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Pig Island, Mo Hayder

Par Maliae

Pig Island, Mo HayderRésumé : Joe Oakes est journaliste et gagne sa vie en démystifiant les prétendus phénomènes paranormaux. En débarquant sur Pig Island, îlot perdu au large de l’Écosse, il est fermement décidé à vérifier si la trentaine d’allumés qui y vivent en vase clos vénèrent le diable comme les en accusent les gens de la côte. Et, surtout, il veut tordre le cou au mythe du monstre qui aurait élu domicile sur l’île, une mystérieuse créature filmée deux ans plus tôt par un touriste à moitié ivre.

Mais rien, strictement rien ne se passe comme prévu. Joe est confronté à des événements si atroces qu’ils bouleversent à jamais son idée de la peur et du mal…

Avis : 275 pages, c’est un abandon. Je voulais aller jusqu’à la 300ème pour voir si ça redémarrait mais… Mais non. Je m’ennuie avec cette lecture, je n’avance pas, je m’endors dessus, je trouve toujours mieux à faire que lire. Donc, je préfère abandonner, laisser tomber, même si c’est frustrant, même si j’ai peur de passer à côté du bouquin, à côté de quelque chose. J’ai dépassé la moitié et je n’accroche pas, alors je pense que je suis déjà passée à côté du bouquin, finalement.

L’idée de base est bonne, m’intéressait au plus haut point, sauf que ça ne l’a pas fait du tout sur moi. J’ai trouvé le style un peu pompeux, ça tournait en rond, ça n’avançait pas, ça cassait le rythme de l’histoire. Et puis je me suis très vite ennuyée, je ne comprenais pas où allait l’autrice, ce qu’elle voulait nous faire comprendre (ou pas). Je ne comprenais pas où allait l’histoire. Page 275, je ne le comprends toujours pas.

Je n’accroche pas l’écriture donc, mais j’ai bien accroché au perso d’Oakesy, si seulement il n’était pas narrateur, j’ai préféré le passage avec Lex, sa femme, quand bien même, elle, je l’ai détesté, j’ai trouvé le style plus entraînant quand elle racontait.

Décidant d’abandonner avant la fin, je suis vite fait aller la lire, mais forcément j’ai pas tout compris à ce point de l’histoire, et donc je ne sais pas si je dois regretter d’avoir laissé tomber ma lecture. Si le livre avait été plus nul, je n’aurais pas eu de regret, mais là, je me dis qu’il était plutôt bien, simplement ça ne passait pas. Ça arrive, dommage.

Cependant je tenterai d’autres livres de l’autrice, je ne veux pas rester sur cette déception.

Phrase post-itée : 
« Règle numéro un des chasseurs d’impostures : ne jamais exprimer ni doute ni dérision. Si quelqu’un vous affirme avoir vu le visage d’Elvis dans la laine de verre de son grenier, surtout ne riez pas. »

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