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Dé/Connexion de L.A Witt

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

Chronique de LaulittaLaulitta

Dé/Connexion de L.A Witt

dé connexion L.A Witt

Nombre de pages :  264 pages
Éditeur :  M/M BookmarkDate de sortie :  22 mars 2016Collection :  ImaginaireLangue :  FrançaisISBN-10 :2375740572ISBN-13 :978-2375740576 Prix Éditeur :  5,49 € (17€ papier)Disponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Tout contact physique est interdit. Le sexe ? Un crime grave. Des uniformes isolants et des gants privent les porteurs des touchers les plus platoniques. Les citoyens se rendent en file indienne à des maisons de simulation pour obtenir leurs orgasmes rationnés sur prescription dans des machines de réalité virtuelle.

Keith Borden travaille depuis des années dans une maison de simulation, et jamais il n’a été tenté de briser la loi interdisant tout contact… jusqu’à l’arrivée d’Aiden Maxwell. Ce patient jeune et dangereusement charmeur l’invite à découvrir le monde souterrain obscur où les gens s’adonnent à un sexe réel, sans simulations. Keith y joue sa carrière et sa liberté, mais il est curieux et Aiden est irrésistible.

Dès que Keith met le pied dans cet univers de chair et de fantasmes, il est accro. Au sexe, à l’ambiance et, surtout, à Aiden. Après des années à repousser le monde entier, Keith rêve plus que tout de contact humain, et Aiden le lui offre librement : du sexe torride, de la tendresse, et tout le reste.

Mon Avis :

J’ai été attirée par ce roman en lisant son synopsis. L’auteur dresse le portrait d’une société futuriste qui interdit le toucher.  Cette dystopie touche un sujet assez profond car, bien que l’on s’attache aux premiers abords à l’aspect sexuel de cet interdit, celui-ci va beaucoup plus loin. Ce sont en effet tous les contacts physiques qui sont proscrits, que ce soit entre amis ou entre collègues.

Tous ces contacts sont devenus virtuels et l’auteur nous met en quelque sorte en garde contre les dérives du numérique qui prend chaque jour un peu plus de place dans nos vies. C’est dans ce contexte que nous rencontrons les héros de cette dystopie, Aidan et Keith. Rien ne semble les lier, tant l’un est farouchement indépendant alors que l’autre suit obstinément les règles qui lui sont imposées. Pourtant, ils vont très vite être liés par une passion dévorante, exacerbée par cet interdit qui les entoure. Dans une société où le danger peut provenir de partout, nos héros vont devoir se faire confiance et surtout décider du risque qu’ils sont prêts à prendre afin de combler leur curiosité et leurs désirs.

Pourtant, malgré une intrigue palpitante et un rythme dynamique dû aux risques que prennent les héros, la trop grande part de mystère qui entourait Aidan m’a empêchée de savourer pleinement cette histoire. De plus, certaines de ses actions m’ont particulièrement choquée et énervée, d’autant plus que je n’ai pas compris la réaction si passive de Keith face à cela.

L’intrigue débute dans les premières pages et nous entraîne rapidement dans une histoire dont on veut vite connaître la suite. Cependant, le récit s’essouffle quelque peu au milieu du roman, sans que cela n’apporte réellement quelque chose à l’histoire. Toutefois, le choix scénaristique a su me surprendre dans la dernière partie du roman, ce qui fait que je quitte ce dernier avec un très bon souvenir.

Dé/Connexion Witt

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Nombre de pages :  264 pages
Éditeur :  M/M BookmarkDate de sortie :  22 mars 2016Collection :  ImaginaireLangue :  FrançaisISBN-10 :2375740572ISBN-13 :978-2375740576 Prix Éditeur :  5,49 € (17€ papier)Disponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Tout contact physique est interdit. Le sexe ? Un crime grave. Des uniformes isolants et des gants privent les porteurs des touchers les plus platoniques. Les citoyens se rendent en file indienne à des maisons de simulation pour obtenir leurs orgasmes rationnés sur prescription dans des machines de réalité virtuelle.

Keith Borden travaille depuis des années dans une maison de simulation, et jamais il n’a été tenté de briser la loi interdisant tout contact… jusqu’à l’arrivée d’Aiden Maxwell. Ce patient jeune et dangereusement charmeur l’invite à découvrir le monde souterrain obscur où les gens s’adonnent à un sexe réel, sans simulations. Keith y joue sa carrière et sa liberté, mais il est curieux et Aiden est irrésistible.

Dès que Keith met le pied dans cet univers de chair et de fantasmes, il est accro. Au sexe, à l’ambiance et, surtout, à Aiden. Après des années à repousser le monde entier, Keith rêve plus que tout de contact humain, et Aiden le lui offre librement : du sexe torride, de la tendresse, et tout le reste.

Mon Avis :

J’ai été attirée par ce roman en lisant son synopsis. L’auteur dresse le portrait d’une société futuriste qui interdit le toucher.  Cette dystopie touche un sujet assez profond car, bien que l’on s’attache aux premiers abords à l’aspect sexuel de cet interdit, celui-ci va beaucoup plus loin. Ce sont en effet tous les contacts physiques qui sont proscrits, que ce soit entre amis ou entre collègues.

Tous ces contacts sont devenus virtuels et l’auteur nous met en quelque sorte en garde contre les dérives du numérique qui prend chaque jour un peu plus de place dans nos vies. C’est dans ce contexte que nous rencontrons les héros de cette dystopie, Aidan et Keith. Rien ne semble les lier, tant l’un est farouchement indépendant alors que l’autre suit obstinément les règles qui lui sont imposées. Pourtant, ils vont très vite être liés par une passion dévorante, exacerbée par cet interdit qui les entoure. Dans une société où le danger peut provenir de partout, nos héros vont devoir se faire confiance et surtout décider du risque qu’ils sont prêts à prendre afin de combler leur curiosité et leurs désirs.

Pourtant, malgré une intrigue palpitante et un rythme dynamique dû aux risques que prennent les héros, la trop grande part de mystère qui entourait Aidan m’a empêchée de savourer pleinement cette histoire. De plus, certaines de ses actions m’ont particulièrement choquée et énervée, d’autant plus que je n’ai pas compris la réaction si passive de Keith face à cela.


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