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Les éclairs et leur équation

Publié le 24 février 2024 par Feydharkonnen

Dans la vision naturaliste des événements à décrire, les fonctionnements, les structures et les déterminismes valent autant que les équations.

Nous insisterons donc ici autant sur les uns et sur les autres.

Avant toute chose, il faut savoir que les différentes théories issues du hasard n'ont pas d'échos dans cette étude: les éclairs sont un objectif réalisable.. comment, c'est ce qui reste à évaluer.

Pour qu'ils aient lieu déjà en milieu naturel, il faut qu'ils fassent partie d'un système qui anime aussi bien les nuages que le sol, et aussi la distance qui les sépare.

Le système taoïste, assez bien illustré ci-dessus, tout autant que par l'équation de puissance que nous allons émettre, fait dire aux éclairs qu'ils sont à la fois le produit d'une répulsion, d'une résonance entre 2 secteurs (voir les deux points ronds ci-dessus), mais aussi que ces 2 secteurs sont unis par une force bien plus grande que celle qui les sépare (voir sur cette image: le grand cercle du tao)

L'équation de puissance est la suivante:

La conductance électrique inertielle des électrons en mouvement s'exprime en mètres . secondes... Il s'agit tout simplement du couloir espace-temps nécessaire à un fluide pour exister dans un écoulement.

Selon la simplification des unités espace-temps, toute pression ou toute tensxion s'exprime en m²/sec². Nous voyons ici qu'avec les m4/sec4, nous avons affaire à une résonance (multiplication) de 2 tensions.

Selon les modèles que l'on trouve sur internet, la physique qui décrit les éclairs parle d'une tension de décharge qui existe entre une charge poisitive située dans les nuages, et une charge négative, située en bas. Ou l'inverse (positive en bas, négative dans les nuages). A peine la référence se fait-elle avec les condensateurs qui se "vident" d'un seul coup par un trait d'union (décharge lumineuse dans une conductance) entre le haut et le bas.

Décharges entre 2 surfaces d'un super-condensateur

L'intelligence artificielle voit peu de ressemblance entre les condensateurs et les charges "bliksem" électrostatiques du sol et des nuages.. parce que les éclairs sont déroutants: ils ont cours en quelques millisecondes et valent des milliers de milliards de watts, tandis que le temps de décharge des appareils humains est beaucoup plus long et des millions de fois inférieurs en puissance..

L'intelligence artificielle n'a pas tout-à-fait tort: les éclairs utilisent une résonance de tensions inconnue sur Terre, certes entre 2 surfaces qui se regardent (m² x m² = m4) mais aussi entre une deux fréquences fluctuantes (chacune en 1/sec²) qui se regardent (sec² x sec² = sec4).

L'ensemble forme bien une résonance de tensions en m4/sec4 et s'identifie spatialement comme une activité entre le haut et le bas.

Note: une fréquence fluctuante est une donnée temporelle (en hertz) qui fluctue à travers le temps (donc en hertz.. x hertz = hertz², mathématiquement en 1/sec²).

Mais il faut en revenir au "cliché" qui fabrique un éclair; nous avons parlé du "grand cercle du tao", mais en fait, ce grand cercle est à l'extrémité d'une source de polarité, comme on peut le voir sur cette image. La photo montre une spirale créée à distance par un curieux procédé (😁), le 09 décembre 2009 au-dessus de Tromsö, en Norvège.

Examinez bien cette photo, vous y trouverez la polarité dont il s'agit ici avec les éclairs..

A suivre


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