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Wendy Guerra, Mère Cuba, éd. Stock. À paraître...

Publié le 26 novembre 2016 par Slal

Paris, juillet 2009
Wendy Guerra est née à La Havane en 1970 et y réside actuellement. Collaboratrice à diverses revues, elle est reconnue à Cuba pour son œuvre poétique, des recueils tels que le précoce Platea a oscuras (1987) ou Cabeza rapada (1996). Au nombre de ses publications remarquées par la critique comme par les lecteurs, s'ajoute l'audacieuse création littéraire Posar desnuda en La Habana. Diario apócrifo de Anaïs Nin. Cette œuvre hybride à mi-chemin entre l'essai et la fiction, nourrie de recherches concernant les Journaux de Nin et son séjour sur l'île.
Todos se van (Tout le monde s'en va, Stock, 2008 et en Poche, juin 2009) incarnant les prémices de son entreprise narrative, a été perçu par les critiques d'El País comme le meilleur roman de langue espagnole en 2006. Il a reçu le Prix du Roman Bruguera, destiné à distinguer les nouvelles voix prometteuses, appelées à s'imposer dans le panorama littéraire, et remis par l'écrivain Eduardo Mendoza en qualité de juré unique.

À paraître le 26 août 2009 dans la collection La Cosmopolite aux Éditions Stock.
Roman traduit de l'espagnol (Cuba) par Marianne Millon

À voir : Archives SLAL... Depuis La Havane... à suivre, Au Salon 2008, Les rencontres 2008... audios, Les vidéos de la 4e édition 2008...
Samedi 17 mai 2008
Fin du Salon, fin de cette page, Wendy quitte Paris sur les airs du tango Flor de lino, interprété ici par notre ami Joe Powers, et sous le regard toujours élégant de Francesco Gattoni...

Wendy Guerra par Francesco Gattoni

Vendredi 16 mai à la Maison de l'Amérique latine
Rencontre avec Wendy Guerra, sa traductrice Marianne Millon, et Jacques Munier. Lecture par le comédien Nicolas Sartous.

Vendredi 14 mars 2008, La Havane, Cuba
Pisar el cesped
Aquí estoy : Como esperando en un cuadro de Flavio Garciandía, aquellos enormes lienzos de los setentas me recuerdan a mi madre, cierro los ojos en el museo de mis días, dormida sobre la hierba de Cuba, espero. A esta hora en que la tarde se funde con el cuerpo y la luz me retrata mientras el mar es un rumor que juega a los escondidos y me gana toda.
Wendy Guerra
Fouler le gazon
Me voilà : Comme attendant dans une peinture de Flavio Garciandía, ces énormes toiles des années 70 me rappellent ma mère, je ferme les yeux dans le musée de mes jours, endormie sur l'herbe de Cuba, j'attends. À cette heure où le soir se fond au corps et la lumière me peint tandis que la mer est une rumeur qui joue à cache-cache et me gagne toute entière.
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Hembra/hierba
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Tout ce dont tu as besoin est d'amour, Flavio Garciandia, 1975


Traduit de l'espagnol (Cuba) par Marianne Millon.
Dans le Cuba des années 1980, Nieve consigne dans son journal intime les événements marquants de son existence, de l'enfance aux prémices de sa vie de femme. Elle est tiraillée par des parents artistes et bohèmes qui se déchirent et son évolution personnelle, intellectuelle, politique et artistique marquée par les départs et les séparations.


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