pas de phobie déclarée, je n’ai même pas peur, je sais être vigilante. Mais je crains que notre avenir à plus court terme qu’on ne veut bien l’admettre ne soit compromis. La future génération a cette crainte aussi, mais la majorité de la population mondiale occulte ces questions, occupée qu’ils sont à vivre simplement voire à survivre.

AJ : Ah ok tout s’éclaire😉.

X comme  XOXO :

AJ : Non non je n’ai pas buggé !!! Il s’agit d’un émoticône qui veut dire amitié et affection à mon correspondant. Et notre correspondant c’est vous, oui toi le lecteur de cet abécédaire. Tu nous donnes envie de continuer dans ce délire, un peu tordu (même pour nous je vous rassure.). Mais ça fait du bien de sentir votre soutien et vos encouragements. On est au taquet. On a plein de LC en tête ! Ça va donner ! Notre dreamteam ne demande qu’à s’éclater !!! Bon ok, on est déjà bien parti J .

GVL : XOXO, tu as raison ma Juju, une petite pose s’impose avant la toute dernière ligne droite.

J’en profite également pour saluer et remercier tes lecteurs.

J‘espère qu’ils seront nombreux à venir découvrir notre lecture communes et à foncer lire Hobboes.

Allez, salut tout le monde, j’y retourne, moi, je suis à la bourre J

Le délire n’attend pas, surtout que je t’ai préparé quelques surprises avec le mien ma Juju.

Z comme Zut, c’est fini ! :

AJ : C’est toujours un défi d’arriver à la dernière lettre de chaque abécédaire. C’est un sacré challenge que l’on se lance à chaque fois. Mais j’adore faire fonctionner mes méninges. En plus, on voit le livre d’une approche différente. C’est enrichissant, épuisant et tellement sympa ce travail de binôme.

Attention Maître Jedi et petit Padawan sont dans la place !!!

Merci à toi, Geneviève, pour cette découverte. J’ai encore du mal à dire clairement ce que j’ai ressenti en le lisant. Le seul conseil que je peux vous donner : concentration à fond.

GVL : Ah oui Zut, moi j’en veux encore. J’ai laissé cette lecture faire son chemin, je vais la laisser encore vivre en moi. Je la comprends mieux avec ce recul. Je pense que cette lecture commune Anne-Ju va aussi finir par laisser son empreinte en toi. Tu t’es accrochée et tu n’as pas démérité.

Je pense que cet Abécédaire a été un beau challenge, pas simple pour moi non plus.

Et j’espère que nos lecteurs y trouveront autant de plaisir que nous y avons mis de peine.

Bonne et belle lecture à tous et m’hésitez pas à découvrir ce livre et surtout cet auteur.

RDV maintenant sur le blog de Geneviève, Collectif Polar pour les 13 autres lettres en cliquant içi.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Anneju71 13155 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte