Depuis mes débuts sur le Web (il y a déjà 13 ans), j’apprenais que le marché du sexe était celui qui générait le plus de recherche sur le Web… À celà rien de nouveau, je me souviens chercher des mots clefs anondins sur le moteur de recherche de Yahoo!… et tomber sur des articles pornographiques. Depuis le Web a bien changé, et il faut activer un filtre pour obtenir ce genre de résultat.
Dans un article du Telegraph intitulé Social networking websites more popular than porn, says study il semblerait d’après les analyses d’un ‘data geek’ (Bill Tancer) sur plus de 10 millions d’utilisateurs de la toile que les comportements auraient changé. Non seulement le volume de recherche sur la pornographie passerait de 20% à 10% sur les 10 dernières années mais la classe d’âge des 18-24 ans consacrerait moins de temps à cette recherche sempiternelle.
La théorie de Bill Tancer serait que les jeunes passeraient tellement de temps sur les réseaux sociaux qu’ils auraient moins de temps à consacrer à la recherche de sites pour adultes.
Mais son analyse va encore plus loin et il montre comment la désinformation peut se propager sur la toile et créer une réputation. À l’avenir, nous pourrions voir apparaître des outils capables de filtrer l’informations pour créer des idées bien précises. Nous, qui nous plaignons des blogs qui cachaient derrière eux de gros sponsors… Tim Berners-Lee (inventeur du www), toujours d’après le Telegraph en appelle à un système de classification basé sur la fiabilité des sites Web et à un système de charité. En tout cas l’annonce de Google Youtube se fait déjà echo de cette nouvelle. Et derrière le logo Google, les chercheurs de la compagnie doivent déjà s’activer à trouver de nouveaux systèmes de classification. Tout celà peut nous ammener à nous poser la question sur le devenir des digg et digg-like.
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