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Vers San Francesco della Vigna : des colonnes qui inspirent...

Publié le 25 février 2012 par Venetiamicio
Cette colonnade soutient un passage surélevé qui reliait le couvent des franciscains à la résidence des nonces apostoliques ; au bout de ce passage se trouve l'église San Francesco della Vigna (1534), oeuvre de Jacopo Sansovino...
Vers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...Quelques essais pour vieillir les photos...
Vers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...
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Vers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...quand on aime, on ne compte pas !Vers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...Vue depuis le campo de la ConfraternitaVers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...Campiello de la ChiesaVers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...Ponte de San FrancescoVers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...
Vers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...
Vers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...
Vers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...Vue sur la Chiesa et le Palazzo NunziaturaVers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...Pal.NunziaturiaVers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...Vue sur le Ponte San Francesco et le palazzo ContariniVers San Francesco della Vigna  : des colonnes qui inspirent...Ce jour-là, une belle journée ensoleillée, j'ai l'impression d'avoir des petites ailes à mes baskets ! Je marche avec plaisir depuis tôt ce matin et des petits riens ont bien rempli les heures qui se sont écoulées.Après m'être perdue au fin fond de Cannaregio où déjà je me suis promenée en solitaire, ma balade se poursuitau même rythme en une flânerie silencieuse et attentive. Après une petite halte au couvent, toujours seule, j'arrive sur le campo, tranquille au possible, un oiseau siffle, de temps en temps, des pas résonnent, une silhouette furtive traverse rapidement le pont, puis s'éloigne. Le campiello retrouve sa quiétude, juste une légère brise qui balaie les feuilles et les fait grincer sur les dalles...Je profite de ces instants de pur bonheur auxquels plus tard je repenserai. Voilà c'est fait, sans nostalgie !

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