Partout, dans toutes les villes gérées par le FN (ou dans celles où il fait partie des équipes municipales), le scenario a tendance à se répéter quasiment à l’identique. Luttes de pouvoir fratricides, népotisme, décisions incohérentes et amateurisme, conflits d’intérêts, affaires judiciaires à répétition, tensions inter-communautaires, troubles à l’ordre public, et démissions subséquentes des élus frontistes. (ainsi, pour exemple, ici, à Marseille, en masse). Et oui, même eux peuvent être dégoutés par le bassesses d’un certain fonctionnement politique de bas étage. Mais que ces gogos découvrent soudain que leur parti n’est pas vraiment d’essence démocratique et que leurs élus ont une fâcheuse tendance à l’excès de pouvoir me fait bien marrer. A Cogolin, la situation est si conflictuelle entre le maire bling-bling et ses « partenaires » (rires) élus du FN et la situation a tellement dégénéré qu’elle échappe à tout contrôle, au point de risquer une nouvelle élection :
sourceL’article nous décrit dans le détail les péripéties immobilières suicidaires dont le maire a le secret. Fier capitaine d’un navire que tous les rats désertent, le voilà seul maître à bord de son petit Titanic. Tout cela prêterait à rire si des habitants ne risquaient fort d’en faire les frais. Peut-être que la prochaine fois, ils y réfléchiront un peu plus, avant d’élire pareille équipe de bras cassés. Fallait sûrement ça pour leur apprendre ce que gérer intelligemment une ville veut dire…