A l’occasion du mois de la journée de la femme, petite playlist des femmes qui en ont (des cordes vocales martyrisées), et nous ne parlons pas de métal à chanteuse style Nightwish et consorts, non, du pur, du dur, du velu !
Otep – « Seduce & Destroy » (Hydra, 2013) Dernier méfait du groupe de la vénéneuse aussi bien que séduisante Otep Shamaya, la bande nous délivre un dernier message vocale oscillant toujours entre brutalité néo-métal et sombre sensualité.Kittie – « We are the Lamb » (I’ve failed you, 2011) Elles ont bien grandi les petites qui aimaient à faire du bruit comme leurs grands frères.
Nashville Pussy – « Come on Come on » (Ten Years of Pussy, 2015) Du bon gros hard rock qui sent sous les aisselles, du genre qu’on Lemmy bien par chez nous ! Et puis bon, une hard-rockeuse tout en jambe qui crache des flammes et rote du J&B, ça le fait !
My Ruin – « God is a Girl with a Butcher’s Knife » (The Sacred Mood, 2013) Miss Tairrie B n’est pas une riot grrrl, juste une grande gueule. Et si Speak & Destroy mal joué, mal hurlé, valait juste éventuellement pour la pochette, avec le temps, mélodie et chant se sont améliorés, et A Prayer under Pressure of Violent Anguish est fort recommandable. A télécharger librement aussi A Southern Revelation qui ne révolutionne pas le genre, mais se laisse bien écouter.
Crucified Barbara – « To kill a man » (In the Red, 2014) Parce qu’il y a eu une mode nanas-canons-qui-font-du-heavy en petite tenue – genre Hydrogyn. Et du coup, on se dit que c’est finalement hyper cliché et très masculin tout ça. Quitte à faire dans la démesure, mieux vaut se la jouer Lunachicks et chanter du punk à boire !
Iwrestledabearonce – « I’m cold and There are Wolves after Me » (It’s all happening, 2010) Parce que les nanas font aussi du grind et que ça envoie du bois !
Cretin – « Mary is Coming » (Stranger, 2014) Parce qu’un monsieur qui est devenu une dame, ça compte aussi !
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble