L’Asus Eee Box démarre officiellement en France

Comme prévu, Asus procède cette semaine au lancement officiel en France de l’Eee Box. Cet ordinateur de bureau de la taille d’un livre de poche est à la fois simple en configuration et en conception. La firme taïwanaise s’inspire du succès de l’Eee PC.

Pour 230 euros, Asus propose donc une machine assemblée à partir de composants qui ne sont pas toujours au top de la technologie puisque cet Eee Box est avant tout dédié à la bureautique et à Internet. Hormis deux coloris proposés (noir et blanc), la configuration est identique à celle de l’Eee PC 1000H, à l’exception peut-être de la connectique et du circuit graphique. On dispose ainsi d’un processeur Intel Atom N270 (1,6 GHz), de 1Go de mémoire vive, d’un disque dur de 80 Go, un lecteur de cartes mémoire 5 en 1, un port Ethernet et un module WiFi compatible avec la future norme 802.11n.

Toujours comme les netbooks, l’Eee Box ne dispose pas de lecteur optique. Du côté de la puce graphique, on retrouve ici un composant intégré GMA 950 à la puissance limitée. Pour piloter l’ensemble, Asus propose une fois encore Windows XP Edition familiale. Si vous trouvez que Windows XP est trop lent à se lancer, Asus vous permet d’accéder au système maison ExpressGate. A l’instar de ce que proposent nombre de constructeurs de PC portables pour lire un DVD, ExpressGate donne accès à quelques applications minimalistes pour surfer sur Internet, envoyer des e-mails, téléphoner via Skype…

Déjà visible via divers comparateur de prix (ici et là), l’Eee Box disponible qu’à la fin du mois de septembre au prix public de 229 euros. Seul bémol, cette tour est dépourvue de clavier, de souris ou encore d’écran. Ainsi, les consommateurs pourrait ignorer l’Eee Box car, pour un prix ne dépassant pas 300€, on peut se procurer un ordinateur complet équipé d’un Pentium double-coeur, de 3 Go de mémoire vive et d’un disque dur de 320 Go…A cet argument, Asus rétorque que le positionnement de l’Eee Box n’a rien à avoir avec celui d’un PC classique et qu’elle saura sans peine s’imposer. A suivre…

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