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Si Cléopâtre m’était contée

Par Carmenrob

Mes choix de lecture n’obéissent à aucune règle précise. Conseils de critiques, suggestions de parents et d’amis, pur hasard (ou presque), comme ce fut le cas pour le tout dernier, Les enfants d’Alexandrie, premier d’une trilogie intitulée La reine oubliée, découvert chez le marchand le livres usagés alors que je cherchais tout autre chose.

Le nom de Françoise Chanerdagor ne m’était pas inconnu, mais je n’ai réalisé que par la suite que j’avais déjà lu une de ses œuvres, Maintenon, la biographie de l’épouse secrète de Louis XIV.

Si Cléopâtre m’était contée
Les enfants d’Alexandrie, se sont ceux de Cléopâtre, fils de César et rejetons de Marc Antoine. Articulant le récit autour de la seule fille de cette fratrie, Cléopâtre-Séléné, l’auteure revisite pour nous les dernières années de gloire de Cléopâtre. Le parti pris de romancer ce morceau d’histoire ne sacrifie en rien à la véracité des faits, des lieux et des principaux personnages comme en font foi les nombreuses pages explicatives de Françoise Chandernagor, à la fin du roman. Le mariage de la fiction et de la vérité historique (qui comporte toujours aussi une part de fiction) donne un livre passionnant et instructif. Il me tarde d’en lire la suite.

J’écourte mon commentaire pour cause de voyage. Vous reviendrai sur le sujet quand j’aurai trouvé la suite.

Françoise Chandernagor, Les enfants d’Alexandrie, Albin Michel, Livre de poche, 2011, 401 pages.


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