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Justin Kurzel : Assassin’s creed

Publié le 13 janvier 2017 par Aude @bizzetmiel
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Ce que le synopsis nous dit :

Grâce à une technologie révolutionnaire qui libère la mémoire génétique, Callum Lynch revit les aventures de son ancêtre Aguilar, dans l’Espagne du XVe siècle. Alors que Callum découvre qu’il est issu d’une mystérieuse société secrète, les Assassins, il va assimiler les compétences dont il aura besoin pour affronter, dans le temps présent, une autre redoutable organisation : l’Ordre des Templiers.

Justin Kurzel : Assassin’s creed

Ce que j’en pense :

D’accord, c’est de ma faute, j’aurais tout de suite dû me méfier quand j’ai vu que Marion Cottilard était à l’affiche. Erreur de débutant… De plus, il se trouve que la séance à laquelle j’ai assisté était traduite (je n’avais pas le choix !) et que Madame n’a même pas pris la peine de faire son doublage dans sa langue maternelle. Il était donc très perturbant de la voir parler français avec une voix qui n’était pas la sienne. Et je dois me rendre à l’évidence : la présence de Michael Fassbender n’est pas toujours un gage de qualité…
Point positif sur la 3D, qui était pour une fois parfaitement justifiée. La réalisation a repris ces vues point de vue “oeil de rapace” pour nous faire plein de plans larges et en vol très sympathiques (quelque peu en surdose cela dit). Les images sont belles.
Par contre, l’histoire. Maouis. Elle mixe les éléments de différents opus du jeu vidéo, y ajoutant sa touche personnalisée sur pas mal d’aspects, mais la mayonnaise ne prend pas. L’esprit ne m’a pas paru respecté du tout, tandis que cette nouvelle vision des choses ne présente que peu d’intérêt : le dévouement exacerbé à la fratrie m’a paru ridicule. Et surtout que de scènes violentes (alors que le propos répété en boucle est la recherche de la paix sur terre – si c’est pour souligner l’incohérence de la mission, pourquoi pas, mais dans ce cas le message est carrément lourdingue). Le problème n’est pas juste qu’il y ait quelques scènes d’actions et des bagarres, mais que ce “trop” ne parviens pas à masquer les creux du scénario.

Conclusion :

Peu d’intérêts, en dehors en quelques plans impressionnants.

Justin Kurzel : Assassin’s creed

A voir si vous voulez en savoir plus sur :

les panoramiques
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l’hérésie
le parkour

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