Rétro 6VB: Les Pats signent un accord de coopération avec l’Iran

À 6VB, on a parlé en quelques occasions de l’atroce scandale du Spygate, scandale qui a agréablement alimenté notre mépris des Patriots. Dans cet esprit, le 19 novembre dernier l’ami Mak a combiné son amour du football et de la politique internationale pour imaginer un nouvel axe du mal…

Insatisfaits du traitement injuste que la presse leur a réservé depuis le début de la saison, les Patriotes de la Nouvelle-Angleterre ont décidé de s’allier à une puissance étrangère du Moyen Orient, question de montrer à la face du monde (et incidemment à la face incrédule de la NFL) c’est qui qui est le boss icitte…
En effet, les Pats ont conclu que leur flirt avec les forces du mal avait assez duré et qu’il était temps de passer aux « choses sérieuses » (third base, en anglais). Les victoires répétitives de 78-5, ça devenait lassant à la fin, et c’est pourquoi le propriétaire des Pats, Bob Kraft, a récemment signé un Accord de coopération international avec l’Empire Persan d’une durée de 5 ans. Le Président Iranien, Mahmoud Ahmadinejad, s’est dit très soulagé de la signature de l’Accord qui lui procurera un accès direct aux sidelines de tous les matchs à Foxborough ainsi que tout plein de fantasy-tips normalement réservés aux gros miseurs de Vegas. On sait en effet que le NFL Network n’est toujours pas disponible en Iran, ce qui, dit-on, aurait accéléré les négociations. L'Accord inclut un boni de signature de 5M$ et un roster bonus de 2M$ si M. Ahmadinejad est encore Président de la République islamique le 1er septembre 2009. Au surplus, M. Ahmadinejad apparaîtra aux côtés de M. Kraft sur la prochaine photo d’équipe.
Aux termes de l’Accord, l’Iran fournira du pétrole à bas prix à tous le personnel des Pats, plus de 400 mitraillettes Kalachnikovs, 10 chasseurs Mig-20, 12 tanks de fabrication russe et, évidemment, un immense baril d’uranium enrichi. Bill Bellichick a affirmé qu’il entendait utiliser ce matériel militaire et/ou radioactif lors des prochains matchs et qu'aucun règlement n’empêchait Randy Moss de pointer une arme automatique contre les CB adverses.