Puisque tous les grands événements soulignent la date du J-100, je m'y mets aussi avec mon Ironman Nouvelle-Zélande. Eh oui, en ce jeudi 24 novembre, me voilà à J-100 du 4 mars 2017, date de cet objectif.
100 jours, c'est beaucoup. 100 jours à ne pas se blesser, 100 jours à résister à la tentation chocolat, mcdo etc. et à manger des carottes, des courgettes et des brocolis pour perdre encore 4 kilos... 100 jours à réussir à quitter la couette pour partir s'entraîner dans le froid et/ou la pluie et/ou la neige. 100 jours... à compter les jours.
100 jours, c'est peu. Certes, si l'Ironman avait lieu demain, je pense que j'irais au bout. Ce serait une galère, mais ce serait jouable. Ces 100 jours doivent donc me servir à rendre les choses plus faciles.. ou moins difficiles comme vous voulez. Il y a encore beaucoup de boulot.



Après ces deux compétitions en 8 jours, retour à un entraînement plus rationnel. Attention qu'on ne me parle pas de plan d'entraînement. Je n'en ai jamais suivis et je n'ai pas l'intention de m'y mettre. A mon piètre niveau, pas besoin. Cela ne signifie pas que je fais n'importe quoi. Les grandes bases de l'entraînement sont respectées. Mais si j'ai envie de faire la natation plutôt que du vélo, eh bien je vais nager. Cela évite aussi de se mettre en mode "panique" comme j'en vois parfois si pour une raison ou une autre, on ne peut pas placer la séance prévue sur le plan. Bien sûr, il faut un "cadre". Mais la préparation à un objectif comme un Ironman implique déjà suffisamment de contraintes pour ne pas s'en imposer d'autres. Même si je me fais des semaines entre 12 et 20 heures d'entraînement, cela doit rester du plaisir. Et pour le moment, c'est le cas.
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Les jambes... et la tête

Hop, nous voilà en 1547, le 10 juillet précisément. Une histoire de femme, de maitresse, d'honneur et tout ça, débouche sur un duel entre Guy Chabot de Saint Gelais, qui allait devenir comte de Jarnac, et François de Vivonne, seigneur de La Châtaigneraie, ami du Dauphin le futur Henri II (le successeur de François Ier). A l'époque, ça ne plaisantait pas. En ce 10 juillet donc, Guy Chabot remporte le duel grâce à un coup appris par un maitre d'armes italien. Son adversaire mourut de sa blessure quelques jours plus tard. Sa mort débouchera sur l'interdiction "judiciaire" des duels.
