Aberration

genre: horreur (interdit aux - 12 ans)année: 1997durée: 1h30l'histoire: Amy retourne dans la maison de son enfance, une cabane perdue dans la forêt. Elle fait la connaissance de Marshall, un biologiste qui enquête sur l'utilisation d'un pesticide interdit qui décime la faune locale. Nos deux héros vont découvrir que le pesticide a transformé de simples lézards en petits monstres agressifs.la critique de Eelsoliver:Jusque là, le cinéma horrifique s'était montré plutôt généreux en matière de monstres en tout genre. On a eu évidemment droit au requins, aux crocodiles, aux serpents et même aux rats.Mais curieusement, les lézards avaient été mis de côté. Un oubli vite réparé avec cette Aberration, qui porte si bien son nom. Pourtant, force est de constater que cette série B horrifique n'est pas non plus la purge annoncée.En effet, Aberration, réalisée par Tim Boxell, en 1997, nous vient de nouvelle Zélande, une terre autrefois bénite pour d'autres nanars horrifiques cultes.On citera par exemple les deux premiers films de Peter Jackson, Bad taste et Braindead. Oui, mais voilà, Tim Boxell n'a pas non plus le talent d'un Peter Jackson.Et cela se ressent devant ce film fauché, mais pas déplaisant pour autant.Aberration met donc à l'épreuve une jeune femme, Amy et un jeune biologiste, Marshall, face à des lézards modifiés génétiquement, après avoir subi un pesticide interdit.Les lézards sont donc particulièrement agressifs: ce qui donne lieu à quelques séquences assez amusantes. Au moins, aberration a le mérite de ne jamais se prendre au sérieux.Après, reconnaissons-le, l'intérêt est tout de même très limité.note: 09/20Note nanardesque: 14.5/20