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Où le Sushi teste les limites de l’insomnie

Publié le 27 août 2008 par Sushidepressif

Quand le Sushi ne dort pas, les réveils sont durs. Mais quand le Sushi récupère un rythme normal de sommeil, c’est pire.

Impossibilité de décoller les paupières.
Réveil retardé trois fois.
Lever à la dernière minute permettant d’arriver au travail avec un retard acceptable.
Etirements inefficaces.
Fusion de la partie se rapprochant physiquement le plus de la tête (qui semble peu éloignée d’une autre extrémité durant ces temps difficiles) avec l’oreiller.
Létanie de “J’veux pas y aller” jusqu’à l’allumage de l’ordinateur professionnel.
Début d’apparence sushesque après le premier café.

Le Sushi pense donc sérieusement à se mettre aux amphétamines en semaines, pour éviter d’être fatigué après huit heures de sommeil.


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