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Des mots qui se perdent...

Publié le 20 juin 2008 par Eno

Des mots !! Qui méritent d’être écrit ?!?

Il n’est pas encore deux heure, il est tot, le matin à encore quelques heures de nuit avant de se faire jour. Mes maux méritent ils d’être écris ?! Dites le moi !! Comment pourrais-je le savoir sinon ?! Comment puis-je savoir si je ne perd pas mon temps, si ne perd pas mes nuits à écrire, si vous ne me le dites pas. Ou plutôt, car je sais bien que pour moi-même, je ne perd pas mon temps à écrire, comment serai-je qu’il ne sert à rien de me publier si je n’ai d’échos de ceux qui me lisent … ? Dois-je me contenter de mes statistiques, et de savoir que 97% des du millier de visiteurs mensuel sont des visiteurs directs, autrement dit, vous qui me lisez, ne me lisez pas totalement par hasard, n’êtes pas tomber ici en vous baladant sur la toile… Est-ce déjà parler que de n’avoir rien à dire, que de ne rien dire ? Est-ce déjà signifier que de revenir ? D’une certaine manière, certainement, mais moi, je me sens seul.

Bien sur, je n’ai pas voulu créer ici quelques liens artificiels, je ne suis pas vraiment convivial, comme vous avez pu le remarquer. J’espère ne pas être vraiment con, et malgré tout, de rester viable. SI seulement vous me laissiez des indices sur vos motivations, sur les lectures que vous venez faire ici, peu nombreux, certes, mais qui revenez, qui recherchez sur google des mots clé qui ne peuvent renvoyer qu’ici… SI seulement, un mot de votre part.… Je vous réponds sûrement malhabilement, et d’ailleurs j’hésite toujours a répondre, tant j’ai peur de couper la parole. Y aurait il trop a lire avant d’oser s’exprimer ici ? Et une fois ce trop, vous n’auriez plus rien à dire ?

Vous vous lasserez bien de mes futilités maladroites, vous vous lasserez de mon rythme, de ma prose, de mes jeux de mots bidons et de mon arrogance feignant sans cesse la modestie, ma fausse impudeur, ma puérilité et mes accusations envers notre humanité décadente… Vous vous lasserez de moi. Et pourtant, vous seul pouvez me faire vivre cet espace, de vous seul devrait dépendre ma popularité… Déjà que je m’éreinte à écrire mes vanités et mes idées, tout cela mêlé, et je me sens déjà ridicule ; comment assumerais-je ma publicité ? – Et à ce propos, tout mes remerciements à Vulgum, qui semble se mourir, tout en liant par ici - mes hommages et merci ; et surtout, bonne continuation, bon vent, espérant qu’il vous reste des horizons, des espaces à créer...

Combien de temps pourrais-je continuer à vous écrire, alors que vous m’ignorez, alors que vous êtes, finalement, si peu. Bien sur, personne ne me lirait sans ce réseau, mais me lit on par distraction ? ce serait bien masochiste… Me lit on par prétention ; quel silence impromptu, en ce cas. Me lit-on pour mon style minable, pour mes propos redondants, pour mon identité troublé, me lit on par voyeurisme ou afin de réflexion ? est-ce-que je vous fais, ne serais-ce que de temps en temps, réfléchir ? Ou bien vibrer ? Vous ne me le direz pas ? J’ai fais tout pour obtenir votre silence ?! c’est cela .. ?! mon langage sec vous assèche, ne vous satisfait pas vraiment mais ne vous laisse rien à redire ? C’est ça ?! Non, ce serait trop simple. Peut être savez vous que vos objections, je ne saurais qu’en dire ? Sentez vous que vos commentaires, j’ai du mal à les commenter, j’ai du mal à discuter… Ou peut être, solution a la fois la plus simple et donc la plus évidente, que vous vous en fichez, finalement, de ce que je dis… Peut être n’êtes vous là que pour voir se développer la névrose d’un inadapté .. ? Allez ; dites moi… A moins que mes statistiques d’over blog soient fallacieuses, il y en à beaucoup qui ont sûrement a me cracher dessus – comment pourriez vous être d’accord ? – il y en à sûrement qui ont à tenter de parler, et pourquoi pas ici ; allez y, insultez moi, je tenterais de préserver mon calme. Je vous en pris, incendiez moi, vous qui maintenant en savez assez sur mes disloquences pour pouvoir m’accabler… BORDEL, JE VOuDRAIS DEBATTRE, ici même.

Allez, taisons moi, taisez moi – autrement que sur mon orthographe, dont j’espère, je ne sais pas si je l’ai déjà signalé, que vous l’avez remarqué changé – corrections automatiques, mais certainement qui élaguent vos soucis de précision/

Aller, il faudrait que je me taise… Je ne sais pas si j’ai déjà écris aussi longuement pour ne rien dire… Enfin, je veux dire, lorsque d’habitude je ne dis rien, je le dis sur quelque chose, et là non. Je ne dis rien sur rien, je parle de vous et moi, chose ou relation qui n’existe pas vraiment.

Est-ce que je vous trouble ? Vous perdez votre langue, « enfin » ?!

Tu as perdu ta langue…   Et pourtant, je n’ose croire que ceux qui reviennent ici soient de timides incertains ou de muets internautes… Ma pire tragédie serait, qu’en m’adressant à vous, je parle à quelqu’un qui me connaisse, qui m’ai reconnu, et qui viole mon anonymat par le sien..

Ai-je encore quelque reproche a faire ? Ai-je encore quelque chose a écrire ? Mon ironie me dissoudra tôt ou tard…

Est-ce que je me dissous pas dans ma propre ironie, déjà ?! Que la votre me serait salvatrice : un peu d’humour acide sur mes plaintes larmoyantes, je vous en pris, elles le méritent bien…

// Where is my mind, plus d’un quart d’heure que les pixies chante, et que je zappe les plus mièvres, celle-ci est entre deux, parfois je la laisse, je la laisse.//

Allez, allons bon, taisez vous tant que cela vous plait, du moment que vous me rendiez visite, quoi de plus pour emplir mon orgueil ? Un mot, mal ajusté, vous le sentez, serait plus stérile qu’un silence entendu… Certes, mais à vrai dire, je n’entend pas votre silence… Si un mot s’interprète difficilement lorsque l’on ne connaît pas celui qui le prononce, un silence, plus encore, pourrait s’interpréter tant que je préfère m’abstenir. Mais bon sang, vous revenez ? Ce n’est peutêtre pas les même qui reviennent toujours… Qui me connaît depuis plus d’un ans ? Allez, s’il y en a un qui est parcourus mes délires jusqu'à ces lignes, qu’il me fasse signe quelconque. Et qui veux me dire : continu d’écrire, me le dise, de toute, urgence. Non pas que sinon je me tairais, j’ai beaucoup de temps a perdre en ce moment, mais que sans ça, mon doute risque de devenir dévastateur : et qu’écrirais je encore si mon publique est comme un cercle fermé, qui puis est invisible et presque muet !?

«comment vous dire qu’ici c’dst étroit ; réponse :ici c’est étroit. »

Comment comprendre que notre mal être est compression de notre être : c’est que notre imaginaire n’a plus rien d’humain, n’a plus rien qui ne permette personnalité ou jouissance du monde. Peut être n’en a-t-elle jamais rein eu…

C’est comme si je refusais d’être fatigué alors qu’il n’est que trois heure. Alors que demain je refuserais de me lever s’il est moins de midi. Et pourquoi ?.

Ici, c’est étroit. Ici, ce n’est pas simplement mes membres et mes muscles qui obéissent à quelques opérations mécaniques pour le bien de la communauté économique, mais aussi mon esprit, qui se contorsionne pour pouvoir penser des heures durant des chiffres ou manipulations presque inutilse.

Nous, c’est étroit. Entre nous aussi, mais nous préférons ignorer, nos odeur mutuelles nous déranges, il faut le dire.. Mais nous, c’est aussi large, entre étroitesse et largesse, nous ne nous supportons que rarement. Vous ai-je réclamer de me publicité, un peu plus haut, ? Quel ridicule arrogance… SI je n’ai pas de le faire sérieusement, ni l’arrogance, comment vous, simple lecteur d’interlignes, pourriez décidez que mes propos ont à être plus entendus, plus diffusés ?!

Il n’y a presque rien à redire de notre ridicule ; et pourtant je ne cesse d’en discourir… Pour tout dire, je n’ai que ça à dire, semble-il…Je me souviens d’un commentaire, une demoiselle, me semble t il, qui appréciait mes discours, et, semblait elle souligner, particulièrement mes relfexion socialo-politique, plutôt que mes égarement psycho-bordélique- c’était à propos de notre société de compétition … c’est presque certain que ces propos de journal intime de présuiciaire alcoolique n’ont rien de palpitant , si l’on n’a rien d’un vicieux.

Et moi, qu’ai-je d’un vicieux, a vouloir donner de la voix ? Et comment je n’en donnerais pas, s’il m’en vient l’envie.

Et comment faite vous, vous, pour retenir votre langue ? Précautions rotatives bien éduqués ? Langue musclée, vous ne parlez qu’après avoir ruminé ? Et sinon, ça donne quoi ? Et lorsque vous vous lâcher, ça donne quoi ? de la merde ?! c’est que nous sommes un peu merdiques, il faudra bien l’admettre …

Et notre égoïsme, le lâchera t on un peu ? Nous plaira t on de le laissez de coté, un peu.

J’écris ; parce que c’est presque parler, et presque être seul ; j’écris par ce que je me sens seul, ou plutôt, que je veux et que j’aime me sentir seul. Et pourtant, qui ignore que la solitude devient nécessairement souffrance ?

Quatre choses que je ne lâcherais pas ?: ma voix, roque ; ma bite, lorsque tendu, ma belle gueule, mon envie de me départir de ce qui m’emmerde, la voix de cantat et celle de louis lorsqu’il attaque ; ma volonté de voix, en somme, ma volonté de jouir, l’apriori positif a mon égard, la construction de ma disjonction. allez, cinq choses que nous ne lâcherons plus : notre sentiment d’être minable, notre volonté de nous en départir, notre sentiment d’être éloquent, notre volonté de le rester, notre sentiment du langage poétique et notre désir de créer, nos émotions amoureuses et notre désir de partager ce que l’on aime, nos émotions esthétique, et la souveraine volonté de les communiquer par tous les recours que l’imagination nous fournisse.

Milles choses à faire avant de vouloir s’accomplir… Quoi ?!, lire, déjà, car tant ont déjà dit qu’il est leur faire outrage de les ignorer Mais l’accomplissement même semble pas réduire à la connaissance.. ; car connaître, ce n’est au fond que croire, ce n’est qu’imagier avec quelconque assurance…

Mes doigts s’agitent comme les tentacules d’une pieuvre sur ce clavier inerte ; et que fais-je vivre ?!?


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