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[Dossier] 10 remakes meilleurs que l’original

Par Onrembobine @OnRembobinefr
[Dossier] 10 remakes meilleurs que l’original

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On fustige souvent les remakes, qui, il faut bien l’avouer, traduisent plutôt deux fois qu’une le manque d’imagination et le désir de l’industrie cinématographique de ne pas prendre trop de risques. Pourtant, certains réalisateurs ont réussi à justifier leur désir de relecture en livrant des films supérieurs à leurs modèles. Comme ces 10 long-métrages. Des exemples particulièrement flagrants pour certains…

Scarface, de Brian De Palma

Remake de Scarface, d’Howard Hughes
Non pas que le film d’Howard Hughes soit mauvais. Loin de là. Pourtant, il est loin d’atteindre le niveau d’intensité du Scarface de Brian De Palma. Un film puissant, violent et sulfureux qui bénéficie en outre de l’apport indéniable que constitue la performance bigger than life d’Al Pacino.

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True Lies, de James Cameron

Remake de La Totale, de Claude Zidi
Oui True Lies est mieux que La Totale de Claude Zidi. Et ce n’est pas parce que ce dernier est français. Pas uniquement en tout cas. Dans True Lies, l’un des meilleurs films d’action de tous les temps, il y a tout. De l’humour, de l’action donc, un solide script, un Schwarzenegger en pleine forme, une Jamie Lee Curtis impériale… Tout ! On a tout à fait le droit de le considérer comme le dernier chef-d’œuvre de James Cameron.

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La Mouche, de David Cronenberg

Remake de La Mouche, de Kurt Neumann
Parce que Cronenberg s’est complètement approprié le postulat de départ pour en faire un film viscéral, dérangeant, intelligent et provoquant. Un des meilleurs dans sa catégorie. Encore aujourd’hui.

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La Colline a des yeux, d’Alexandre Aja

Remake de La Colline a des yeux, de Wes Craven
Il est bien sympa le film original, mais vraiment hyper bancal. Tout le contraire du remake d’Alexandre Aja qui n’a pas éludé le propos premier, mais qui a su organiser la montée en puissance d’une horreur qui résonne longtemps après la projection. Furieux !

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La Dernière maison sur la gauche, de Dennis Eliadis

Remake de La Dernière maison sur la gauche, de Wes Craven
Oui encore Craven. Parce qu’au fond, La Dernière maison sur la gauche pose problème. C’est à la fois l’un des films les plus traumatisants jamais réalisés, mais aussi l’un des plus ridicules. La faute à qui ? Au mec qui a eu l’idée d’inclure les deux policiers totalement givrés dans le script. Le remake lui, ne commet pas vraiment d’impair et se concentre sur la construction d’une ambiance malsaine donnant enfin toute l’ampleur nécessaire au terrifiant postulat.

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L’Armée des 12 Singes, de Terry Gilliam

Remake de La Jetée, de Chris Marker
Ceux qui affirment préférer le court-métrage de Chris Marker vous mentent. Oui, le boulot de Marker est remarquable, mais de là à dire que son film est aussi passionnant et abouti que l’est celui de Gilliam…

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True Grit, de Joe et Ethan Coen

Remake de Cent Dollars pour un Shérif, d’Henry Hathaway
Les deux sont très bons mais notre préférence va au remake. Pour Jeff Bridges, et pour la réalisation crépusculaire des Coen. Entre autres choses…

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Les Nerfs à vif, de Martin Scorsese

Remake des Nerfs à vif, de Jack Lee Thompson
Pour Robert De Niro, complètement barjot, hyper charismatique, pour Jessica Lange, Juliette Lewis et bien sûr Nick Nolte, mais aussi pour la mise en scène grandiloquente et vertigineuse de Scorsese, qui a profité de l’occasion pour rendre un vibrant hommage au grand Alfred.

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Le Convoi de la peur, de William Friedkin

Remake du Salaire de la peur, d’Henri-Georges Clouzot
Là aussi, difficile de départager. Mais bon… Friedkin a poussé tous les compteurs dans le rouge, accouchant dans la douleur d’une œuvre tellement dense et tellement maîtrisée, qu’il est quand même difficile de ne pas la considérer comme légèrement supérieure à son modèle.

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Vanilla Sky, de Cameron Crowe

Remake de Ouvre les yeux, d’Alejandro Amenábar
Voilà qui risque de faire grincer quelques dents. L’original d’Amenábar est bien sûr fantastique, mais le Crowe est plus rock and roll. Plus métaphysique aussi et curieusement plus onirique. Question de goûts…

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Sans oublier Karate Kid… Non c’est pour rire….


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