Le coléoptère apprend la patience et l’enfant conjugue ses tables de multiplication comme une leçon étrange enseignée dans une langue étrangère.
Le printemps cogne à la porte depuis plusieurs jours, l’enfant est porté à la rêverie. Troublé par la fragilité d’une toile d’araignée piégée par la rosée du matin, il en oublie ses tables de multiplication. Et tous les coléoptères dans la prairie s’envolent de concert.