Apparemment, si la génération Z réalise son souhait, l’époque des adolescents tournoyants à l’écran en quête de sexe, de drogue et d’insouciance à la « Euphoria » sera révolue.
Le nouveau Étude UCLA « Teens and Screens »conduit par le Centre des érudits et des conteursa révélé que parmi 1 500 membres de la génération Z âgés de 10 à 24 ans, les jeunes souhaitaient des histoires plus pertinentes mettant l’accent sur les relations platoniques. au lieu de contenu sexuel.
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Les adolescents ont choisi de voir à l’écran « des vies comme la leur », qui comprenaient moins de romance. Quarante-huit pour cent des adolescents estiment que « le contenu sexuel et sexuel n’est pas nécessaire pour l’intrigue de la plupart des émissions de télévision et des films », et 51,5 % souhaitent voir davantage de contenu axé sur les amitiés et les relations platoniques.
“S’il est vrai que les adolescents veulent moins de relations sexuelles à la télévision et au cinéma, ce que dit en réalité l’enquête, c’est qu’ils veulent plus de relations et différents types de relations reflétées dans les médias qu’ils regardent”, Dr Yalda T. Uhls, fondatrice et directrice de CSS et co-auteur de l’étude, a déclaré. « Nous savons que les jeunes souffrent d’une épidémie de solitude et qu’ils recherchent un modèle dans l’art qu’ils consomment. Même si certains conteurs utilisent le sexe et la romance comme raccourci pour créer des liens entre les personnages, il est important pour Hollywood de reconnaître que les adolescents veulent des histoires qui reflètent l’ensemble des relations.
Uhls a souligné le fait scientifique que les jeunes d’aujourd’hui ont moins de relations sexuelles que leurs parents à leur âge et que beaucoup préfèrent rester célibataires.
Stephanie Rivas-Lara, responsable de l’engagement des jeunes du CSS, qui est également l’un des premiers auteurs de l’étude, s’est adressée à sa génération dans son ensemble.
“En tant que membre de la génération Z moi-même, je n’ai pas été surpris par certains de ce que nous avons vu cette année”, a déclaré Rivas-Lara. « Il y a eu un large débat parmi les jeunes sur le sens de la communauté au lendemain de la COVID-19 et de l’isolement qui en a découlé. Les adolescents considèrent les médias comme un « tiers-lieu » où ils peuvent se connecter et avoir un sentiment d’appartenance – et avec les gros titres effrayants sur le changement climatique, les pandémies et la déstabilisation mondiale, il est logique qu’ils se tournent vers ce qui est le plus familier dans ces espaces. »
Et la familiarité se retrouve également dans le confort du visionnage excessif, avec deux fois plus d’adolescents interrogés optant pour des baisses de saisons complètes au lieu des épisodes hebdomadaires diffusés. Alors, une éventuelle troisième saison de « Euphoria » trouvera-t-elle la même acceptation du public qu’autrefois ? Peut-être que moins de sexe est la clé.
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