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Fantastic Beasts and Where to Find Them (Ciné)

Par Bigreblog

Hello les Potterheads dans la salle!

Alors, hier soir, je suis allée pleurer devant Fantastic Beasts. Pleurer pour plusieurs raisons, mais surtout parce que j’étais émue comme pas possible de retrouver cette magie qui avait bercé des années de ma vie et qui m’avait manqué comme pas permis…

Alors, si vous voulez savoir si ça vaut le coup, je ne spoile rien!

Newt Scamander débarque à New-York en 1926, en des temps troublés. En Europe, le Mage Noir, Grindelwald, sème la terreur, tandis qu’aux USA, les Nouveaux-Salemiens tentent de révéler aux Non-Maj l’existence des sorciers et sorcières. Une guerre est presque inévitable. Et au milieu de tout cela, Newt sème ses créatures magiques dans toute la ville…

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On va commencer en mettant une chose au clair: ce sera Newt Scamander et pas Norbert Dragonneau, cette traduction pourrie et diffamatoire qui m’a fait grincer des dents toute la soirée. Comme si c’était difficile à prononcer en anglais. Ugh.

Deuxième chose mise au clair: s’il y a des Pouffsouffle dans la salle: ce film est pour nous, et pour personne d’autre. Car Newt est un vrai Puff: bizarre, timide, mais adorable et terriblement attachant. Puff and Proud!

J’avais été un peu dubitative sur le scénario du film, car des créatures qui s’enfuient et créent la pagaille dans New-York, c’était un peu enfantin. La vérité? Ce film est plus destinée aux audiences plus âgées qu’aux petits. Donc soyez vigilants en y emmenant vos enfants: la dernière moitié du film est assez dark.

Même si Newton est le rayon de lumière au bout du tunnel. Littéralement. Ce n’est pas la fan qui parle, je suis objective à ce niveau-là.

Point positif suivant: les créatures en elles-mêmes. Les non-Potterhead seront ravis de les voir et d’en découvrir les trombines; les Potterhead découvriront ENFIN les créatures étudiées par Harry et ses amis en cours de Soins aux créatures magiques qui nous ont fait défaut dans les films.

Et les Niffleurs sont adorables, même si je veux désormais un Thunderbird pour Noël.❤

J’en profiterai pour passer un message mine de rien: les effets spéciaux sont devenus tellement parfaits que, plus que jamais, la magie est réelle.

Parlons casting.

Eddie Redmayne est mon aimé depuis Pillars of the Earth, c’est un fait. Mais il était né pour incarner un sorcier, de ma Maison en plus. Il est adorable, bizarre comme il faut, mais juste irrésistible. C’est impossible de ne pas aimer Newt, je vous le dis!

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Katherine Waterston, qui incarne Tina, son acolyte pour le meilleur comme pour le pire, est faite pour jouer les années folles. Elle a un petit charme particulier et son personnage est particulièrement intéressant pour la cause féminine.

😉

Dan Fogler, le Non-Maj du film, incarne donc Jacob Kowalski, entrainé malgré lui dans le monde magique, et qui sert finalement d’œil au novice dans la salle. Il est vraiment très chouette et si on le penserait inutile, il est finalement vraiment appréciable!

Mais je ferai une mention spéciale à Colin Farrell, que je n’aurais jamais cru à l’aise dans les chaussures cirées d’un sorcier mais qui m’a bluffée comme il le fait souvent. Son Auror, Percival Graves, est juste savoureux de contradictions, tout en douceur et en dureté, et franchement, Colin, big up man, tu manies la baguette comme un pro!❤

Bref, pour résumer, Fantastic Beasts, c’est de la balle, c’est visuel, c’est mignon et dark en même temps, et en gros, c’est juste l’un des plus beaux films que j’aie vus cette année!

Note: 9,5/10 (scénario: 9/10 (quelques interrogations mais j’ai confiance, J.K. nous dira tout en 2018)jeu: 10/10 (pas une seule fausse note!)BO: 9/10 (James Newton-Howard n’a jamais aussi bien porté son nom)esprit magique: 10/10)

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