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#LePen ce nom définitivement entaché de l’infamie suprême #PesteBrune #FN #Montebourg

Publié le 20 janvier 2017 par Mister Gdec

NON, Monsieur Montebourg ne sera pas condamné pour avoir dit la vérité, Monsieur Le Pen… Encore raté. Vous avez définitivement basculé du côté obscur de l’histoire. Fait suffisamment rare pour mériter d’être signalé, je vais publier ici in extenso un article duquel il n’y a rien à ajouter ou retrancher. Tout est écrit. La vérité, rien que la vérité, toute la vérité :

#LePen ce nom définitivement entaché de l’infamie suprême #PesteBrune #FN #Montebourg
Fait rare, la justice a débouté Jean-Marie Le Pen jeudi en retenant « l’exception de vérité », expliquant qu’Arnaud Montebourg disait la vérité quand il l’accusait de « faire l’éloge de la Gestapo ».

La cour d’appel de Paris a débouté jeudi Jean-Marie le Pen, qui poursuivait en diffamation Arnaud Montebourg pour avoir affirmé que le président d’honneur du Front national avait « fait l’éloge de la Gestapo ». La cour a totalement confirmé le jugement de première instance, qui avait, fait rare, retenu « l’exception de vérité » soulevée par la défense, expliquant en clair qu’Arnaud Montebourg ne pouvait être poursuivi car il disait la vérité. L’ancien dirigeant du parti d’extrême droite a aussi vu confirmée, compte tenu de sa « mauvaise foi », sa condamnation à verser 3.000 euros à l’ancien ministre du Redressement productif, pour procédure abusive.

Condamné pour contestation de crime contre l’humanité. Le 23 février 2014, en pleine campagne pour les municipales, le ministre socialiste avait débattu avec Marine Le Pen, fille et héritière politique du cofondateur du FN : « Moi je n’oublie pas que le président d’honneur du FN a fait il y a quelques années l’éloge de la Gestapo et de l’occupation allemande », avait-il alors déclaré. Allusion, notamment, aux propos de Jean-Marie Le Pen sur l’occupation allemande, qui n’aurait pas été « particulièrement inhumaine ». Propos qui lui ont valu, au terme d’une longue procédure, d’être définitivement condamné à trois mois de prison avec sursis et 10.000 euros d’amende, pour contestation de crime contre l’humanité.

Une exception de vérité rarement retenue. A l’audience, la défense de l’ancien ministre a produit plusieurs décisions de justice, desquelles il ressortait, selon le tribunal, que Jean-Marie Le Pen a bel et bien fait l’éloge de la Gestapo et de l’occupation allemande. La cour d’appel a confirmé jeudi que « l’offre de preuve remplissait les exigences » prévues par la loi. L’exception de vérité n’est que très rarement retenue par la justice, car la preuve doit être « parfaite, complète et corrélative aux diverses imputations formulées », selon une jurisprudence constante au moins depuis 1948. Jean-Marie Le Pen, 88 ans, a déjà été plusieurs fois condamné pour des propos considérés comme négationnistes ou incitant à la haine.


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