Quand vient la fin de l'été...

Mes adorables lecteurs et lectrices (oui, même toi, là bas au fond !)...
Cet été fut long, mais pas très chaud.
Tout au plus une moiteur annonciatrice d'orages nocturnes, une lourdeur sédative et qui incite plus à la Chartreuse qu'à l'exercice (et j'ai en effet plus abîmé la bouteille de Chartreuse que mes haltères...).
Comme tous les étés, mes amis et moi avons parlé de femmes et de musique, d'amour au temps du choléra et de cette insoutenable légèreté de l'être.
Du spirituel dans l'art (et dans la peinture en particulier, bien entendu !) et de l'incroyable aventure qu'a dû être un certain voyage à travers le Caucase (même si c'est plutôt la Suède qui me botte, en ce moment !)
J'ai fait du babysitting et j'ai adoré, même si ça ma laissé sur les rotules ! J'ai tellement ri que je devrais sérieusement songer à me faire examiner par un médecin, craignant m'avoir fêlé une côte.
J'ai essayé de faire du bien à à quelques personnes. Pas sûr que ça ait eu un quelconque effet… mais parfois, un petit geste gratuit à l'improviste peut faire du bien… alors pourquoi se priver ?
J'ai beaucoup pensé à mon Amour Suprême et à sa dévotion.
Beaucoup.
J'ai rencontré plein de gens sympas, en ligne ou en diagonale. Je ne savais pas qu'il y avait autant de gens sympas dans le monde (oui, oui, même toi, là-bas au fond…).
A partir de lundi, c'est une autre aventure qui (re-)commence.
Bus 31, Grenoble Universités et fort probablement une publication un peu plus régulière sur ce blog.
Avouez que je vous ai manqué !
Non ?
Ah bon…
L'humeur du moment

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