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Comment cuisiner lorsque l’on n’a pas de four ou plus d’électricité chez soi ?

Publié le 24 mars 2017 par Plcom @TousLesLoisirs

Après 10 ans de bons et loyaux services, votre four a fini par vous lâcher. Manque de bol, c’est justement le jour où vous recevez des convives à dîner. Comme si ça ne suffisait pas, voilà que le disjoncteur s’y met aussi. Plus de four, plus d’électricité, comment cuisiner ? Il y a toujours l’option Uber Eats, mais on peut aussi faire preuve d’innovation en se passant du modernisme. C’est même très bon pour la santé. Démonstration.

La cuisine au gaz

Si vous rencontrez une panne de courant mais que vos plaques de cuisson fonctionnent au gaz, le problème peut se résoudre facilement. Les réchauds, bouilloires et poêles d’appoint permettent de faire chauffer l’eau rapidement.
La cuisine au bain-marie, bien connue de nos grands-mères et des survivalistes, est notamment préconisée dans ce cas pour la cuisson de certains aliments ou préparations fragiles.

La cuisine crue

La façon la plus simple de cuisiner sans four ni électricité, c’est encore de ne pas cuisiner : la raw food (ou crudivorisme) est une cuisine sans cuisson, vivante et remplie de bénéfices pour la santé (vitamines, lipides).

Comment cuisiner lorsque l’on n’a pas de four ou plus d’électricité chez soi ?

Cuisiner sans four ni électricité

En Californie (le lieu d’origine de nombreuses tendances saines et branchées), elle est même devenue un mode de vie pour certains. En France, faute de devenir un régime à temps plein, elle peut être une option pour les soirées de coupures de courant.
Par ailleurs, l’art de cuisiner et de consommer les aliments sans four ni électricité est à l’honneur dès le retour de printemps : salades composées, brochettes de légumes, fruits frais consommés natures ou avec un peu de sucre ou de yaourt.
Pas fan de crudités ?
Les verrines sont vos alliées. En version salées ou sucrées, ces petites préparations se consomment froides sans fin et sans faim.

La cuisine façon « cuisine à travers les âges »

En parlant de revenir à des valeurs de base, la cuisine au feu de bois en est une. Hélas, nous n’avons pas tous la chance de posséder une cheminée pour cuire brochettes, saucisses, entrecôtes et autres aliments de carnivores. En revanche, on peut miser sur les performances du barbecue à énergie solaire pour nos grillades.
Les rayons solaires sont collectés grâce à la forme parabolique afin de garantir une cuisson sans électricité ou combustible et donc sans émission de CO2. Le barbecue atteint des températures jusqu’à 200°C et peut assurer un repas pour cinq personnes.
Même en cas de météo capricieuse (ciel moutonneux, éclaircies partielles), d’après ses créateurs, l’appareil dégage suffisamment de chaleur pour préparer un repas aussi efficacement qu’avec un barbecue au gaz ou à l’électricité.

Et le soir alors ? Quand la nuit tombe, il fait bon manger chaud. En cas de panne d’électricité, nos amis Norvégiens ont mis au point au système bien pratique : Hooimadam, qui s’inspire de la marmite norvégienne, où jadis la nourriture était maintenue au chaud pour les ouvriers agricoles (l’ancêtre du thermos en quelque sorte). Il s’agit d’un petit baluchon rempli de laine, qui isole si bien qu’elle parvient à maintenir la nourriture pendant trois heures, et même à achever sa cuisson.

Vous voilà désormais paré(e) pour affronter les pannes de four et de courant.


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