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Les bons et mauvais côtés de la fellation

Publié le 18 août 2017 par Guy Deridet

Les hommes l'apprécient beaucoup, les femmes souvent un peu moins. Pourquoi cette pratique du sexe oral divise-t-elle autant ?



Les bons et mauvais côtés de la fellation Les bons et mauvais côtés de la fellation Quels sont les freins à une fellation ?

Du point de vue de celui qui la fait

« C’est une position de soumission » : ah bon ? Qui maîtrise et prend les choses en main (ou plutôt en bouche) ? Et qui au contraire s’abandonne ? Qui prend le risque de se faire mordre ? Bref, argument en carton, davantage lié à nos us et coutumes qu’à autre chose.

« J’ai peur de mal faire » : il n’y a pas grand chose à savoir, sinon d’éviter de faire à autrui ce que l’on n'aimerait pas qu’il nous fasse : mettre les dents (ou alors très légèrement), être trop mou ou trop rapide, bâcler, s’occuper uniquement du pénis et non du reste. Et, bien évidemment, il est bon d’être réceptif aux signaux conscients ou non que vous envoie votre partenaire. Pareil que pour un cunnilingus en somme : s’écouter et laisser parler son imagination est encore le meilleur moyen de bien faire.

Lire la suite ici :
N.D.L.R

A savoir :

Le sexe oral peut provoquer le cancer

La fellation et le cunnilingus pratiqués sans protection augmenteraient de façon importante les risques de cancer, en particulier celui de la gorge, d’après une équipe de chercheurs américains. En effet, les papillomavirus humains, responsables de différents types de cancer, se transmettent via le sexe oral.

Le sexe oral peut vous transmettre des IST

La pratique du sexe oral expose également à des infections sexuellement transmissibles, dont le sida, la syphilis, l’herpès et l’hépatite B. Le seul moyen d’éviter tout risque de transmission est d’utiliser un préservatif.

Quelle est la partie du pénis la moins sensible ? Le gland !

Quelle est le partie génitale de l'homme la plus sensible : les testicules !

A cet égard voir ici un article de ce site : Avec les mains

A bon entendeuse ...

La nouveauté c'est que les hommes désormais pratiquent désormais autant le cunnilingus que les femmes pratiquent la fellation.

Le problème est que la plus grande partie du clitoris étant cachée il est beaucoup plus difficile de réussir un cunnilingus, qu'une fellation. De plus, si les hommes se satisferont volontiers d'une fellation ratée, les femmes, généralement, n'aiment pas qu'on ne les manipulent pas de la façon qu'elles apprécient. Or, en ce domaine, chacune a ses préférences et sans en parler, ce qui n'est pas évident, lors des premiers rapports, il est très difficile, comme dit l'autre, de savoir sur quel bouton il faut appuyer, et surtout comment.

Une précision : il n'y a pas de femmes vaginales, de femmes clitoridiennes ou de femmes anales ! Chez la femme tout le plaisir vient du clitoris qui loin de n'être que le petit phallus minuscule que l'on voit, est un organe qui des ramifications nerveuses très étendues, dans tout le vagin et jusqu'à la paroi qui le sépare de l'anus.

Il se trouve que chaque femme est plus ou moins sensible de telle ou telle partie du clitoris, voire chez certaines que j'ai eu la chance de fréquenter, de toutes les parties du clitoris ! C'est la raison pour laquelle les femmes ont besoin de beaucoup de temps avant de ressentir l'orgasme. En tous cas, beaucoup plus de temps qu'il n'en faut à l'homme pour éprouver le sien !

Après avoir éprouvé son premier orgasme, la femme aura besoin de beaucoup moins de temps pour éprouver l'orgasme. Jusqu'à devenir la femme que je préfère entre toutes, la femme multi-orgasmique. Celle qui ne dit jamais stop, mais toujours encore, et qui, dans cet exercice est infiniment supérieure à l'homme.

Une dernière chose : le plus important pour réussir une fellation, mesdames, c'est de saliver énormément ! Rien n'est plus désagréable pour l'homme dans cette situation qu'une bouche sèche. Or, les premières fois, avec l'appréhension, il est normal d'avoir la bouche sèche. Une bonne façon d'activer la salive c'est d'avaler profondément le pénis. Attention quand même, ça peut provoquer le vomissement, ce qui dans mon histoire sexuelle, pourtant riche et variée, est un de mes plus mauvais souvenirs. De quoi me dégoûter à tout jamais de cette pratique sexuelle. Heureusement, je m'en suis bien remis.


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